Misery Business | z.m [vf]

By Txmlinthug

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« Chérie, je ne vais pas te tuer. » Il s'est rapproché de moi et a glissé sa main contre ma joue. Une vague d... More

Prologue
Chapitre un
Chapitre deux
Chapitre trois
Chapitre quatre
Silent Cry n.h & Wild l.p
Chapitre cinq
Chapitre six
Chapitre sept
Chapitre huit
Chapitre neuf
Chapitre onze
Chapitre douze
Chapitre treize
Chapitre quatorze
Chapitre quinze
Chapitre seize
Chapitre dix-sept
Chapitre dix-huit
Chapitre dix-neuf
Chapitre vingt
Chapitre vingt et un
Chapitre Vingt-Deux
Chapitre Vingt Trois
Chapitre vingt-quatre
Chapitre Vingt-Cinq
Chapitre Vingt-Six
Vingt-Sept
Chapitre vingt-huit
Chapitre Vingt-Neuf
Chapitre Trente

Chapitre dix

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By Txmlinthug

Je me suis levée à cause d' un autre coups. Celui-ci était plus proche et légèrement ahurissant. Cela ressemblait comme ci une poêle avait heurté quelqu'un, comme dans les dessins animés.

C'était seulement un petit faisceau de lumière m'atteignant et cela m'a pris un moment avant de me souvenir que je me trouvais dans un cabinet. J'avais oublié où j'étais pendant un instant. J'ai dû m'endormir dans la masse duveteuse des peaux animales.

Je pensais toujours que la peau des animaux était affreuse. Je pensais que c'était cruel. Si c'était quelque chose comme de la laine, je pouvais comprendre. C'était simplement tondre un mouton et son manteau repousserait l'année prochaine. Mais tuer un animal pour sa peau, ça semblait inutile, cruel et triste. Pourquoi voudrais-tu tuer un animal ? J'imagine que c'était pour la même raison que les hommes tuaient leurs semblables, le jeu.

Prendre une vie, c'était prendre des péchés. Prendre quelque chose était se rendre coupable je suppose. Ce n'était pas vrai mais j'imagine que les mauvaises personnes et les mauvaises choses doivent exister pour équilibrer le bien dans la vie. Le monde pouvait toujours être en guerre contre lui-même, le bien se battant contre le mal et bientôt je réalisais ça, moins de mal serait fait.

Mes parents m'avaient élevé pour l'ignorer. Ils m'avaient élevé pour être parfaite et j'avais failli misérablement. Ils seraient déçu de moi mais je ne voulais pas être celle qu'ils voulaient. J'étais né pour être humaine, pas pour être parfaite. J'étais tellement protégé de la vie que pendant longtemps je cherchais la perfection. Après un moment je réalisais que je n'avais pas vraiment cherché la perfection j'ai été forcé par ce que mes parents voulaient. J'étais d'accord avec cela pendant un certain moment et voilà où nous en sommes.

J'étais partis depuis quelques jours. Je ne savais pas vraiment combien de temps mais je ne pouvais pas imaginer ce que mes parents devaient en penser. J'ai décroché un sourire à la pensée. Allaient-ils appeler la police pour me rechercher ? Ou m'avaient-ils renié et allaient-ils continué leurs vies comme d'habitude ?

Pour une fois dans ma vie, je n'en savais strictement rien. Ils pouvaient aller se faire voire. Il n'y avait plus rien sur moi désormais. Excepter peut-être le fond de mon argent et mon école. Oh.

Ce n'est pas comme si je pourrais aller n'importe où bientôt. Pas dans la mauvaise situation où je suis.

Putain de Zayn.

J'en avais putain de marre de ces conneries de merde.

Je ne voulais pas me permettre de le laisser me contrôler. Il ne pouvait pas objectiver, non pas comme mes parents le faisaient. Je ne voulais pas me permettre ça. Mes parents avaient volé mon enfance et mon adolescence. Je ne voulais pas le laisser prendre contrôle sur le reste de ma vie. Je ne pouvais pas me permettre, même d'accepter un compromis avec l'idée d'avoir à répondre à quelqu'un de nouveau.

Le seul à qui je voulais répondre était à moi-même. J'étais en charge de moi désormais. Oui, c'était terrifiant mais c'était ma vie. Je devais pouvoir vivre de cette façon celle que j'ai choisi.

J'ai arrêté mes pensées qui se déchaînaient pendant un rare moment et j'ai été interrompu par un immense grondement venant de mon ventre.

J'étais affamée. Je n'avais pas mangé depuis des jours et cette merde de tuyau était généreux puisqu'il ne pouvait pas satisfaire mon estomac.

J'ai senti quelque chose de divin flottant dans ce que je pense être la cuisine. Où d'autre pouvait-on cuisiner ? Cela me donnais l'eau à la bouche. J'ai senti les œufs et le bacon puis le chocolat.

Petit-déjeuner.Cela devait être le matin.

J'ai dû m'arrêter avant d'y aller. Je savais que je me révélerais si je le faisais. Je devais me souvenir à qui j'avais affaire. Je traitais avec le même homme qui m'avais touché et m'avais menacé dans ma propre maison. Le même homme qui avaient tué deux personnes.

Apparemment j'avais oublié trop tôt. Je pense que c'était nécessaire pour moi d'essayer et d'oublier les choses épouvantables et affreuse que Zayn avait fait. Je pense que je continuerais à me forcer à juste oublier donc je ne pouvais pas me faire à son image.

Il était terrifiant et je me souvenais de ça. Je ne pouvais pas dénigrer le mal qu'il avait fait.

Je ne pouvais pas aider ça je suppose. J'étais trop naïve et je le savais. J'étais trop indulgente. J'étais trop disposer à oublier.

J'avais toujours été comme ça. Je m'étais contenté de choses depuis le jour où je suis né. Je me contentais toujours de moins que cela paraissait être. Je me suis contenté de mes parents en essayant de les rendre heureux mais je savais que c'était inutile. J'ai essayé de leur plaire quand j'étais toujours leur ''objet'' mais je n'avais plus à le faire désormais.

Je n'avais plus besoin de plaire à mes parents désormais, mais je devais plaire à un nouveau ''maître''.

J'ai collé mon oreille contre la porte pour probablement créer une scène dans mon esprit de ce qui était derrière la porte.

Je n'ai rien entendu et je pensais que c'était une bonne opportunité pour foutre le camp.

J'ai lentement tourné la poignée et j'ai rampé du cabinet à quatre pattes. Je suis restée près des murs bien que le résultat n'était pas bon si il venait dans le coin.

Je n'avais aucune idée où la sortie pouvait être, s'il y en avait ailleurs, je pourrais me cacher.

J'ai atteint la fin du mur me trouvant à l'angle et j'ai été confronté à quelques choses que je ne pensais pas revoir de si tôt.

Ce chien. Ce chien monstrueux.

Je suis resté immobile pendant un instant, pétrifié dans la crainte. Et ensuite je me suis lentement éloigné.

C'est canines comme des dents étaient modelé dans un éclat blanc nacré.Ses yeux étaient ouvert et en alerte. Sa bouche baillait et les flaques de baves se formaient à ses pattes. Sa position était raide prêt à attaquer.

Je me suis de nouveau levé mais il a prit un grand élan et a sauté sur moi.

J'ai laissé sortir un cri avant de pouvoir penser à meilleur que ça.

Encore une fois l'animal de 45 kilos m'a coincé par terre.

J'ai compris depuis que j'avais crié que je pouvais crier encore un peu plus.

Je me suis décalé et tordu sous la bête dans un effort pour me libérer. Je continuais à secouer ma tête et a tendre mon cou comme ça il ne mordrait pas mon nez ou quelques choses d'autres.

« Dégage ! »Je criais. « Arrête ! » Bien que je ne serais pas soulagé de toute manière. Le chien a continué à m'attaquer à vive allure. Je ne pouvais rien voir parce que mes cheveux étaient devant mon visage.

J'ai entendu une paire de pied foulait le sol vers moi et j'avais de l'espoir pendant un moment.

Je luttais pour atteindre mes pieds. Cette chose sautait partout surmoi. Le chien m'a de nouveau coincé avant que sa frayeur ne soit terminé et il fut enlevé de moi de manière permanente.

Je poussais mes cheveux hors de mon visage et mes yeux rencontrèrent une paire de yeux chocolat avec des reflets d'or.

Mon visage a rougi dans l'embarras. Je me suis involontairement mordu la lèvre et me suis rendu toute petite.

Zayn tenait le chien trop excité et vicieux dans ses bras.

Ce chien avait été au dessus de moi. Deux fois. Il était lourd. Zayn devait être vraiment fort si il pouvait le tenir sans aucune complication.

Zayn a placé le chien à ses pieds et est venu vers moi de nouveau.

Je tressailli en reculant mais Zayn l'avait attrapé par le col.

« Silence. » Il grogna. Le ton de sa voix m'a encore plus effrayé que le chien. Le chien a obéit et est resté assis à ses pieds avec obéissance.

Nous sommes resté silencieux pendant un certain temps. Le seul bruit autre que le mien était la lourde respiration du chien.

Je ne savais pas si j'étais censé dire merci ou non. Étais-je supposé dire quelque choses ? Devrais-je remercier un criminel ?

« Merci. »J'ai chuchoté avant que je ne puisse pensé à mieux.

« J'aurais dû le laisser t'avoir. » J'étais effrayé par le grognement de sa réponse rapide.

J'ai haleté et me suis mise sur mes pieds. Il s'est dressé de manière imposante devant moi et j'avais de nouveau l'impression d'être une enfant. J'avais l'impression d'être la petite fille que mes parent savaient traînés vers le bas.

Une larme s'échappa du coin de mon œil et j'ai essayé de ne pas le laisser voir.

Tout me semblait trop familier. La situation était de trop pour moi.J'avais été traité comme ceci une majeure partie de ma vie et seulement une personne pouvait en faire autant.

« Pleurer ne va pas te faire obtenir de la pitié. » Il ricana.

J'aurais encaissé d'habitude. C'était la même chose que mon père m'aurait dit. Et la petite fille en moi était juste assise ici et l'encaissa mais j'étais fatigué de cette comédie et les conneries de ces gens en grande quantité.

J'ai plissé mes yeux sur lui. Je refusais de le laisser m'effrayer. Je savais de quoi il était capable mais je refusais de le laisser m'arrêter de lui mettre une gifle en pleine gueule.

Le petit coup se répercuta partout dans la pièce et le chien a grogné sur moi. Ma main était légèrement rouge. J'avais probablement fait plus de dégât à ma main qu'à lui. Cela ne comptait pas. Ce qui comptais c'est que j'avais réussi à sortir la haine en moi et je me sentais bien.

Je ne me suis pas soucié si Zayn allait m'étrangler ou bien me tirer une balle en pleine poitrine. La réévaluation que je n'avais plus rien à perdre le coup. J'allais en enfer de toute manière, non ? C'est ce que mes parents ont probablement pensé de toute manière.

« C'est pour tout ce que tu m'as fait ces derniers mois. »Je lui ai dit courageusement.

Il m'a regardé fixement dans une manière presque amusé.

J'ai levé ma main de nouveau mais il a saisit mon poignet et l'a serré si fort qu'il m'a pratiquement imposé de me mettre à genoux devant lui. Je me suis reculé. Mon corps tordu de toutes les façons différentes devant lui.

« Si tu me frappes de nouveau, je casserais tes deux mains. » Il m'a menacé si calmement qu'il m'a fait mettre en doute sa santé mentale.

Il était fou. Il était mauvais. Il devrait appartenir à un asile mais je n'étais pas sûr de lui dire.

Le chien a aboyé comme pour soutenir la menace de Zayn, de me nuire et j'ai sursauté. Il a déjà dit qu'il allait me tuer. Deux mains cassées semblaient beaucoup mieux que la mort.

« C'est un chien. Relax. »Il dit d'une manière qui me fis trembler. Je suppose qu'il avait remarqué mes fréquents coups d'œil vers le cabot.

« Ce n'est pas un chien. »J'ai soutenu. Il m'a regardé d'un air narquois, m'attendant pour m'expliquer. « C'est un ours. »

Il a fêlé un sourire léger et j'ai mis ma main dans la sienne.

« Tu n'aimes pas aussi Kato ? »Il me demanda.

« Non. »Je gardais une réponse courte.

« Pourquoi ? »Il l'a tiré en arrière rapidement.

« Cette chose a essayé de me manger deux fois. »Je me suis clarifié pour lui.

J'ai parcouru du regard et ai regardé attentivement ce que je portais.J'avais un grand t-shirt. C'était si grand sur moi, que cela pouvait être une robe. Peut-être c'est pourquoi je n'avais pas remarqué que je le portais. J'étais si habitué au port de robes que le non port de pantalons était la norme pour moi.

Un grand trou était déchiré sur le milieu en raison du comportement destructif du chien. Mes sous-vêtements étaient visible.

Je me suis senti immédiatement exposé et embarrassé. Je me suis couvert de mes bras et ai tiré sur le bas du t-shirt.

Il rigola de moi et je me suis senti encore plus embarrassé.

« Ce n'est rien que je n'ai jamais vu avant. »Il m'assura. « J'ai vu beaucoup de chatte. »Mes joues se sont empourprés. J'étais épouvanté par son choix de mots. Oui je jurais beaucoup mais dans ma tête. Je n'avais pas vraiment le cran pour utiliser cette langue.

L'utilisation de cette langue ne s'adaptait pas à la maison ainsi j'avais juste appris à les garder dans ma tête. J'ai dû utilisé cette merde de mot une ou deux fois devant mes parents et ils ont presque exécuté un exorcisme sur moi.

« Que va t-il m'arriver ? Pourquoi suis-je ici ? »Je changeais rapidement de sujet.

« Ne joue pas à la fille stupide avec moi. »Il me cracha. « Les filles qui ont un score presque parfait sur le SAT ne devraient pas être aussi stupides comme tu le fais. »Il m'a envoyé un sourire diabolique.

« C-comment sais-tu ça ? »Je bégayais surprise.

« Je sais tout. »Il rétorqua très rapidement.

J'ai examiné ses yeux et j'avais tord à propos d'eux. J'avais eu tord à propos d'eux en disant qu'ils étaient bon. J'avais lu en lui que tout était mauvais. Il n'était pas perdu à l'intérieur de lui. Il savait exactement ce qu'il faisait. Je n'avais plus aucune raison de me sentir mal pour lui. Ses yeux, ses lèvres, son esprit rien ne rayonnait de remord pour ce qu'il avait fait. Il ne s'est pas senti mal pour les gens qu'il avait tués et les vies qu'il avait détruite.

Il était un monstre peut importe si mes yeux étaient fermé ou non. Je ne me suis plus senti mal désormais. Je me suis juste senti énervé pour m'avoir sentie mal. Je savais qu'il voudrais me donner la mort,qui était inévitable mais ça ne signifiait pas que je devais la rendre facile pour ce bâtard.

« Je t'ai sous-estimé. »Je pouvais pratiquement sentir la morale arriver. Je roulais mes yeux.

« Tout le monde me sous-estime. »J'ai bougonné. J'avais peur mais je savais que si je ne me défendais pas je le regretterais complètement. Je n'allais pas vivre ce qui a été censé être le meilleur moment de ma vie dans la crainte.

« Ferme ta gueule quand je parle et ne roule plus tes putains de yeux devant moi de nouveau. » Sa voix était très forte et très puissante et un frisson courra à travers moi. Je voulais tellement le gifler de nouveau ou ravaler ses mots qui étaient tout aussi méchant mais j'ai tenu ma langue.

« Où étais-tu putain de caché ? »Son utilisation constante du mot putain a commencé à me déranger.Oui je maudissais seulement sa façon qu'elle sortait de sa bouche,dans cet accent étrange, avec une telle colère, ça m'a fait soupirer de dégoût. C'était l'équivalent d'un grincement de chaussures de tennis contre un plancher de tuile. Ce n'était pas insupportable, c'était juste ennuyeux.

« Répond moi quand je te parle. »Il dit entre ses dents. Il venait juste de me dire de me taire et maintenant il voulait que je lui parle ? Il faudrait qu'il se décide.

J'ai pressé mes lèvres ensemble et lui ai donné un regard froid. Si les regards pouvaient tuer il aurait déjà un couteau dans la poitrine.

Je savais que si j'ouvrais ma bouche je dirais quelque chose que je regretterais sévèrement .

« Tu veux me garder dans le silence alors? »Il a demandé et je ne lui ai pas répondu.

« Tu es une putain de gamine. »Il a beuglé et j'ai tressailli à sa férocité.

J'ouvrais ma bouche pour lui dire quelques choses en retour mais je secouais juste ma tête. Je ne savais pas quoi lui dire.

J'ai détourné le regard de lui et quand je me suis tourné pour le regarder fixement il me regardait aussi.

« Pourquoi me fais-tu ça ? »J'ai demandé plutôt désespérément.

« Faire quoi ? »Il a répondu avec un sourire comme le connard intelligent qu'il était.

« Tout.Me poursuivre. Se rapprocher de mes parents. Se faufiler dans ma chambre. Me menacer. Me toucher. »J'ai avalé très durement dans la crainte dont il pourrait faire une certaine plaisanterie inopportune comme me prendre, me frapper ou même me tuer.

Mais il m'a poussé doucement contre le mur. Mon souffle s'est coincé dans ma gorge quand il s'est rapproché de moi.

« Regarde.Si c'est pour t'avoir vu tué ce gars, je suis dés- »

J'ai arrêté le milieu de ma phrase quand j'ai senti sa main autour de ma cuisse. Je pensais que je ne pouvais pas respirer. Je l'ai ignoré et ai continué.

« Si ceci était pour m'apprendre à rester en dehors de tes affaires,j'ai compris, je ne me mettrais pas entre ce que tu fais désormais.J'ai compris le message. Laisse moi juste tranquille et retourner dans ma famille. » Je ne pouvais pas croire que je l'avais dit mais je préférerais être avec ma famille qu'avec Zayn.

«Mais je ne peux pas le faire tu vois, alors ce que tu as vu ne résout rien. »Il m'a souri diaboliquement. « Et en plus, tu ne veux pas retourner dans ta famille. C'est la dernière chose que tu veux faire. Je te connais Mary, ce n'est pas ce que tu avais à l'esprit. »Il chuchotait maintenant dans mon oreille.

« Tu ne sais rien de moi. »J'ai bouilli. J'ai essayé de me déplacer mais son corps m'avait pris au piège.

Il a gloussé d'une façon sombre qui a causé que mon cœur a tressauté.

« Je sais que tout de suite ton cœur tressaute dans ta poitrine. Je peux le sentir. »Il a posé sa main sur ma poitrine. Il n'avait pas à me toucher de cette façon, pas encore du moins. Il me touchait comme quand le docteur vérifiait mon cœur.

Je l'ai regardé fixement. Je cherchais toujours une réponse à ma question précédente.

« Je te fais ceci parce que, »il a fait une pause pendant un instant et s'est penché vers le bas de mon oreille « je te veux. »

J'ai poussé mes mains contre son torse mais il est parti tout en me désirant. Je voulais aller là où je pourrais verser mes larmes.J'étais consterné. Je sais que vous n'êtes pas censés être offensés quand les types disent qu'ils vous veulent, mais quand c'était ce genre de type, dans ces circonstances, je pense que j'avais le droit d'être offensé. La pire partie est que je pouvais même rien dire pour me défendre. J'étais mortifié et embarrassé et bien que je vienne de prendre ce que je présume être un petit somme de douze heure, j'ai été fatigué.

« La nourriture est dans la cuisine au cas où si t'as faim. » Il a ri amèrement et m'a laissé confuse à côté de son chien semblable à l'ours.

Je ne pouvais pas le supporter. Il me rendait malade. Il révélait des émotions en moi que je ne pouvais même pas comprendre pour l'expliquer. J'étais si fâché contre lui mais en même temps il m'a fait penser que ceci était entièrement de ma faute. Mais ne l'étais-je pas de nouveau ?

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