Nib

Autorstwa larmesmauves

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Reina n'a qu'à baisser le menton, les yeux humides, pour voir apparaître des gouttes d'encre sur sa page. Tro... Więcej

comme une sorte d'introduction
un premier rapport
un premier chapitre
un deuxième rapport
un deuxième chapitre
un troisième rapport
un troisième chapitre
un quatrième rapport
un quatrième chapitre
un cinquième rapport
un cinquième chapitre
un sixième rapport
un sixième chapitre
un septième rapport
un septième chapitre
un huitième rapport
un huitième chapitre
un neuvième rapport
un neuvième chapitre
un dixième rapport
un dixième chapitre
un onzième rapport
un onzième chapitre
un douzième rapport
un douzième chapitre
comme une sorte de séparation
un treizième rapport
un treizième chapitre
un quatorzième rapport
un quatorzième chapitre
un quinzième rapport
un quinzième chapitre
un seizième rapport
un dix-septième rapport
un dix-septième chapitre
un dix-huitième rapport
un dix-huitième chapitre
un dix-neuvième rapport
un dix-neuvième chapitre
un vingtième rapport
un vingtième chapitre
un autre premier rapport
un vingt et unième chapitre
un autre deuxième rapport
un vingt-deuxième chapitre
un autre troisième rapport
un dernier chapitre
un dernier rapport
une première enveloppe
une deuxième enveloppe
une première boîte
une troisième lettre
un dernier colis
comme une sorte de fin
remerciements et mot de la fin
un projet nib

un seizième chapitre

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Autorstwa larmesmauves




            

Chapitre 16

-       Tu veux un peu de pain ? Demande Olivia en me tendant une baguette de pain.

J'attrape la baguette et me demande depuis combien de temps je n'ai pas mangé du vrai bon pain. Le bon pain fait maison de la boulangerie, avec de l'eau, du sel, de la levure et de la farine. La bonne baguette française qu'on utilise pour faire nos bons sandwiches.

Ce matin, chez Calypso, les enfants des boulangers ont décidé de faire des bonnes baguettes à tartiner de beurre. Nous sommes encore une quinzaine dans le salon et je ne connais absolument personne, à part Douglas qui m'observe, Olivia qui s'est trouvée un nouveau copain et Neville qui attend Douglas pour partir.

Calypso dort encore et je me demande vraiment ce que je fais parmi eux. Mais Olivia est là pour me rassurer.

-       C'est qui au juste la brune ? Demande une nana qui avait fait du pain.

Neville semble intrigué et se tourne vers la table. Je suis assise sur un pan du canapé, la tartine à la bouche.

-       Estelle, la brune ? Ah, tu parles de Reina. C'est la fille que moi et Neville avons incrust'. Présente Oli' en buvant une gorgée de son jus d'orange.

Mentionner le nom de Neville fait monter la tension d'un cran. Est-ce que tout le monde lui en veut à ce point d'avoir cassé avec Calypso ?

-       Tiens tiens Neville t'étais où hier, t'es gonflé de te barrer alors qu'on ouvrait les cadeaux pour Calypso. Et toi Reina la mignonne, on ne t'a pas vraiment remarqué de la soirée. Remarque cette même Estelle d'un ton qui se veut suspicieux.

J'avale ma salive et me redresse.

-       J'étais aux toilettes. Répliqué-je en espérant que Douglas puisse appuyer ce fait.

Le garçon capte tout de suite l'appel au secours.

-       Ouais, je l'ai accompagnée. Dit-il avec un clin d'œil.

Je lève les yeux au ciel et Neville semble se renfrogner en buvant son café.

-       Super intéressant. Termine Estelle peu convaincue.

Je sens qu'elle le sait. Et Olivia le sent également. Douglas le sait sûrement maintenant qu'il m'a couverte. Oui il se passe quelque chose entre Neville et moi.

Olivia et moi partons en même temps que Neville et Douglas. Celle-ci veut à tout prix qu'on aille chez les deux le temps d'aller saluer son chien qu'elle a dû laisser là-bas. Nous montons tous les quatre dans la voiture de Douglas, moi, très mal à l'aise.

J'ai raconté à Olivia que ce qui se passait entre Neville et moi restait trop compliqué et pas assez défini pour en parler. Il me laisse du temps mais je ne suis pas sûre d'en avoir besoin.

Le fait est, qu'il ne s'est pas encore excusé. Alors comment le pardonner ?

La voiture de Douglas est une Jeep orange flamboyante avec des roues remplies de boues et un coffre rempli de packs de gâteaux et de bonbons. Il m'explique qu'il aimerait bien se transformer en chauffeur de taxi UBER mais que sa jolie voiture n'a pas été acceptée car elle n'était pas noire et pas assez confortable. Ça l'avait révolté car il avait acheté des bonbons pour ses premiers clients qu'il ne rencontrera jamais.

Dans un des compartiments de rangement, il laisse traîner des tonnes d'albums. Je fouille parmi eux et déniche un truc plutôt potable parmi toutes ces compilations de TOP 50 de la radio. Le lecteur CD se met en marche difficilement et le son brusque nous oreilles. Boum, ça marche.

Mettre de la musique a complètement changé l'atmosphère. Douglas sifflote tandis qu'Olivia chante à tue-tête. Je claque des doigts ne sachant ni siffler ni chanter. Neville se prend au jeu en tapant le rythme discrètement du pied. Ça m'a fait sourire.

-       J'adore Katy Perry ! Last Friday Night, je l'écoutais tout le temps quand c'est sorti ! Lâche Oli' en riant.

Je lui souris, amusée par sa remarque et laisse mes doigts pianoter sur le siège avant où est assis Neville. Olivia est au centre, toute excitée par les chansons et bouge son popotin dans tous les sens. Étant dans la cambrousse, personne ne nous remarque, à part quelques tracteurs en plein travail qui s'arrêtent pour nous observer.

-       Vive l'agriculture BIO ! Hurle la blonde en faisant un doigt par la fenêtre à un agriculteur qui récolte une masse de blé de sa monoculture.

Je ris à gorge déployée lorsque celle-ci embrasse la joue de Douglas pour lui demander de rouler un tout petit peu plus vite sur la route vide. Il ne cède pas, ici, c'est son bercail et il ne veut pas percuter des vaches.

-       Je ne sais pas toi Reina, mais quand on dépasse la ville et qu'on débarque à la montagne... Oops, campagne... J'ai l'impression de pouvoir faire n'importe quoi, crier, hurler sans problèmes, c'est une liberté à abuser par ici. Explique-t-elle en cherchant ses mots.

Neville lui lance un regard soucieux lorsqu'elle enlève sa veste, la fenêtre ouverte.

-       Olivia, t'as pas intérêt à filer un rhume à ton chien. Marmonne-t-il en arquant un sourcil.

La jolie blonde aux cheveux bouclés soupire et remet sa veste.

-       Oui, grand-frère. Répond-elle avec un ton beaucoup trop aigu, imitant une petite fille sage.

Je me mets à sourire, désespérément. Olivia n'est même pas défoncée et est déjà excitée comme une mule à l'idée de retrouver son chien qu'elle n'a pas vu depuis trois mois. Douglas est très concentré sur la route, même une nouvelle clope entre les lèvres.

-       Neville, tu viens quand me rendre visite en ville avec Reina. T'étais même pas à la soirée de Chrystal alors qu'elle t'a invitée, toi et Doug'. C'était l'anniversaire d'Aris, je ne vois même pas pourquoi t'es pas venu alors que lui et toi, c'est le grand amour. Grommelle Olivia à son frère alors qu'il tire une taffe dans la cigarette de Douglas.

Neville hausse les épaules.

-       Tu déconnes, Aris et moi on s'est acheté une fois des pompes ensemble l'année dernière. Puis après on ne s'est plus jamais reparlé, c'est pas la plus glorieuse des amitiés. Il ne parle pas à grand monde à part ses potes proches. Et Chrystal et moi, on ne se piffre pas trop vu que Calypso était une amie d'enfance de Marylin. Raconte-t-il alors que Douglas baisse légèrement le son.

Olivia s'allume un joint et pose sa tête sur la mienne. Douglas reproche l'odeur qui emplit maintenant sa voiture et Oli' désigne la fenêtre ouverte pour le rassurer. Je ne comprends pas grand chose à leur conversation, Marylin ? Chrystal ? Ah oui, Chrystal c'était la fille aux cheveux rouges. Aris, par contre, je vois qui c'est.

-       Devine quoi, Reina a réussi à parler toute une soirée avec Aris. Ils ont même ri ensemble, je les ai vus sur le balcon à se raconter leur vie, t'y crois toi Aris le blondinet qui traîne avec cette brunette. Moi je te dis, notre Reina c'est un prodige de la discut'. Réplique Olivia en me faisant monter le rouge aux joues.

Neville se retourne subitement, étonné, comme touché par la remarque. Douglas affiche la même tête un instant, avant de se reconcentrer sur la route. Un blanc s'installe.

-       Je ne le connais pas bien le Aris, mais Marylin est vachement plus cool que Chrystal en soirée, elle m'avait décalé des clopes sans souci. Affirme Douglas alors que Neville confirme ses dires.

Olivia fronce les sourcils.

-       Oli', c'est qui Marylin et qu'est-ce qui te fâches ?  Murmurai-je à son oreille tranquillement.

Elle termine son joint et affiche dorénavant un air bête.

-       Laisse tomber Reina, mieux vaut que tu ne connaisses pas Marylin, c'est pas la meilleure des fréquentations comparée à Chrystal. Explique-t-elle sereinement avec une voix qui semble maintenant exténuée.

Les joints d'Oli' la rendent toute molle et lasse. Le trajet se fait sans réelle ambiance. Neville fume une clope calmement, Douglas conduit sérieusement et je m'endors progressivement la tête posée sur les cheveux d'Olivia.

***

Arrivée devant leur habitat pas trop loin de leur campus, j'inspecte la petite maison qui se dresse devant moi. Des murs en briques, un toit en tuiles, des rideaux qui cachent l'intérieur et un petit jardin pas du tout tondu. Je soupire en entrant, qu'est-ce que je fiche ici ?

Maintenant qu'Olivia pense que Neville et moi sommes réconciliés, elle n'hésite pas à profiter de certains moments pour me laisser seule avec lui.

Ça me gêne qu'elle fasse tant d'efforts pour nous alors qu'on n'a plus grand chose à se dire depuis hier. Même si au fond de moi, j'aimerais tout déballer à Neville pour qu'il soit aussi mal que moi à cet instant et qu'il ne m'affiche pas cet air sidéré qu'il affiche depuis un certain temps.

Neville est monté dans sa chambre. Douglas et Olivia jouent avec le chien et deux chatons dans le salon et je ne sais pas quoi faire étant allergique aux poils de chat.

Je suis bien misérable à attendre que le temps passe pour éviter de m'approcher de Neville. J'ai envie de monter dans sa chambre par simple curiosité même si c'est en totale contradiction avec ce que mon esprit me dicte.

Olivia, elle, insiste de loin pour que je monte. Elle me fait des grimaces et des signes de main en pointant l'étage. Elle articule des syllabes incompréhensibles et affiche son air autoritaire. Elle sait que je veux régler la situation mais je ne sais pas si monter est le bon choix à faire.

Mon cœur n'écoute plus ma pensée lorsque je toque à sa porte.

Neville m'ouvre, habillé d'un nouveau t-shirt trop grand et les cheveux mouillés. Il tient un balai dans ses mains et me regarde avec ce regard aussi profond que surpris.

-       Je passe le balai, ahem. Est-ce que tu pourrais enlever tes chaussures ? Demande-t-il en se massant la nuque.

J'enlève mes converses et me retrouve en chaussettes, avec la partie des orteils et celle du talon pas si sèches. Il doit y avoir des trous quelque part dans ma paire de chaussures. J'entre, pas très sereine. La chambre de Neville n'a rien à voir avec sa chambre de la ville à l'océan. Je m'attendais à quelque chose comme ça en réalité mais je suis stupéfaite face à la montagne de bibliothèques, d'étagères à rangement et de grands cadres remplis de dessin. Il y a même des petites photos de ses potes et lui, d'Olivia et sa famille et puis, de lui et Calypso.

C'est assez dur à décrire comme sensation.

Son lit est mal fait et quelques chaussettes traînent par terre. Il n'y a plus rien d'impersonnel dans cette chambre et même les interrupteurs sont décorés de gribouillis. Sa chambre lui ressemble.

-       Il faut qu'on parle. Commencé-je en m'asseyant sur un bout de son lit.

Olivia a raison, il faut que Neville et moi mettons les points sur les i.

Le brun pose son balai dans un coin et s'approche de son matelas. En s'asseyant, je remarque des tonnes de carnets sur un coin de son bureau et une enveloppe à mon nom. Sans faire attention à lui, j'attrape l'enveloppe et le regarde sourcils froncés.

-       Qu'est-ce que c'est ? Demandé-je en lui montrant l'objet.

Neville écarquille les yeux, déboussolé. Il ne s'attendait pas à ce que je tombe sur cet objet.

-       Je... Ce n'est pas encore prêt Reina, j'ai encore des modifications à faire.

J'ouvre l'enveloppe et déplie la feuille à l'intérieur, la boule au ventre. Qu'est-ce que c'est ? Je reconnais alors sa mince écriture, les traits d'un visage qui m'appartient et une clé scotchée.

-       Qu'est-ce que c'est ? Répété-je une nouvelle fois.

Cette fois-ci Neville se lève et n'a plus l'air si serein. Ça ne m'empêche pas de garder fermement l'enveloppe et la feuille. Je brûle d'envie de le lire devant lui, mais redoute le contenu à l'intérieur. Rien qu'un aperçu des dessins de moi me coupe le souffle, alors lire ses mots, comment y parvenir sans défaillir ?

-       C'est... une lettre d'adieux. Je voulais te la donner ce soir en allant chez Olivia.

Mon esprit s'embrouille davantage.

-       Une lettre d'adieux ? Articulé-je confuse.

Il inspire, expire et respire difficilement.

-       Je sais que t'allais me fuir hier soir. J'ai anticipé. Alors... j'ai écrit avant que tu ne me fuies définitivement. Parce que... ce soir, j'allais te dire des choses qui allait te faire fuir loin de moi, très loin de moi.

Mon souffle se perd dans le sien et je ne comprends toujours pas où il veut en venir.

-       Tu préfères m'abandonner et me laisser fuir plutôt que... tenter de te rattraper ? Soufflé-je au bord des larmes.

Neville est lâche, terriblement lâche.

Je n'aurai pas fui de toute façon. Il y a Olivia dans l'équation.

-       Non. Tu n'as pas compris Reina. Lance-t-il accablé.

Bien sûr que je ne comprends pas, il m'écrit une lettre d'adieux parce que ce soir, il veut m'avouer des choses qui me donnerait envie de le fuir ? Ça n'a aucun sens.

-       Dis-moi ce que tu vas me dire ce soir, là maintenant. Ordonné-je d'une voix bien plus frêle, bien moins assurée.

Neville me fait perdre la tête.

Il est diablement beau, les cheveux trempés, la respiration saccadée.

-       Je ne peux pas Reina. Je ne peux pas maintenant. Ce soir, je ne sais pas si j'aurais eu la force d'aller te voir, alors... Je ne peux pas changer mes plans comme ça... J'ai pas fini de me préparer à tout ça.

Ses yeux ont plongé dans les miens et j'ai compris que quelque chose de grave se tramait au fond de lui. Mais quoi bon sang ?

-       Qu'est-ce que tu me caches Neville ? Que t'as une maladie incurable ? Que tu vas mal ? Que quelque chose cloche sur cette Terre ? J'ai lu et vu tellement de trucs, je suis parée à tout. Lâché-je déboussolée.

Il a éclaté en sanglots. Comme sur la plage. Comme moi quand j'ai marché sur ce trottoir, comme moi pendant tous ces longs soirs. Je l'ai pris dans mes bras, le cœur meurtri et on s'est allongé sur son lit. Ses cheveux mouillés caressent les miens et j'ai essayé de comprendre ce qui se passe là maintenant, dans cette maison.

En bas, une blonde joue avec un chien. Un autre adolescent joue avec ses chats. En haut, dans une chambre, deux individus se tiennent entrelacés, allongés sur un lit, confus et perdus. Le contraste est terrifiant et je n'ose même pas croiser ses yeux, je ne veux pas ressentir sa peine.

Il n'a pas le droit de me la passer comme ça, alors que moi, j'ai tout intériorisé pour qu'il la trouve lui-même.

Je me suis décollée de lui, le cœur trop affolé, les jambes tremblantes et croisées. Il s'est arrêté de pleurer silencieusement, ses yeux et son nez sont devenus rouges et j'ai caressé ses cheveux. Ça aurait pu être de l'eau de pluie comme la fois au lac, comme la fois sur la plage, comme la veille au soir.

Sa voix s'étouffe d'elle-même et il est obligé de répéter plusieurs fois son aveu.

Je veux qu'il se calme, je veux qu'il m'explique ce qui se passe.

Un silence.
Des gouttes d'eau sur mon visage.

Le monde devient flou.

-       Reina...

Il est en apnée.

-       Reina... mon père est mort, ce soir-là, parce que je voulais me suicider.
» Reina... j'étais sur ce pont et j'allais tomber.
» Reina... il m'a rattrapé.
» Reina... lui, il est tombé.
» Reina... excuse-moi de t'avoir brisée. 

J'ai croisé son regard. Et je me suis mise à pleurer. Parce qu'il a l'air si mal, si mal que ça me bouffe encore d'y penser.

-       Neville... Mon père s'est suicidé.
» Neville... je n'étais pas là pour le rattraper.
» Neville... tu m'as brisée.
» Neville... tout s'est embrouillé.
» Neville... j'ai toujours l'impression de tomber.

Le baiser qui a suivi était long, périlleux, passionné mais empoisonné. Ses mains ont touché ma peau, mes mains ont touché la sienne. Je me suis arrêtée un instant et j'ai fermé mes paupières.

-       Neville ?

Il m'écoute encore. Il s'est légèrement redressé.

-       Est-ce que ce soir, tu allais mettre fin à tes jours?

Il ne m'a plus écouté et ses baisers ont descendu dans mon cou. J'ai pris ça pour un « oui. ». Et j'ai compris.

La lettre d'adieux, le fait que j'avais fui parce que je n'arrive plus à le pardonner. Les mots qu'il voulait m'avouer ce soir, qui me briserait pour que je m'en aille, qu'il s'en aille et qu'il ne reste plus rien pour l'arrêter.

Neville pense être le responsable de la mort de son père.

Comme moi, responsable de la mort du mien.

Mais pire encore.

Neville est suicidaire.













nda: j'voulais poster demain mais là j'ai écrit et, j'arrivais pas à attendre demain mdrr

en vrai j'suis en pls, j'ai peur que ce soit pas réaliste et tout et ça me saoulerait MAIS, j'vais rien changer parce que là j'suis roulée en boule et vraiment en PLS mdrr

merci pour les 14k et les 3k de votes vous êtes des foufous les nems;


des idées sur la suite? des suppositions?


elo qui vous nem

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