Exorable.

By lauhstylesx

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Exorable: Qui se laisse fléchir, séduire, apaiser. Une extrême peur de l'intimité, de la proximité. Une sol... More

AirPersonal.
Soir de recrutement.
Petit-déjeuner.
Contrat.
Repas italien.
Arrivée.
Visite italienne.
Inconfort.
Rêves.
Pervers.
Mannequins.
Cuisine italienne.
Concert.
Passé.
Ami.
Défilé.
Surprise.
Confiance et courage.
Message inconscient.
Confrontation.
Dessin.
Congédiement.
Vierge offensée.
Mémoire.
Compétition.
Dévoilée.
Sens décuplés.
Mitigée.
Cicatrices.
Moi.
Intrus.
Curieusement.
Argent.
Fuite.
Mensonge.
Orgasmes.
Mélangée.
Faire l'amour.
Chambre 12.
Retrouvailles.
Trouvée.
Révélations.
Libre.
Tarte aux pêches.
À l'aise.
Monokini.
Jalousie.
Fantastique.
Yatch.
Anniversaire.
Guérie.
Coup de tête.
Psychologue.
Journal.
Maladresse.
Curiosité.
Progrès.
Paix.
Paris.
Oublier.
Crise.
Épuisés.
Funérailles.
Je serai là.
Robe.
Oscars.
Pour le meilleur et pour le pire.
Amour.

Découverte.

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By lauhstylesx

Harry.

Je m'étais réveillé, nu, dans son lit. Seul.

Un peu inquiet, j'avais remarqué que mes vêtements de la veille étaient soigneusement pliés sur le bout du lit. Mon caleçon était par-dessus mes jeans et mon pull gris.

Juliette était sur le bord de la large fenêtre. Elle était probablement entrée ce matin, puisque nous n'avions pas ouvert la porte, après ce rapprochement intense.

J'avais soupiré, je m'étais vêtis, avant de prendre Juliette dans mes bras. Elle miaulait trop. C'était déstabilisant.

J'avais vaguement regardé la chambre d'Adèle. Il ne manquait rien, sauf elle. Tout était comme avant. Et tout au fond de moi, j'avais un petite inquiétude.

J'étais descendu à la cuisine. Tina chantonnait en préparant des pâtes à tartes. La radio jouait. Alberto coupait du bois, à l'extérieur.

Les arbres étaient nus de leurs feuilles. La mer était calme, tout en bas.

Et lorsque je demandai à Tina si elle avait vu Adèle, elle secoua la tête.

-Elle est peut-être simplement aller faire des courses, murmura-t'elle en déposant la pâte dans une assiette de verre.

Non. Elle ne serait pas allée faire des courses, pas après une nuit comme celle-ci. Pas après que je lui ai fait l'amour.

Juliette toujours dans mes bras, je lui donnai sa moulée. Lorsqu'elle eut terminée de grignoter, elle se rendit à la porte d'entrée. Et elle se remit à miauler. Adèle lui manquait. Et elle me manquait aussi.

J'avais passé le reste de la matinée à attendre. Je n'avais ouvert aucun courriel du boulot. Je n'avais répondu à aucun appel. J'avais essayé de lui écrire, mais elle ne m'avait jamais répondu. Et je m'étais rendu compte, en retournant dans sa chambre, que son cellulaire était sur sa coiffeuse.

Et là, maintenant, j'étais couché dans son lit. Juliette dormait contre moi. Je regardais sa chambre.

J'avais cette boule, dans mon ventre. Cette boule désagréable et monstrueuse. Et au fond, je savais ce qui était arrivé.

Elle était partie.

C'était aussi simple.

Elle avait pleuré, hier soir, après notre relation. Et j'étais trop épuisé par mon corps et le sien, je n'avais rien dit. Ce n'était pas une coïncidence, si elle m'avait demandé de lui faire l'amour. Aucunement.

Dans sa tête, elle savait déjà qu'elle me quitterait. Elle le savait déjà et elle avait voulu me faire ses derniers adieux.

Je passai ma main dans mes cheveux, avant de soupirer. Elle me manquait.

Je tournai la tête vers la porte, lorsque Tina toqua.

-Ça va, Harry? demanda-t'elle en me regardant avec des yeux tristes.

J'hochai la tête, le regard dans le vide. Tina vint s'asseoir près de moi, tapotant ma cuisse. Juliette, un peu dérangée par les mouvements, sur le matelas, se rapprocha de moi en cachant sa tête dans le creux de mon bras. Son petit nez humide me chatouillait un peu.

-Tu n'as toujours pas de nouvelles? continua Tina.

-Aucune nouvelle, marmonnais-je en soupirant.

C'était probablement dû à son passé. Adèle fuyait. Elle fuyait lorsqu'elle avait peur.

Peut-être qu'elle avait peur de devenir trop officielle, avec moi.

Quoique, ça aurait été ridicule. Elle ne m'aurait pas quitté pour ça. Elle ne serait pas partie sans dire un mot, seulement parce qu'elle craignait mes sentiments et les siens.

Peut-être qu'elle n'était pas bien.

Je pensais trop.

***

C'était le milieu de la nuit. J'étais en train de dessiner, dans son lit. J'avais mal au poignet, mais je n'arrêtais pas de poser mon crayon sur le papier. J'avais dessiné son corps nu, de devant. J'avais dessiné sa poitrine. Et son regard. Et son visage en plein orgasme. Mais rien n'apaisait mon mal.

Pris d'une soudaine idée, je pris mon cellulaire en recherchant Claire, sur le site Internet d'AirPersonnal.

La compagnie aérienne avait une section pour les membres, qui nous permettait d'avoir les coordonnés des hôtesses. Et je voulais le numéro de Claire, pour pouvoir l'appeler. Même s'il était une heure du matin.

Composant son numéro, j'attendis quelques sonneries. Son répondeur embarqua. Je pinçai les lèvres, avant de le recomposer. Le même manège.

Après mon quatrième coup de fil, elle répondit, la voix essoufflée, qui témoignait de ses activités nocturnes.

-Claire? C'est Harry.

-Harry? dit-elle en toussotant, devenant plus sérieuse.

-Je... Je m'excuse de t'appeler en plein milieu de la nuit. Le truc, c'est que... Adèle, je ne la retrouve plus.

Il y eut un petit silence, à l'autre bout de la ligne.

-Adèle est partie? demanda-t'elle d'une voix tremblotante.

-Oui. Tu n'aurais pas une petite idée de l'endroit où elle pourrait se trouver? demandais-je, en essayant de retenir le trémolo dans ma voix.

Décidément, je vivais bien mal avec le fait de n'avoir aucune idée d'où se trouvait Adèle.

-Non, Harry. Je ne sais pas. Adèle est mystérieuse. Je ne sais rien d'elle. Essaie de regarder dans sa chambre, si tu ne trouverais pas des indices... Et tiens-moi au courant, d'accord? J'espère que tout ira bien pour elle, murmura Claire.

-Je vais faire ça. Je te rappelle. Où es-tu, maintenant? J'ai fait un longue-distance, pour t'appeler...

-Je suis à Madrid, en Espagne. Je prendrai le premier avion, si jamais tu as besoin de moi. Tu connais mon numéro, maintenant, soupira-t'elle en pensant probablement à Adèle.

Quelques secondes plus tard, je raccrochai.

Est-ce que je fouillais dans ses trucs?

Je veux dire, c'était peut-être impoli. C'était son jardin secret, ses souvenirs.

En même temps, peut-être que je pourrais avoir une bonne idée de son emplacement.

M'approchant lentement de son meuble de vêtements, je l'ouvris. Lentement.

Je n'aimais pas fouiller dans sa chambre. J'avais l'impression de brimer sa confiance. Elle qui avait si souvent tenue à me tenir loin de son passé, j'allais peut-être tout comprendre.

Comprendre pourquoi elle avait peur des hommes. De la sexualité. De la proximité.

Comprendre pourquoi elle avait quitté sa famille, pourquoi elle vivait dans l'ombre, pourquoi elle s'était fait poignarder les hanches.

Et je n'étais pas sûr de vouloir tout comprendre. Ça semblait être un lourd secret. Trop lourd.

Regardant finalement le tiroir que j'avais ouvert, j'eu un soulagement. Rien d'autre que des jeans.

Ouvrant les autres, je soupirai de bonheur. Seulement que des vêtements.

Je me dirigeai ensuite vers sa coiffeuse. Regardant ses produits de toilettes, je pris une petite bouffée de son eau de toilette, souriant à l'odeur qui imprégnait ses draps et son corps. Elle me rappelait hier soir, cette odeur douce et fruitée.

Dans un des tiroirs de la coiffeuse, il y avait quelques bijoux simplets. Des papiers pour le gouvernement. Des papiers monétaires. Enfin, des trucs pas trop important.

Je me rendis ensuite à son sac à main. L'ouvrant, j'essayai de passer par-dessus ma culpabilité. Quelques tampons, une barre tendre, une photo d'elle et de ses frères. Rien d'extravagant. Le seul truc qui retenait quelque peu mon attention était la liasse de billet.

Les comptant un à un, je réalisai qu'elle avait 700 euros.

Qui se promenait avec 700 euros? Pas beaucoup de personnes.

Je déposai l'argent sur le bureau, un peu comme une pièce à conviction. J'essayai d'ouvrir son cellulaire, je n'arrivais pas à trouver le code.

Vint ensuite le tour de placard. Encore une fois, rien de bien extraordinaire. Sauf un porte-document, beige. Épais et lourd de papier.

Je le déposai près de la liasse d'argent, avant de me reculer, le regardant de loin.

Ça pouvait être des papiers gouvernementaux, encore. Ou ses comptes de téléphone et de loyer.

Ça pouvait être autre chose, aussi.

Un truc que je n'avais pas envie de voir.

J'avais une mauvaise intuition. Je n'avais pas envie d'ouvrir la pochette. J'avais peur de ce qui s'y trouvait.

Et heureusement, Juliette se mit à miauler en regardant la porte de la chambre, signe qu'elle voulait sortir à l'extérieur, probablement pour aller faire ses besoins.

Je n'avais pas oublier le document, mais j'avais eue une bonne excuse pour ne pas l'ouvrir.

***

Cela faisait cinq jours, qu'elle était partie.

Je n'avais toujours pas ouvert le document.

J'étais un zombie, depuis ses derniers jours. Je n'étais pas allé travailler. J'étais resté à la maison, regardant le mois de novembre s'installer.

Juliette maigrissait à vue d'oeil. Elle se laissait mourir de faim. J'avais bien essayer de la gaver, mais rien n'y faisait. Elle vomissait et dormait toute la journée. Son poil tombait beaucoup plus qu'à l'habitude. Elle ne bougeait plus trop. J'allais l'apporter au vétérinaire, ce soir.

J'étais un peu comme Juliette, mais à l'intérieur. De l'extérieur, je semblais en pleine santé. C'était tout le contraire, en fait.

Je m'ennuyais. Je l'aimais et je m'ennuyais et elle était disparue. Elle était disparue et ne m'avait rien dit. Et j'étais seul, comme avant. Entouré de mon argent et de Tina. Et de Juliette, heureusement.

Ma rage augmentait de plus en plus. J'étais impatient et je n'acceptais que la perfection. J'avais même crié sur Tina, parce que je trouvais que la maison était dans un bordel total.

Ce n'étais pas de sa faute, mais j'avais seulement l'impression d'être seul et dépourvu de moyens.

Il restait une heure, avant que je ne doive me rendre au vétérinaire. Montant à la chambre, je jetai un autre coup d'oeil au document beige.

Il me donnait la nausée. J'avais peur. Plus je l'observais, plus je savais qu'il ne contenait rien de bon. Je le savais, tout au fond de moi.

À la place, je me couchai sous la couette, regardant le plafond. L'odeur fruitée d'Adèle imprégnait encore les draps.

J'étais mort de fatigue, à force de me faire des scénarios. Je n'avais littéralement aucune idée d'où elle se trouvait. La seule piste d'indice que j'avais, c'était que ça avait un lien avec son passé.

Et je m'endormis dans ses draps, après avoir imaginé un millième scénario plus inquiétant que le précédant.

***

-Harry! Tu seras en retard pour le vétérinaire, murmura Tina en flattant mon front.

Ouvrant lentement les yeux, je réalisai encore une fois qu'elle n'était pas revenue.

À chaque fois que je sombrais dans le sommeil, j'oubliais momentanément sa disparition. Et lorsque je rouvrais les yeux, je me souvenais qu'elle n'était toujours pas avec moi.

-Je me lève, murmurais-je en replaçant brièvement les couvertures de son lit.

Tina me sourit en murmurant qu'elle avait préparé Juliette, avec son harnais. Enfilant un bonnet contre mon crâne et changeant mon chandail pour un pull propre, je descendis à la cuisine.

Juliette, toute maigrichonne, dormait contre le tapis. Je la pris lentement dans mes bras, avant de me rendre à ma voiture, la déposant contre mes genoux.

Roulant jusqu'au centre vétérinaire, lorsque j'entrai dans la bâtisse, j'attendis qu'on nomme mon nom.

J'étais assis dans la salle d'attente, Juliette sur mes genoux. Elle laissait des traînées de poils sur mon jean noir. Ses yeux étaient clos, mais lorsqu'elle les ouvraient, ils semblait pâle. Vide.

Je sentais ses os, lorsque je la flattais. Elle se laissait mourir de faim et j'avais peur que la fin arrive dans quelques jours.

-Monsieur Styles? entendis-je.

Je relevai la tête pour voir un homme aux cheveux noirs et à la barbe naissante. Il me sourit et je le suivis jusqu'à la petite salle. Posant Juliette sur la table, elle ne réagit aucunement.

-Alors... Qu'est-ce qu'il se passe? murmura-t'il en me regardant.

-Juliette, elle se laisse mourir de faim, je pense. Elle perd beaucoup son poil et n'a plus d'énergie. Elle dort tout le temps et elle vomit souvent.

Le vétérinaire hocha la tête en auscultant Juliette, qui se laissait faire. Selon lui, pour un chat de son âge, elle pesait très peu. C'était presque dangereux.

-Il y a eu quelque chose de nouveau? Une nouvelle sorte de nourriture, un déménagement, un truc qui aurait pu lui faire peur? demanda le médecin en flattant doucement Juliette.

Rapidement, je déglutis, avant d'hocher la tête.

-Sa maîtresse est disparue, enfin, elle est partie, murmurais-je rapidement.

Il fronça quelque peu les sourcils, avant de soupirer en secouant la tête.

-Je vas vous donner des médicaments, qui l'aideront à reprendre des forces. Si elle ne les prend pas, je devrais probablement l'hospitaliser et la gaver de force. Elle glisse doucement vers la mort, murmura-t'il en me regardant.

Je m'étais attaché à Juliette. Je l'aimais bien, même. Et peut-être que mes émotions étaient mélangées, en ce moment, mais j'avais seulement envie d'éclater et de faire en sorte que tout le monde comprenne ma peine.

-Parfait.. On essaiera les médicaments...

***

Rentrant à la maison, je montai directement à la chambre d'Adèle. Je déposai Juliette sur le lit, la couvrant d'une petite couverture de laine.

D'un pas décidé, je me rendis devant le document.

Je voulais savoir. Peut-être que je comprendrais mieux son geste.

Adèle était partie avec peu de choses; elle avait même laissé son cellulaire. Elle s'était simplement volatilisée, sans faire de bruit.

Et peut-être que si elle avait tout laissé ici, c'était dans un espoir de revenir.

De revenir avec moi, tout près.

Et avec un grand courage, je touchai la couverture du porte-document. Tout le monde dormait, dans la maison.

Et j'allais probablement tout découvrir.

Peut-être que le document contenait des lettres, des photos... Un truc qui me ferait comprendre Adèle.

Et lorsque j'ouvris le document beige, j'arrêtai de respirer.

Au complet. Mon corps n'était plus en fonction. Mon cerveau n'envoyait plus de signal. Je ne bougeais plus, bloqué à la vue de la première photo.

Je fixais l'image comme un fou. Et peu à peu, je me mis à trembler, en voyant la photo.

Adèle. Dans une chambre. Face contre le mur. Un homme derrière elle. Les deux, nus.

Je lançai séchement la photo contre le sol, avant de regarder les autres.

Toujours la même chambre. Toujours, toujours, la même foutue chambre délabrée.

Toujours un homme. Mais différent sur chaque photo.

Toujours des corps nus. Toujours des positions explicites.

Je ne savais pas comment réagir. Je ne savais foutrement pas comment.

Je sentais la rage, qui montait dans mes veines. Je sentais mon sang qui se transformait en dégoût.

Et plus je regardais les photos, plus je les lançais avec force contre le sol.

Adèle, tout près d'un poteau de danse. En petite tenue. En lingerie de salope.

Adèle sur un coin de rue. Adèle devant une voiture, le cul dans les airs, un sourire aguicheur sur les lèvres.

Les pièces de puzzle se formaient bien, dans ma tête. Je comprenais tout.

Une feuille. Des dates. Des montants d'argent. Des dettes de drogue.

Ma respiration était rapide, trop rapide. Je ne savais plus rien. Je ne comprenais plus rien, sauf une chose.

Adèle Foster était une prostituée.

Et je ne savais pas comment réagir. Je ne savais rien de l'histoire. J'avais besoin qu'elle m'explique... Parce que pour l'instant, je ne savais pas si j'éprouvais du dégoût parce qu'elle était une pute. Ou du dégoût parce qu'une personne douce et calme comme Adèle ne pouvait pas être une pute.

Pourquoi elle?

Toute la nuit, je regardai les photos qui me faisaient mal.

Sa période difficile, c'était la prostitution.

Sa peur de la proximité, de la sexualité, des hommes: c'était à cause de la prostitution.

Son besoin d'argent, que j'avais su déceler à notre première rencontre: c'était à cause de la prostitution.

Les cicatrices sur ses hanches? Probablement à cause de la prostitution.

Le fait qu'elle vive dans son ombre, qu'elle ne parle plus à sa famille, à son père, à ses frères? La prostitution.

Et plus je pensais, plus je me demandais comment elle avait pu tomber dans ce créneau. Elle qui était classe et timide, calme et douce? Elle avait pris du speed pendant un an et demi. Elle était une droguée. Une prostituée. Je ne la connaissais pas.

Et j'hésitais entre la tristesse et la colère.

La liasse de billets dans son sac à main était inquiétante. Demain, j'irais faire débloquer son téléphone. Pour voir si je ne trouvais pas autre chose. Je me foutais de brimer sa liberté.

Je ne comprenais pas et je la voulais près de moi. Pas dans la rue. Et surtout pas auprès d'autres hommes.

***
il est bof
mais bon

l.xx

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