Yours [GOT7 - Jackson]

By NomieMah

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[ Mafia Families - Tome 2 ] /!\ IMPORTANT /!\ Pensez à lire la Partie I ("Mine") avant~ (ceci est la suite) :... More

Prologue.
Chapitre 1 : L'indésirable cohabitation.
Chapitre 2 : Sortir en douce.
Chapitre 3 : Vous dites "Échec"? Je rajoute "Mat".
Chapitre 4 : L'imprévisibilité d'un homme ivre.
Chapitre 5 : Prenez garde à la grande faucheuse.
Chapitre 6 : Ce monde cruel où l'on vous fait jouer au golf...
Chapitre 7 : Doutes.
Chapitre 8 : Et si le détestable devenait soudain désirable?
Chapitre 9 : À Chacun sa méthode pour noyer ses problèmes.
Chapitre 10 : Nier l'attirance... et subir en silence.
Chapitre 11 : Tentative de meurtre.
Chapitre 12 : Cachons nous chez moi, les loups ne nous y trouverons pas.
Chapitre 13 : Le délicieux péché de la luxure.
Chapitre 15 : Second round.
Chapitre 16 : Retour à la réalité.
Chapitre 17 : Le choc des personnalités.
Chapitre 18 : Machiavel.
Chapitre 19 : Le destin est un connard.
Chapitre 20 : 1, 2, 3... Psychopathes.
Chapitre 21 : Aussi normaux que des évadés de prison.
Chapitre 22 : Prépare ton balais Cendrillon, c'est l'heure du grand nettoyage.
Chapitre 23 : Otage sous conditions.
Chapitre 24 : Tout sauf lui.
Chapitre 25 : Rendez-vous dans une cave sombre.
Chapitre 26 : L'enfant n'est plus.
Chapitre 27 : Ce petit flirt innocent.
Chapitre 28 : Peut-on résister au goût fruité de la tentation?
Chapitre 29 : Mais le monde était contre nous ce soir.
Chapitre 30 : Joyeux foutoir.
Chapitre 31 : Tout va parfaitement bien, dans le meilleur des mondes.
Chapitre 32 : Dans la merde.
Chapitre 33 : Discrètement, en pleine nuit.
Chapitre 34 : C'est bien mieux... sans les vêtements.
Chapitre 35 : Une odeur de coup fourré.
Chapitre 36 : Quand il y a des baffes qui se perdent.
Chapitre 37 : Le visage du Diable en personne.
Chapitre 38 : Sadique petit conte de fées.
Épilogue.

Chapitre 14 : Le feu de la passion.

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By NomieMah

Cela mis à part, je pouvais constater à la vue de cette pièce d'une impeccabilité surprenante pour le logement un homme, qu'il n'avait pas dû remettre les pieds ici depuis un moment.

Le lit aux draps blancs ne prenait qu'une petite partie de la place dans cette grande pièce, et était irréprochablement fait, sans la moindre trace de plis.

Il me fit encore avancer de quelques pas, jusqu'à ce que je ne sois plus qu'à quelques centimètres de celui-ci.

- Tu n'as encore jamais couché avec un homme, n'est-ce pas ? demanda t-il en allant droit au but, avant de se pencher légèrement pour déposer un baiser sur mon épaule, et de laisser ses lèvres vagabonder sur ma peau.

Au vu de mon manque flagrant d'assurance, signe de mon inexpérience, il était prévisible qu'il le devine.

- Non, tu as raison, répondis-je d'une voix fébrile.

Et j'avais hâte que cela change, qu'il me fasse découvrir ce que je désespérais de connaître. Je ne désirais que cela, et je ne pensais à rien d'autre.

Même si je sentais que, moi qui avait l'habitude d'aimer être celle qui donne les ordres aux autres, j'allais ici être celle qui se soumettrait, en lui laissant toutes les commandes.

Et j'étais, bien évidemment, plus qu'enthousiaste à l'idée de ce sacrifice que j'allais volontairement faire.

Je sentis qu'il commençait à se dévêtir, dans mon dos, et lorsqu'il reposa ses mains sur moi afin de me faire pivoter vers lui, il ne lui restait que son boxer.

Il attrapa mon visage rougissant entre ses doigts et m'embrassa avec passion, avant de me pousser sur le lit.

Il se retrouva alors au dessus de moi, me dominant entièrement.

La croix accrochée au bout de sa chaîne se balançait doucement, à quelques centimètres de ma peau, mais ce n'était pas ce qui attirait le plus mon regard.

C'était ses yeux, qui me contemplaient avec le plus incontrôlable des désirs, qui s'appropriaient ce privilège.

Je me mordis la lèvre et il observa ce mouvement - que j'effectuais presque comme un réflexe depuis que je m'étais rendue compte de l'effet qu'il me faisait - avant de poser sa bouche sur la mienne.

Il prenait son temps, faisant les choses avec lenteur, comme s'il pressentait que j'en avais besoin.

Ce qui était le cas.

Je me décollais un peu du lit lorsque, passant ses mains sous moi, il décrocha les agrafes de mon soutien-gorge, laissant apparaître mes seins.

Je sentis mes joues chauffer plus intensément.

Il se pencha sur ceux-ci pour les embrasser, l'un après l'autre, en s'attardant sur mes tétons qui se durcirent presque douloureusement au contact de sa langue.

Puis, ses lèvres remontèrent en frôlant ma peau, vers mon cou, où il nicha sa tête.

Il m'embrassa longuement sous la mâchoire tout en recouvrant mes seins de ses paumes brûlantes qui remplacèrent ainsi sa bouche.

- Tu es douce, murmura t-il, ce qui me plongea encore d'avantage dans un état impossible.

Ma peau semblait s'être transformée en l'une de ces pleines ravagées par les incendies, totalement embrasées, et semblant même vouloir propager le feu autours d'elles.

Je fit l'improbable prédiction que le lit allait se consumer sous moi dans les minutes suivantes.

Je sentis finalement ses mains descendre plus bas, sur mon ventre, où elles ne s'attardèrent pas plus de temps qu'il ne lui en fallut pour leur faite prolonger leur chemin jusqu'à ma culotte - ultime et dernier vêtement qu'il me restait alors.

Il passa ses doigts sous l'élastique, et resta un instant ainsi, comme s'il souhaitait stimuler encore d'avantage mon impatience qui ne faisait qu'augmenter au fil des secondes, avant de finalement faire glisser le tissu le long de mes jambes et jusqu'à mes pieds pour me l'enlever.

J'étais totalement mise à nu devant lui.

Avec une délicatesse sans égale, il fit glisser la paume de sa main à cet endroit qu'aucun homme n'avais jamais touché.

Mon réflexe immédiat en réponse à cette sensation qui venait de me surprendre fut d'attraper son poignet.

- Laisse toi aller... dit-il doucement, parvenant très certainement à percevoir mon trouble naissant.

Lui faisant autant confiance qu'il était possible de le faire, je le relâchais ma pression nerveuse sur son bras, le laissant poursuivre sur ce qu'il avait eu l'intention de faire.

Le son indescriptible qui tenta de s'échapper de ma gorge lorsqu'il fit glisser deux doigts à l'intérieur de moi resta finalement coincé au sein de celle-ci.

Le drap venait de devenir ma nouvelle prise d'accroche, autour duquel se serrait mon poing contracté.

C'était... étrange.

Pas spécialement bon, pas spécialement désagréable. Juste étrange.

- Est-ce que je te fais mal ? voulu t-il savoir, certainement sans se douter d'à quel point entendre sa voix à ce moment... le fait qu'il me parle tout en me touchant de cette manière... m'aidait à considérer la situation avec plus de naturel.

- Non, assurais-je. C'est... continue... soufflais-je, tandis que je le sentais bouger ses doigts contre les parois internes de ma féminité.

Ça commençait à devenir pas mal du tout, à vrai dire.

Alors que je me détendais complètement, cessant peu à peu de tendre mes muscles inutilement, je commençais à dériver, comme si j'étais happé par le courant d'une rivière, et seule la chaleur de sa peau me faisait conserver un semblant de conscience.

Il retira ses doigts et les porta à sa bouche en gardant son regard soudé au mien, tout en affichant le même air de contentement que s'il suçait du miel.

Sa façon de faire était... bandante. Il n'y avait pas d'autre mots.

Il s'écarta de moi pendant les cinq secondes qu'il lui fallut pour se débarrasser du dernier vêtement qui nous faisait rempart, avant de venir s'allonger entre mes jambes, et de recommencer comme tout à l'heure à taquiner la peau de mon cou avec ses insistants baisers.

J'attrapais ses épaules incroyablement musclées, avant qu'il ne bouge son bassin et que son érection ne se retrouve collée contre ma propre intimité en ébullition.

Je gémis, ce qui le fit sourire contre ma peau.

- Je vais essayer d'y aller doucement... pour toi, souffla t-il.

Je hochai faiblement la tête, incapable de répondre quoi que ce soit.

Je. Me sentais. Plus que prête.

Même mes pensées s'en faisaient saccadées.

Il décrocha mes mains de ses épaules, auxquelles j'étais en train de m'accrocher avec force, et entrelaça ses doigts aux miens, avant de m'immobiliser les bras en les maintenant fermement plaqués sur le lit.

Ses bras pliés des deux cotés de mon visage me permirent d'observer ses magnifiques biceps contractés, qui me rappelaient à quel point il était puissant, et que j'allais bientôt pouvoir constater plus amplement jusqu'à quel point.

Mon corps entier était de nouveau tendu, vibrant de désir à son égard, uniquement dans l'attente du moment qu'il tardait volontairement à faire venir.

Je penchais ma tête vers l'arrière, ouvrant ma bouche dans un cri silencieux, lorsqu'il entra enfin en moi.

J'avais mal. Je ne pouvais pas me mentir sur ce point, et j'avoue que j'aurais largement préféré ne pas ressentir cet espèce de pincement innommable en moi même.

Il ne bougeait pas, me demandant une nouvelle fois s'il me faisait mal. Il devait parfaitement être au courant de la teneur de la sensation qui m'étreignait.

Je ne lui mentis pas, et lui avouait directement que c'était le cas.

Puis j'ajoutais que je n'hésiterais pas à me venger de lui d'une horrible manière s'il osait s'arrêter là.

C'était certes douloureux, mais après quelques mouvement très lents, je sentais que cette douleur s'apaisait progressivement afin d'être remplacée par le plaisir incomparable qu'il me faisait ressentir en s'enfonçant jusqu'au plus profond de moi.

En cet instant, j'étais à lui, et il était à moi.

Et c'était bon, putain.

Je serrais fort ses doigts quand il commença à bouger ses hanches lentement, très lentement, m'arrachant de petits gémissements.

Je saurais à peine décrire combien j'avais eu besoin de ça. De me donner enfin à lui après ces derniers jours à supporter cette tension sexuelle qui s'était épanouie entre nous.

C'était, pour le nommer correctement, une libération.

Je ne pu retenir un cri lorsque je parvins - rapidement - à mon premier orgasme. Tous mes muscles se serrèrent autour de lui, et un son grave s'éleva de sa gorge.

Je peinais à respirer, tandis que les parois de mon intimité étaient agitées de spasmes erratiques, me donnant la douce sensation d'être au bord de l'évanouissement.

Il s'était arrêté de bouger, et me contemplait de son regard sombre.

Je pense que je devais avoir exactement l'expression que j'imaginais : les joues rouges et les yeux pétillants de passion ainsi que d'un irrépressible besoin grandissant.

Un sourire en coin à la signification aisément devinable étira le coin de sa bouche et je su, quelque secondes avant qu'il ne se remette en mouvement, qu'il ne se retiendrait plus à partir de cet instant.

J'avais encore furieusement envie de lui, et lui avait à peine commencé à prendre son plaisir.

Ce n'était encore que le début.

Il relâcha ma main gauche et attrapa ma jambe avec fermeté. Je suivis son geste en la remontant vers moi et et je sentis qu'il entrait encore plus loin.

Je fermais les yeux et me laissais transporter par mon extase croissante.

Il bougea encore plus vite, encore plus fort, et c'était encore mille fois meilleur.

Je passais ma main libre dans ses cheveux, pour m'accrocher à quelque chose de concret pendant qu'il s'appliquait à nous conduire tout les deux en ligne droite vers le septième ciel.

Et il était, de ce que j'en constatais, tellement doué pour ça que je craignais de perdre des pièces de moi-même en cours de route.

J'avais littéralement l'impression de fondre contre son corps brûlant, et les bruits de nos souffles sonnaient à mes oreilles comme de grisantes prières auxquelles chacun de ses brutaux coups de reins me donnaient envie de crier Amen.

J'eus un nouvel orgasme, bien plus violent que le premier.

Tout en criant à en perdre ma voix - qui se révélait bien plus cristalline que je n'aurais pu le croire - je serrais si fort si ses cheveux que j'eus presque peur de lui en arracher, mais je ne contrôlais plus assez mon corps pour en assurer le fonctionnement cohérent.

Lui restait parfaitement maître du sien.

Et il continua de me faire l'étalage de ses prouesses physiques jusqu'à ce que, dans le tout dernier vas-et-viens de cette cadence effrénée qu'il m'avait forcé à suivre, il tressaillit abruptement tout en marmonnant une phrase inintelligible, de sa voix devenue gutturale, près de mon oreille.

Je sentis alors un liquide couler en moi.

Chacun de nous était parvenu à emmener l'autre là où il le voulait.

Et enfin, je pouvais reprendre ma respiration.

Essoufflé comme si il venait de parcourir un marathon avec moi, il se laissa tomber sur le côté, m'entraînant avec lui dans le mouvement.

Après s'être redressé pour rabattre les couvertures sur nous, il se laissa de nouveau tomber sur le matelas et je me serrais contre son torse en soupirant de contentement.

Je commençais alors à me détendre après ce que je pouvais considérer sans mal comme l'un des plus éprouvants efforts physiques de ma vie. (Et pourtant j'en avais couru des kilomètres.)

Il passa un bras autour de moi et appuya son menton contre le sommet de mon crâne.

J'aimais me sentir contre lui ; un être frêle contre un être fort.

J'avais l'impression que rien ne pourrait m'arriver, que rien ne pourrait m'atteindre.

Et ce fut à ce moment, où je me sentais épuisée mais surtout pleinement satisfaite, que je m'endormis, là, dans ses bras.

Protégée de tout.


PV Jackson

Je me réveillais en sentant mon visage être éclairé par une lumière vive. J'ouvris les yeux. Il faisait déjà jour, et la chambre étaient devenue luminescente sous les rayons ardents du soleil. On ne distinguait même plus les éclairages des lampes qui étaient restées allumées.

Je baissais mon regard vers Valentina, encore profondément endormie, contre moi.

Son expression était paisible et sa respiration était tellement légère que je l'entendais à peine. On aurait dit un ange.

Sa peau, aussi pâle que douce, paru réagir dans un frémissement lorsque je l'effleurais.

C'était comme si, même à travers son sommeil, elle savait que je la touchais.

Je chassais l'une de ses longues mèches de cheveux sombres de son épaule et la frôlait doucement. Elle en eut de nouveau la chair de poule.

Mais je cessais mes passionnantes expériences pour ne pas la réveiller.

Je me détachais doucement de son corps et la sensation de sa peau contre la mienne me manqua dès l'instant où elle s'interrompit. Nous étions donc réellement comme ces aimants auxquels j'avais pensé un peu plus tôt.

Je restais brièvement assis au bord du lit, les coudes appuyés sur mes jambes, réfléchissant à ce que je venais de faire.

C'était certainement mal, mais même si une partie de moi se chargeait de me faire garder à l'esprit que je me dirigeait droit dans le mur avec une relation pareille, le reste de mon être s'en foutait complètement.

J'avais l'intention de profiter de tout ce que cette fille me donnerait, en lui rendant le double, et j'attendrais cet hypothétique mur de pied ferme.

Qui sait ? Peut être que je ne me le prendrais pas en pleine face.

Je me relevais et ramassais mon pantalon au sol avant de le remettre et de sortir de la chambre, sans un bruit.

J'ouvris un tiroir du meuble qui faisait presque toute la surface de l'un des murs du salon et m'emparais de mon paquet de Rothmans - cigarettes honteusement hors de prix mais tellement meilleures que les cochonneries que l'on trouve dans la plupart des bureaux de tabac - que j'avais laissé là la dernière fois (normalement les clopes se gardent pas aussi longtemps - le tabac devient tout sec - mais imaginons que... xD) et attrapais le briquet dans la soucoupe sur l'étagère au dessus. Puis je me dirigeais vers la baie vitrée et fit coulisser la porte pour sortir sur le balcon.

Le sol était froid sous mes pieds nus et la brise fraîche s'insinua dans mes cheveux, tout en caressant ma peau, voulant probablement me faire frissonner.

Mais cette fraîcheur me faisait du bien, elle m'éclaircissait les idées et apaisa un peu cette ardeur qui continuait de consumer mon corps.

Je m'appuyais contre la rambarde en contemplant le paysage qui s'offrait à ma vue.

Il y avait un gigantesque parc de ce côté de l'immeuble, opposé à la façade devant laquelle il fallait nécessairement passer en entrant avec un véhicule.

Le soleil était déjà haut dans le ciel, dominant la terre de toute sa magnificence dorée, et pourtant je ne distinguais presque personne en bas.

Ce fut sur ce constat que je sortis l'une des cigarettes du paquet et la portais à mes lèvres avant de l'allumer.

Je tirais dessus et fermais les yeux en soufflant en l'air un nuage de fumé, répandant l'odeur familière autour de moi. Il n'y avait guère que lorsque j'étais ici que je fumais, sinon je ne touchais pratiquement pas au tabac.

J'avais comme qui dirait arrêté tous les stupéfiants, du plus fort, au plus doux, et à part une clope de temps à autre, et un verre lorsque j'en ressentais le besoin, je parvenais à rester loin de ces substances que je savais capable de me refaire instantanément plonger tout droit en enfer.

Et je préférais mourir immolé directement plutôt que de me laisser crever à petit feu comme je serais en train de le faire si personne ne m'avais aidé à empêcher cela.

Mes pensées redevenaient sombres tout à coup.

C'était probablement le fait d'être ici qui me faisait me faire sentir ainsi.

Lorsque j'eus aspiré la dernière bouffée de ma cigarette, je déposais le mégot dans le cendrier, posé en équilibre sur la rambarde métallique.

Je m'apprêtais à me retourner lorsque j'entendis des petits bruits de pas derrière moi.

Restant immobile, je sentis Valentina m'enlacer.

Sa peau était encore chaude et sembla brûler la mienne, refroidie par la température extérieure.

Toutefois, cette chaleur me faisait le même effet qu'une torche allumé en moi pour chasser les ténèbres rampantes, tentant de s'emparer de mon être pour le transformer en quelque chose qui ne me plairais absolument pas.

Elle posa ses lèvres contre mon dos et l'embrassa, avec la douceur d'une plume chatouillant une peau sensible.

J'expirais longuement, profitant de cette sensation comme si c'était la seule chose à laquelle il valait vraiment la peine de se raccrocher.

Je ne pensais plus qu'a elle.

Je ne voulais qu'elle.

Le Jackson fou furieux était calmé.

...

J'ai écris ce chapitre avec mon âme, et maintenant j'en ai plus ._.

Tristesse. xDDDDDD

J'ai pas les mots pour décrire à quel point je me sens gênée de ce que vous venez de lire... Mon innocence n'est plus~

Bon vous me pardonnerez mon délire chelou sur les cigarettes - à 2h du mat on a rarement des idées follement cohérentes~ xDD

BON ENSUITE! Toutes celles et tout ceux qui veulent gentiment chipotter en me disant: "oh mon dieu mais ils n'ont pas mis de préservatif! Elle risque de tomber enceinte!" -----> je vous renvoie à mon adage "cela n'aurait aucun sens" qui justifie aussi cela. Oui Oui. xDDDDDDDDDD (je vais pas le raconter mais imaginez qu'elle sort à la pharmacie acheter une pilule du lendemain :3)

Que dire d'autre ?

Ah oui... Vous êtes toujours vivants ? xD (enfin vivantes parce que j'imagine que mes lecteurs sont pratiquement tous - VOIRE TOUS - des filles :'3)

En tout cas j'ai galéré à écrire ce chapitre, en faisant genre 10 lignes par jours tellement j'étais gênée :') Mama, je me désespère~ xDDDDDDDDDD

Maintenant il faut que j'écrive la suite et vu que j'ai plein de trucs à faire en ce moment je sens que ça va traineeeeeer T____T

Je vous nem, :*

Noémie, qui se sent à présent aussi dévergondée qu'une certaine... Hajar xD

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