Pour DreamBeauty1
"Hailey, je suis morte de peur.
-Tu n'a pas besoin de stresser. Tu vas juste rencontré les parents de ton copain et lui annoncé qu'il va être papa. En faite, si, ta peu être de quoi stresser.
-Tu crois m'aider la ?
-Roh. Mais je suis sûr que tout vas bien se passer.
-J'en suis pas si sur.
-Crois moi.
-Mais si Raph' le prenait mal, après tout il n'est pas au courant, et, et ce n'est peu être pas le moment.
-Écoute Mad' si ce n'est pas le moment, alors ça ne le sera jamais.
-Tu as raison, je ne pourrais pas le cacher éternellement.
-Comme va ma petite amoureuse ?
Raphaël entra dans le salon, où je me trouvais, avec Hailey, ma meilleure amie.
-Ça va. Il déposa un baiser sur mon front et je lui sourit.
-Tes affaires sont prêtes ?
-Oui, elle sont au pied de l'escalier.
-Je vais aller prendre une douche et on pourra partir.
-Pas de souci.
-Moi je vais y aller, bisous bisous.
-Salut Hailey."
Raphaël parti dans la salle de bain et Hailey disparu derrière la grande porte blanche. Je me retrouvais seul. Même si c'était un bien grand mot. J'étais enceinte de trois mois. Trois moi déjà. Raphaël n'était pas au courant, mais je devais lui annoncer.
Ce week-end nous allions à Lille, en France. J'allais rencontré ses parents, Annie et Gaston. Cela faisait maintenant un an que nous étions ensemble, et faute d'agenda, je n'avais encore jamais pu les rencontrer.
Raphaël avait toujours été plutôt discret lorsqu'il fallait parler de ses parents. Mon téléphone vibra. C'était Sergio (Ramos).
"Hey petiote ça va ?
-Oui et toi ? Pourquoi tu m'appelle ?
-Je voulais juste savoir comment tu allais, pas trop stresser à l'idée de rencontrer les parents de Varane ?
-Je suis morte de peur si tu savais. Tu les connais ?
-Bien sur, oui je les ai déjà rencontré.
-Ils sont comment ? Enfin ils sont gentils ou... enfin tu vois ce que veux dire.
-Annie est adorable, elle est très accueillante et très agréable.
-Et son mari ?
-Gaston, Gaston... dit il en soupirant de l'autre côté du téléphone. Il n'est pas désagréable, mais il à les idées bien arrêtées. Il désapprouve tout les choix de Raphaël.
-Comme ?
-Comme absolument tout. Ses choix de vie, de carrière. La seule chose qu'il n'ait pas désapprouvé s'était son couple avec Sophie, son ancienne compagne. C'était j'en française de bonne famille, ma dit Raphaël. Gaston l'adorait.
-Autrement dit je suis mal barré.
-Disons qu'il vaudrait mieux pour toi que le courant passe entre vous, et tout de suite sinon, il ne te prêtera aucune attention, même pas un bonjour. Quand il a su que j'était footballeur, on a eu droit, Rapha' et moi a une jolie leçon de morale, soit disant que nous n'étions que des bons à rien, bête à manger du foin, juste bon à courir derrière un foutu ballon pour gagner des millions.
-Et tu lui a répondu quoi ?
-"Avec tout le respect que je vous dois monsieur, je me vois dans l'obligation de vous faussez compagnie. Je ne vois pas l'intérêt de discutez avec vous, de tout évidence, je ne voudrait pas que ma déficience intellectuelle vous atteigne."
-Tu lui à vraiment répondu ça ? Demandais je en riant suite à son monologue digne d'un discours royal.
-Oui et tu l'aurai vue, depuis il ne m'a jamais re adresser la parole. Je me souviens que Raphaël avait aussi beaucoup rit ce jour là.
-Ça promet, tu as le don pour me faire paniquer.
-Ne t'inquiète pas ça va aller.
-C'est ce que vous dites. Je te laisse, Rapha' va bientôt sortir, on va y aller.
-Bonne chance.
-Je te raconterais."
Sergio était devenu mon meilleur ami, ici à Madrid. Je l'adorais, nous nous étions tout de suite parfaitement bien entendu. Il était tellement drôle et adorable. Il était toujours à l'écoute et savais très bien mettre en confiance. Mais sur ce coup se n'étais pas le cas. Il avait fait doublé mon stress. Voir même triplé.
Raphaël sorti enfin de la salle de bain et une quinzaine de minutes plus tard nous étions dans la voiture direction l'aéroport.
"Ça va ma chérie ?
-Un ? Ha oui.... oui ça va.
-Tu est sur ? On ne dirais pas.
-Je suis tellement stressé, si tu savais.
-C'est à cause de mes parents ?
-De ton père oui, tout à l'heure Sergio ma téléphoné et...
-Il ta raconté son monologue royal. Dit il un léger sourire aux lèvres.
-Oui.
-Tu n'as pas à t'en faire Mad, peu importe que mon père t'aime ou pas ça ne changera rien. Moi je t'aime, c'est le plus important. De toute façon je ne compte pas sur mon père pour s'occuper de nos enfants.
-En parlant d'enfant...
-Oui ?
-Je.....
-Hum...
-Je suis enceinte.
-Vrai... vraiment ?
-Oui, je suis désolé je peux encore avortée et...
-Si tu savais à quelle point je suis heureux. Un sourire benêt illumina son visage. Il est hors de question que tu avorte. Je vais être papa ! Je suis tellement heureux !
Il déposa un baiser amoureux sur mes lèvres. Ce qui me fit rougir.
-Moi qui pensait que tu le prendrait mal.
-Tu rigole ? Je te serais dans mes bras si je le pouvais. D'ailleurs vient la.
Ses bras s'écartèrent afin que je puisse m'y lover. Ce que je fis sans plus me faire prier.
-Je t'aime tellement.
-Et moi donc."
Après des heures et des heures de vol, nous voilà enfin arrivé à Lille. C'est une ville tellement magnifique.
"Ne t'inquiète pas, j'aurais tout le temps de te faire visiter la ville.
-C'est tellement magnifique.
-C'est vrai que ce n'est pas dépourvu de charme."
On pris un taxi et une demi heure plus tard, nous étions arrivés. Raphaël enclencha la petite sonnette. Un court instant nous restions devant la porte, qui s'ouvrit sur une petite dame blonde. Elle lui sauta au cou.
"Ça va mon chéri ?
-Maman, je suis tellement content de te revoir. Maman, voici Madison, Mad' voici Annie, ma maman.
-Enchantée.
-C'est donc vous la fameuse petite chanteuse dont on a tant entendu parler. En tout cas Rapha' tu avais raison, elle est absolument magnifique.
Un grand sourire apparu sur son visage. Je rougis légèrement.
-Aller rentrez, vous n'allez pas rester sur le palier.
-Papa n'est pas la ?
-Si. Gaston ! Raphaël est la !
-Bonjour fils.
Son ton était froid, plus froid que je n'aurais pu l'imaginer.
-C'est donc pour elle que tu as quitter Sophie ?
-Alors déjà je n'ai pas quitter Sophie, Sophie à profité de moi et tu le sais très bien. Et elle, elle à un prénom. Elle s'appelle Madison.
-Enchanté, dis je timidement.
-C'est une british ?
-Américaine, elle vient de New York.
-Son accent est ridicule.
Il me dévisageait et me scrutait de haut en bas. Annie tenta de détendre l'atmosphère.
-Je vous propose de passer à table.
-D'accord.
-Je vais vous aidez."
Je partis dans la cuisine pour aidée Annie et Raphaël partis avec son père dans la salle à manger.
"Je suis désolé de cette accueil Madison. Gaston, est comme qui dirait fermé d'esprit.
-Ce n'est pas grave. J'aimerais que tout se passe au mieux.
-Et bien moi je vous adore, et je trouve que vous faite un magnifique couple.
-Merci, vous êtes une personne si adorable."
Elle me sera dans ses bras, puis nous apportions le repas.
"Alors Madison, qu'est ce que tu fait dans la vie ?
-Je suis chanteuse.
-On s'est rencontré au gala de la FIFA.
-Une américaine et en plus une chanteuse. Tu me désespère mon fils. Ne peu tu pas nous ramener une intellectuelle.
-Je m'excuse mais qu'est-ce que vous influencer la ?
Je n'avais pu me retenir.
-Tout le monde sait que les chanteuse ne sont que dès personnes odieuses, pleines aux as, dépourvu de la moindre intelligence, et la plus part du temps elle sont même exhibitionniste.
-Papa tu vas trop loin.
-Avec tout le respect que j'ai pour vous je pense que vous avez de gros aprioris. Je pense, sans me faire d'éloge, que je suis loin d'être bête et odieuse. Je pense que la seul personne odieuse ici, c'est vous. Vous rabaissez votre fils plus bas que terre. Il ne vous mérite pas.
-Qui êtes vous pour dire ça ?
-Je suis sa compagne, sa meilleure amie, son assistante, son conseillère, et je suis la mère de son futur enfant. Son futur enfant qui loge en moi depuis trois mois. Et je refuse que son père soit rabaisser de la sorte.
-Vient Mad' on y va.
-Annie c'était un plaisir de vous rencontrez."
Je pris ma veste et suivi Raphaël qui claqua la porte. On partis au centre ville, dans un petit parc.
"Raph' je suis désolée... je ne sais pas ce qui ma pris mais c'était plus fort que moi.
-Ne t'en fait pas je te comprend parfaitement.
-Les enfants ?
-Maman ? Qu'est-ce que tu fait la ? Papa, ou est il ?
-Il est resté à la maison, je n'ai pas supporté qu'il vous rabaisse de la sorte.
-Je suis désolé Annie, c'était plus fort que moi.
-Je ne t'en veux pas, pas le moins du monde. Est ce vrai ?
-Pour le bébé ? Oui.
-Je vais être grand mère !? Je suis tellement heureuse ! Venez la les enfants. Elle nous serra dans ses bras.
-J'aurai aimé que vous l'appreniez dans d'autre conditions.
-Ce n'est pas gave. Je vais être grand mère."
----------------------------------------------
Vla que vla qui voila, c'est moiiii. Me demander pas pourquoi même moi je sais pas. Bref voila la suite, j'ai kiffé l'écrire genre en mode embrouille et tu me manque de respect y'a affaire à moi c'est tout à fait mon genre. J'espère il va vous plaire.
Besossssss❤