Fat // h.s. vf

Von HazzaSing

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Pour Diana Lewis, âgée de seulement seize ans, le lycée n'est pas vraiment une partie de plaisir. Des mots. D... Mehr

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FORGET.
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REMERCIEMENTS.

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Von HazzaSing

HARRY

▽△▽  

Je me suis arrêté dans un parc pas loin de chez moi, j'aimais bien y aller pour me reposer l'esprit, c'est celui ou Gemma et moi passions nos temps à venir y jouer. On y a quasiment passé notre enfance, c'était cette belle époque où les problèmes n'y étaient pas, n'existaient pas.

Je suis soulagé qu'une part de ces problèmes se soit envolée. Pas totalement, parce que Diana pourrait s'y remettre à faire des conneries, et c'est ce que je ne veux pas, ce que je veux c'est son bonheur, mais ce n'est tellement pas facile.

« Ho, Harry ! »

J'observe mon interlocuteur, je n'avais même pas remarqué qu'il s'était posté devant. Stephan m'observe ses mains dans les poches avec son regard hautain, qu'est-ce que je le hais ce con.

« Steph'. »

« Je vois que tu es heureux de me voir. »

Je glousse.

« Tu es ici seulement pour le pari je me trompe ? »

« Je me demandais juste si maintenant c'est fini tout ce cirque ! »

« Tout ce cirque ? » Je demande.

« C'est finis ce jeu Harry, tu deviens bien trop proche de la meuf, bon, d'un côté je suis fière que tu es tenu le pari, ça lui fera bien mal à cette grosse lorsqu'elle comprendra qu'elle n'est qu'un jouet, laisse-moi faire le reste. »

Je pince mes lèvres entre-elles, je voulais juste le frapper, à ce moment précis alors que mon poing se forme lentement. Je souffle un bon coup, je n'ai pas à me mettre dans un sale état pour lui, déjà que je suis blessé au bras et puis, ce n'est pas ce que voudrais Diana.

Je le regarde de mes yeux verts. Son visage m'agace, il me donne une de ces envies de l'éclater. Son regard méprisant et sa voix tout aussi déplaisante.

« Ce n'est pas la peine. » Je marmonne. « Elle n'est pas un jouet. »

« Pardon ? » Il en rigole presque.

« Diana n'est pas un jouet. »

Son visage s'assombrit un peu.

« Bien sûr qu'elle est un jouet, tu l'utilise pour un pari, tu n'es pas le mieux placer pour en parler. »

« Les humains ne sont pas des jouets, tu n'es pas un jouet elle n'en est pas un. Putain c'est quoi vôtre délire à crée des inégalités les uns aux autres ? Diana n'a rien demandé. » Je hausse le ton. « Je suis pas un salop comme toi Steph', ne te permet pas de dire que je l'ai utilisé. Tu sais quoi d'elle après tout ? »

Il y a un silence qui est très vite rompus par le rire de Stephan qui résonne dans le parc vide.

« Mais c'est que t'es putain de drôle. »

« Il n'y a rien de drôle Stephan. » La rage commence à venir. « T'es qu'un connard à avoir lancé un tel défis, c'est votre but à vouloir humilier quelqu'un ? Il est passé où vôtre intelligence ? A part vouloir baiser toute les meufs qui bougent et soigner ton image du mec populaire du lycée, tu sais faire quoi d'autre toi ? Tu crois que c'est facile de vivre une vie pareille ? De se lever le matin avec qu'une envie, pleurer et partir de ce monde parce que tout ce qui t'attends dans ta journée c'est des moqueries, des insultes à te mettre dans une dépression ? »

« C'est quoi ton problème Harry ? »

« Mon problème ? » Je répète. « C'est vous mon problème, toi, tous les cons qui t'entourent, tous ces minables qui se croient malin à insulter les autres. »

Je n'avais pas remarqué que le regard de Steph s'était assombri plus que tout à l'heure, il s'était rapproché de moi entre-temps.

Je me lève du banc sur lequel j'étais assis, et m'éloigne de lui marchant à travers le parc. Je n'ai aucune envie de voir sa gueule. Je lui ai dit ce que je pensais. Ouvertement. J'en suis fière.

« D'où tu te barre fils de pute ? » Il s'exclame derrière mon dos.

Je me retourne pour le voir courir vers moi enragé, rapidement, sa main serrée en poing vient heurter mon ventre, me faisant pousser un gémissement. C'est d'une telle force que je mets à cracher du sang contre ma main poser sur ma bouche. La douleur se répand partout, c'est atroce.

« Connard. » Je réussis à dire.

Je me redresse rapidement et donne un coup au visage de Steph' qui gémit à son tour. Il pose sa main sur sa joue éraflée et un peu bleu à la lumière des derniers rayons de soleil, la caressant un peu pour constater l'état de son visage, il saigne.

« Un vaux rien comme toi ne devrais pas me toucher. » Il s'exclame de colère en fonçant sur moi, me faisant tomber au sol.

Mon dos se cogne contre le gravier, une brûlure se fait sentir, j'aurais aimé avoir ce genre de chose à la télé, tel que des techniques d'attaques pour pouvoir me défendre. A croire que les entrainements de boxes que j'ai reçus il y a quelques années ne me serviront à rien pour ce soir.

Un sourire apparait sur son faciès, sentant la victoire sous son nez. Je suis immobile.

« Frappe-moi si tu en as envie, tant que tu ne touches pas à Diana. »

« C'est bien mignon tout ça, j'en verserai bien une larme. » Quel sarcasme.

« J'en ai rien à foutre. Fais-toi plaisir en me frappant si c'est ton souhait, ridiculise moi, mais pas elle. Je n'en ai plus rien à faire. »

« C'est bien de le défendre, mais qu'est-ce qu'elle ferait pour toi ? »

« Sa présence dans ce monde est déjà amplement suffisante. »

« Je ne te ferais pas attendre. » Il rigole.

Il s'assoit sur moi alors que son poing frappe mon visage à répétition, tellement de fois que j'ai du mal à compter, pas parce que je n'ai plus la tête à ça, c'est le cas de le dire, mais juste parce que ses coups sont consécutives et ne s'arrête pas.

Je sens mon visage s'enflammer, je suis sûr que du sang coule déjà tellement ses coups sont forts. Je sais qu'il ressent du plaisir à me faire du mal, il attendait se moment depuis bien longtemps, et le voici enfin, son visage est ornée par un sourire complétement sadique est horrible. Je pourrais le frapper si je le voulais, mais autant faire ce que j'ai dit, si il à se plaisir de me blesser, de me faire du mal, il ne se passera plus rien pour Diana et tout ira bien pour elle.

Je n'aurais jamais pensé qu'un pari m'aurait mené jusqu'ici, je ne sais pas ce que j'ai fait pour en arriver jusque-là, ici, sur le sol à me faire tabasser par un garçon stupide et aveuglé par sa personne. Mais je le fais pour Diana, je l'ai promis de la protéger, de la surveiller. Alors si je peux recevoir toute la haine que porte Stephan pour Diana sur moi, ça me va amplement.

Si tu savais à quel point je suis désolé Diana, pour ce que tu subis, pour ce que tu as dût ressentir lorsque je t'ai raconté la vérité, ça a du faire mal n'est-ce-pas ? Cette douleur que tu as au cœur, cette blessure qu'on ne peut pas guérir tout simplement avec des médicaments, cette blessure ou il faut juste attendre que le temps passe et que nos sentiments s'y adapte, je ne sais pas à quel point ça doit te faire mal Diana, mais je sais que tu en souffre tous les jours. Je t'ai promis dorénavant que je te protégerai, et que je t'aiderai à aller droit au but, que je serai là, je t'ai promis, et je n'abandonnerai pas cette promesse comme toi tu n'abandonneras pas ton but. Je sais – je sais que tu en es capable. Si en ce moment le seul moyen de t'aider à ne pas sombrer c'est de recevoir des coups de la part de ces gens qui te font du mal, je le ferai, pas parce que je me sens obliger, parce que je le veux. Au fond, on finit toujours par trouver quelqu'un dans notre petite vie qui est prêt à nous aider, tu as tes parents, mais sache que je me considère comme tel. Je te protègerais coûte que coûte jusqu'à ce que tu trouves qui tu es réellement et que le bonheur fasse partis de ton vocabulaire. Je te le promets.

« Harry ? »

Mes paupières s'ouvrent lentement, je ne sais plus où je suis. Stephan est allé jusqu'au bout ? Je ne me souviens même pas d'avoir fermé les yeux et mes souvenirs sont encore flous. Pourtant ce n'est pas rien, et ça m'énerve de ne pas m'en rappeler en détail.

« Harry ? »

Je tourne ma tête délicatement vers le son, mais une douleur remplis l'intérieur de mon visage, ça brûle tellement.

« Où suis-je ? »

« Tu es à la maison Harry, tu es à la maison. »

Je reconnais peu à peu Gemma qui se tiens à genoux prêt de moi, un sourire soulagé au visage. Elle tient ma main fermement et pousse un soupir.

« Comment je suis arrivé là ? »

« Je suis partis à ta recherche. Diana est là aussi. Nous t'avons retrouvé au parc sur le sol, tu es vachement amoché. Elle est resté ici depuis hier soir.»

Je grimace, la douleur est plus intense que hier soir, en même temps recevoir des coups enchainer au sol sur plusieurs zones du corps, ce n'est pas comme-ci que mes blessures aller se régénérer comme par magie et que j'allais me remettre sur pied en plus de mon bras blesser chez Diana.

« Harry. »

Diana se dresse devant moi, son visage apeuré, elle ne semble pas avoir dormis de la nuit parce que son visage est tout bouffis et ses yeux presque rouge par le manque de sommeil, ou parce qu'elle a pleuré ? C'est ce que je souhaite le moins.

« Comment vas-tu ? »

Elle s'approche de moi, se mettant au sol pour être à ma hauteur. Son regard persiste sur mon torse. Je n'avais même pas vu que j'étais torse nu.

Elle pose sa main sur mon ventre, puis remonte sur mon buste et ensuite sur mon visage.

« Aïe. » Je gémis.

« P-pardon. » Elle s'exclame.

J'arrache un sourire à sa réaction. Il faut dire qu'elle est vraiment mignonne.

« Qui t'as fait tous ces bleus ? Ta bouche est ouverte, et hier soir, elle était entourée de sang. Tu as même un œil aux bords noirs.»

Je n'imaginais vraiment pas que j'avais toutes ces séquelles. Ça semble tellement l'inquiéter, pour preuve que ses yeux ne cessent de se balader partout sur mon corps. Cela ne me mettait pourtant pas mal à l'aise, même si je n'avais pas l'habitude de me montrer devant une fille d'une telle façon. Elle aussi ne semble pas si gêner comme par habitude, non, elle est juste vraiment inquiète.

Je ne suis pas encore passé devant un miroir pour voir mon état, mais j'imagine que je ne suis pas près de guérir avant une bonne semaine le temps que la douleur s'estompe.

« Qui t'as fait tout ça ? » Elle murmure.

« Personne Diana. »

« Plus de mensonge Harry. Je ne suis plus une enfant, tu peux me le dire. »

Elle semble tellement blessée que je ne lui dise pas la raison de tout ça. Mais comment je peux le lui dire ? Elle n'est peut-être plus un bébé, mais elle est si fragile. Et puis, j'ai été frappé en voulant protéger sa cause, alors évidemment si je lui dis la vérité, elle se sentira coupable, et je ne veux pas qu'elle se sente coupable.

Enfoiré de Stephan.

« Pas maintenant Diana. » Je lui dis simplement. « Je ne peux juste pas. »

Elle semble agacée du fait que je ne lui dise pas, mais elle ne réplique pas pour autant. Au contraire, elle s'assied au sol son regard toujours sur moi son air sérieux prenant le dessus.

« Bien, c'est ce que je vais retenir. »

« Diana, s'il-te-plaît. »

« Je n'aime pas ça Harry, que tu me cache des choses, je m'inquiète pour toi. »

« C'est justement parce que je m'inquiète pour toi que je ne veux pas te dire qui c'est. »

« Je ne fréquente personne ici hormis toi et Gemma ainsi que mes parents, alors bon, ce n'est pas comme-ci que je pouvais faire quelque chose contre ça. » Elle désigne du doigt mes blessures.

Je pousse un long soupire, elle ne compte donc pas abandonner.

« C'est Stephan. »

« Connais pas. » Elle dit. « Mais je finis par le frapper. »

Je rigole.

« Ne rigole pas. » Elle marmonne. « La force d'une femme est surprenante quand elle s'y met. »

« Et je trouve la tienne particulièrement impressionnante sans frapper qui que ce soit »

Elle rougit et baisse aussitôt la tête, ce qui me fait rire un peu.

« Harry, ce Stephan, ce n'est pas à cause de moi qu'il t'a frappé ? » Elle relève sa tête. « Je veux dire – »

« Pourquoi tu dis ça ? »

« Quelqu'un ne te frappe pas sans une raison précise, je veux dire, l'humain est si stupide que ça ? Quoi qu'il en soit, dit le moi. »

« Je t'ai dit qu'il s'appelle Stephan, c'est amplement suffisant, je suis sain et sauf, c'est le principal. »

J'avoue, mon excuse est complétement pitoyable et elle ne semble vraiment pas convaincue, mais je devais éviter ce sujet à tout prix c'est le mieux pour elle. Pour réponse, elle me fit la moue, mais je ne dis rien pour autant. Je la scrute de mon regard vert sans plus.

« Tu as changé ton bandage ? » Je demande en regardant son bras.

« Oui. » Elle fait simplement en soupirant.

« Bien. »

Il y a un moment de silence entre nous. C'est inconfortable, parce que je sais très bien que cela est dût au fait que je ne veux rien dire, mais je n'ai pas le choix.

Elle grogne et se relève en s'appuyant sur le canapé et se retourne directement sans m'adresser un regard.

« J'aurais bien aimé que tu me le dises Harry, je m'inquiète aussi pour toi. Il n'y a pas que moi qui puisse me blesser en inquiétant les gens, il y a toi aussi. Tu m'inquiète. Repose –toi bien. »

Et elle me laisse sur le canapé alors que j'ignore où elle se dirige.

« C'est Stephan hein ? » Me demande Gemma en m'apportant un bol de lait.

« Ouais. »

Je gémis en essayant de me mettre assis. Gemma s'empresse de déposer le bol sur la table basse pour m'apporter de l'aide que je refuse immédiatement, je sais bien qu'elle n'aime pas quand je refuse son aide parce qu'elle est la grande sœur et que son devoir est de surveiller sur son petit frère, d'où le grognement qu'elle pousse avant de pousser un soupir.

« Comment ça se fait que tu t'es fait tabasser ? »

« Tu le savais de toute façon. » Je prends le bol de lait.

« Je ne m'attendais pas à te voir dans un sale état, je le voyais un peu plus intelligent. »

« Les gens qui méprisent d'autre gens ne sont pas intelligent. »

« Ces gens-là sont aveuglés par la méchanceté. » Elle marmonne.

« Vite, vite qu'ils retrouvent la vue. » Je m'exclame sarcastiquement.

« Commence pas à être désagréable. » Elle me donne une tape.

Je rigole et boit d'un trait mon bol de lait que je dépose aussitôt sur la table basse.

« Je t'aurais bien frappé parce que tu sais qu'il ne faut pas boire vite son lait mais tu es blessé. »

« Je tâcherai d'être blessé plus souvent alors. » Je grimace.

Elle tire sa langue avant de rigoler.

« Alors ? Avec Diana ? »

Je soupire. Je savais que tôt ou tard, elle allait me poser cette question, elle est tellement curieuse et finis par tout savoir par le biais de quelqu'un d'autre si jamais tu ne veux pas lui en parler.

« Je l'ai embrassé. »

Autant aller dans le vif du sujet.

Son visage passe de curieux à surprise, elle à complètement changer d'expression faciale en un claquement de doigt. Je ne la quitte pas des yeux attendant une quelconque réaction de sa part, comme un cri de joies ou son air perdue voulant que je répète ma phrase comme par son habitude.

Elle s'assoit au sol comme l'avais fait Diana quelques minutes plus tôt un sourire sur ses lèvres puis, elle se frotte els paumes des mains avant de s'exclamer :

« Raconte. »

« Je ne sais pas comme expliquer. »

« Hein ? Tu ne sais pas comment expliquer ce que tu viens de me dire ? »

« C'est gênant. »

Et je ne mens pas, parler de ça avec elle est vraiment la chose la plus gênante que j'ai faite, c'est comme parler de sa relation sexuelle j'imagine, parce que Gemma souhaite connaître tous les détails, comment on en est arrivé là, ou, la sensation que cela procure par exemple.

« Allez ! » Elle s'exclame boudant presque.

« J'ai fait le baiser, parce que je voulais le faire voilà tout. »

« Sa réaction ? »

Je disais ?

« Surprise, mais cela ne la dérangeais pas je crois, on était tous les deux troublés par ça. »

Elle hoche la tête.

« Je vois, je vois. Je heureuse que tu t'en es enfin rendus compte ! »

« De ? »

« Que tu l'aime. » Elle chuchote à mon oreille.

Mes yeux s'arrondissent et ma bouche s'ouvre peu à peu laissant place sur mon visage à de l'étonnement. Gemma rigole de nouveau à ma réaction mais ne rajoute rien. Je ne suis pas surpris exactement, je m'étais fait à l'idée que c'est peut-être le cas mais je n'en étais pas sûr du tout, alors, si Gemma le confirme, c'est que c'est bien vrai.

Je baisse les yeux et observe mes mains, je joue nerveusement avec elles. Non, ça ne me déplait pas d'aimer Diana, elle m'a séduite, c'est vrai. Mais c'est que j'ai tellement fait de conneries pour seulement mes seize ans que je suis effrayé de faire les mêmes erreurs avec elle. Je ne veux vraiment pas lui faire du mal.

« Et si je fais les mêmes erreurs ? »

« Des conneries tu en as fait pleins, tu en fais sans doute toujours, mais cette fille t'a tellement changé en te faisant connaître qui tu es vraiment, que je doute que tu refasses les même erreurs. »

Des conneries j'en ai fait des tonnes, comme beaucoup d'adolescents de mon âge. J'ai déjà eût ma première fois, et j'ai déjà brisé le cœur d'une fille en la trompant avec une autre, c'est ce genre de conneries que je ne veux pas reproduire avec Diana. Je reconnais que j'ai été un véritable con l'année dernière, je le suis encore aujourd'hui parce que j'ai fait ce stupide pari et sûrement d'autre chose. Les filles qui disent que les garçons sont tous cons n'est sans doute pas faux.

Mais je suis amoureux, quand on est amoureux, n'est-on pas censé faire tout ce qui est en notre possible pour protéger la personne que l'on aime ?

« J'ai été un véritable connard à cette époque. »

« Comme tous les garçons. »

Je grimace, cette phrase typique des filles, on me l'a rabâché tant de fois.

Tu es comme tous les gars, tu n'es qu'un connard. T'es qu'un con parmi tant d'autre. Vous êtes tous pareils vous les garçons, des enfoirés.

J'ai brisé le cœur de nombreuses jeunes filles, mais je ne regrette pas entièrement (je passe pour un connard né.) Elles sont toutes sorties avec moi parce que je suis populaire, vous savez ? Ce truc stupide de classe sociale dans un lycée, et bien je suis aimé pour ça et non pas pour ma perssonalité, d'un côté, c'est peut-être pour ça que j'étais un briseur de cœur et que je ne regrette pas entièrement. Etre aimé pour ce que l'on a et pas pour ce que l'on est c'est triste.

Mais j'en suis certains, Diana ne reste pas près de moi parce que je suis populaire, mais parce que je suis ce que je suis. Au fond, elle m'a aidé elle aussi, à trouver mon vrai moi. J'étais perdu entre ce que je pensais et ce que pensaient les autres, je ne savais pas faire la différence entre mon avis et ceux des autres, et je ne savais pas agir par moi-même. Puis elle est arrivée dans ma vie comme une lumière pour me guider.

Non. Si mes sentiments sont partagés ou pas, jamais, jamais je ne briserai son cœur de nouveau.

  ▽△▽   

Je voulais faire une note pour ce chapitre, je ne sais pas pourquoi, je pense que le fait d'interagir avec vous est une bonne chose. 

Enfin bon, j'espère que ce chapitre vous à plût, je l'ai écrit extrêmement vite par rapport à d'habitude, mais il faut dire que pour une fois, j'ai du temps libre en semaine.

Maintenant qu'Harry est sûr d'être amoureux de Diana, que peut-il bien se passer ensuite? Quand à Stephan, c'est un vrai bâtard n'est-ce pas? En tout cas avec lui, ce n'est pas finis.

Je voulais vous remerciez pour les 2K de vues sur cette histoire, ça me fait réellement plaisir, et vos commentaires sont de purs merveilles qui me donnent envie de vous écrire encore et encore des chapitres, merci d'être là! 

A bientôt! xx

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