Sensual in red and black

By sakagawea

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Lui: " Ici le tabou c'est moi. Ici je donne de l'interdis, je vends des rêves et dévore vos corps. Il n'y auc... More

Prologue
Wicked Game
One last Night
Time
Angel
Down
All of me
Crazy in love
Love's to blame : Lui
Beth Crowley : Elle
Echo
Cut

Where you belong

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By sakagawea

>Where you belong de The Weeknd

Elle: Me déshabiller ? Demanda t-elle d'une voix paniquée avant d'en rire.

Qui a t-il de plus traite qu'une voix ?. Je le sens dans son timbre qu'elle n'est pas rassurée, qu'elle essaye de cacher ses faiblesses..de me cacher ses faiblesses et un sourire carnassier étire les traits de mes lèvres en respirant l'odeur de son déboussolent. De mon corps, je la domine complètement et me complet à la trouver presque trop vulnérable même cachée par ce brouillard couleur noir. Mes sens captant sa respiration devenu subitement bruyante, aiguise mon appétit alors que je sens bientôt sa poitrine se compresser contre ma chemise et que ses bras trouvent vite le chemin de mon cou pour que je sente un fruit, non.., ces lèvres frôler les miens comme pour me narguer de ma demande. Je reste donc silencieux à sa provocation, ma musculature s'étant contracté sous les effets de l'absence qu'elle laissait après qu'elle soit sortit de mon emprise , reprenant avec délice son verre, me laissant presque prit de curiosité. 

Elle: Désolée, je n'aime pas gaspiller.. Murmura t-elle en parlant du contenu du verre comme pour ce ressaisir et peut-être changer de sujet.

Lui: Quel hasard..moi non plus, murmuré-je en attrapant son bras pour la retenir.

Elle est joueuse mais bien des joueuses ont finit par fondre sous mon jeu. Mes doigts se desserrent, je suis patient, je l'ai toujours été et cela ne changera pas pour une femme dont les couleurs de son image cache un tableau qui semble explicite: elle me désire. Je me retire mais non loin, quelque pas en arrière et le lit m'est accessible, me poussant à m'asseoir dans ces draps presque aussi doux qu'elle.

Lui: De quel couleur est-elle ? demandé-je en sentant encore le tissu de sa robe sur le bout de mes doigts tandis que je m'adosse à la colonne de ce lit en baldaquin.

L'empreinte du champagne me fait encore effet sur mon palais et l'envie de l'effacer avec ses lèvres ou même avec le goût de la nicotine, me démange, alors, je bascule ma tête en arrière rencontrant la colonne en bois derrière moi et je détache les derniers bouton de ma chemise. Je n'ai pas envie de bouger, pour l'instant ce petit cache cache à l'odeur d'une traque dont je serai toujours le prédateur et le faite qu'elle croit le contraire ne me déplaît pas,  qui de nous deux sera vraiment la proie?.  

Elle: Quoi donc ? souffla t-elle d'une voix intriguée.

Lui: Ta robe..de quel couleur est-elle ? Clarifié-je d'une voix suave.

Elle: Rouge. Lui répondit-elle semblant perturbée.

Dans cette pièce noir, ni le temps ni quoi que ce soit n'est accepté, mais cette habitude restant ponctuelle, l'habitude de sentir la fin arrivé, détends mes épaules comme s'ils avaient été trop longtemps contractés. 

Lui:  Temps écoulé dis-je alors que j'entends le son d'une clé qui se tourne, laissant un bruit de porte qui s'ouvre sur un couloir plongé dans le noir, alertant mon attention.

Elle: Et bien, je commençais justement à m'amuser ! dit-elle avec une voix amusée mais qui semble tout aussi déçu.

Elle: Espérons que demain, cette heure ne passera que lentement...rajouta t-elle d'une voix séductrice s'éloignant, surement en direction de la porte.

D'entendre sa voix pleine de sous entendu laisse cette tension électrique naître en moi et je ne peux m'empêcher de sourire , un sourire à en damner un saint, enfin à en damner plusieurs si ils voulaient bien se montrer. 

Lui: Fais moi languir ma belle..j'adore ça, dis-je comme réponse ma voix chaude et sensuel voulant lui faire comprendre qu'elle n'échapperait pas à un homme comme moi.

Sentant son parfum disparaître après que la porte les laisser sortir de ma prison noir et volupté, je sais que les hommes à masque l'on raccompagné jusqu'à l'escalier en lui bandant de nouveau les yeux pour qu'elle se retrouve surement à l'endroit où elle se trouvait en arrivant. Je sors alors mon Zippo et sa flamme dévoile mon visage tendit qu'une cigarette vint à mes lèvres pour que d'une seconde à une autre, l'oxygène se dilate par la fumée qui y sort après une expiration lente. La flamme s'éteins ensuite par mon jeu de doigts, me laissant apprécier l'obscurité comme mes autres sens qui semble encore capter l'empreinte de cette femme alors que nos parfums ce sont accrochés sur nos vêtements. Ma cigarette finit, je remplis mon verre, -je ne gâche jamais un bon champagne et je ne le bois jamais seul qui plus est- et c'est le son de la porte qui s'ouvre ainsi que des mains qui trouvent mon torse comme si le noir était son allié, qui m'avertit que ce ne peut-être que ma Captive, oui parfois il me plait d'en avoir plusieurs sous la main . Ses doigts son fin et possessif,  sa respiration? silencieuse même si je perçois que de me toucher, lui fait de l'effet. Me retournant pas la suite, je bois d'une traite ma boisson contrastant avec le goût de tabac sur ma langue, pour laisser ma main glisser le long de sa peau nue qui ne cherche que du plaisir.

 Captive:  S'il te plaît..prends moi..murmure t-elle d'une voix cassée.

J'aime quand elle me supplie. Cette sensation que leur monde pourrait s'écrouler à tout moment si je n'exauçais pas leur prière, me délecte et gonfle mon désir pour la gente féminine. Mes lèvres ne s'ouvrent pourtant pas et mes mains se referment sur ses hanches tandis que je frôle ses épaules et sa nuque de mon souffle, la sentant frémir. Son parfum a elle est moins subtile, il a l'odeur de la débauche, de l'infidélité, de la sexualité et de la bêtise. Même le noir ne peu me le cacher..rien ne peu m'échapper.

Captive: Je..j'en ai besoin..je n'en peu plus..je t'aime..et je sais que toi aussi, dans tes gestes je le sens souffle t-elle en entourant mon cou pour essayer -je suppose- de m'embrasser.

A ses paroles, mes épaules se contractent, il n'y a rien de plus désagréable pour moi, que de voir mes règles ignorées ou même non respectés. Ça y est, elle me dégoûte, bien qu'elle m'est toujours dégoûté, mais maintenant pourquoi ne pas le lui montrer?. Suis-je cruel? Oui j'adore l'être lorsque le jeu prend fin ainsi, après tout plus la cruauté chez moi est forte, plus le plaisir de l'être l'est tout encore. Je prends donc ses bras fermement pour l'éloigner de moi, qu'elle comprenne qu'elle est out et que j'ai gagné.

Lui: Fin du jeu..susurrais-je à quelque centimètres de sa nuque avant de la lâcher et de partir prendre mes affaires claquant des doigts pour que des hommes masqué pénètre la pièce plongé dans le noir pour récupérer la femme qui ne supporte pas que -comment on dit encore?- je lui  brise le cœur. Mon manteau alors mis, je me soustrais à leur présence et à ses pleures accompagnés par ses cris qui me font pitié, tandis que je rejoins ma jaguar pour retrouver mon monde en couleur.

**

A mon appartement, 02 heures 25 

L'eau froide sur ma peau m'apaise. J'ai l'impression d'avoir été en feu depuis que je suis rentré, peut être à cause de l'excitation de ce nouveau jeu? Peut être à cause de cette odeur de femme qui disparaît au fur et à mesure que le jet d'eau nettoie chaque parcelles musculaires ainsi que chaque traits de mon visage pendant que mes yeux se ferment à ce contact. Dans le calme de la pièce, mes paumes son posées contre le mur tandis que le ruissellement froid glisse comme une caresse le long de mes larges épaule, refroidissant mon corps. Mes cheveux mi court se plaquent sur mes tempes, brouillant parfois ma vision lorsque des mèches se perdent sur mon visage pendant quelque minutes, jusqu'à ce que je bascule ma tête en arrière.

 Me retrouvant par la suite devant mon image se reflétant dans le miroir, les gouttes ondulant le bout de ma chevelure rabattue en arrière, j'esquisse un sourire des plus provocateur en me rappelant son rire après ma dernière phrase, puis me soustrais à la pièce , un jogging noir dévoilant le V cassé par mon torse saillant.  Je ne prends pas la peine d'allumer et redécouvre avec plaisir, les replis de mon drap où le sommeil ne tarde pas à me dévorer comme j'en dévore certaines: avec avidité.

19 heures -Ai-je dis que j'étais matinale ? Maintenant vous savez que non- une heure parfaite pour moi, dès que je sais que mon monde en couleur ne me manque pas, me permettant de récupérer de mes autres nuits précédente qui a finit par un "game over" pour mon ancienne Captive. Une femme sans grand intérêt. Je me dirige vers le couloir que je longe , les stores se remontant automatiquement jusqu'à ce que j'empreinte un escalier de verre pour traverser le salon et finir par atteindre l'endroit souhaité : ma salle d'entraînement. Je commence donc par des tractions et des deeps puis je continu avec des pompes ainsi que du développé couché pour réveillé mon corps qui se réchauffe au fur et à mesure que des perles de sueurs  glisse sur mes adbdos et que ma respiration ce fait un peu plus brute, plus intense, plus présente. Ainsi, plus l'heure passe plus je retrouve mon instinct féroce, cette instinct qui contracte chacun de mes rouages avant de retrouver ma proie du soir avec cet éternel soif de plaisir qui consume mes veines. 

Quand 21 heures arrive, ma douche déjà accomplie et tout le reste d'ailleurs, j'opte pour une tenue sombre, comme hier mais avec une cravate rouge écarlate et enfile mon manteau pour conduire ma jaguar en sachant exactement où  je vais , à l'endroit où les interdits ce confondent. Me retrouvant donc dans ma salle de jeu, j'enlève mon manteau et mes chaussures , retroussant mes manches au passage , pour cette nouvelle séance des plus exquise, ma cigarette brûlante à l'extrémité, atteint par son autre bout, mes lèvres avide de sa toxine dans l'obscurité.

La fumée sort d'entre mes lèvres, moi debout appuyé contre l'une des colonnes du lit, j'observe l'enveloppe noir qui est mon monde de prédilection même si je ne peux rien y voir et je finis par écraser ma cigarette sur un cendrier poser habituellement sur un des meubles. Les glaçons rafraîchit le verre que je tiens de mon autre main, tandis que je ramène l'objet contenant du scotch vers mes lèvres pour m'y abreuver lentement, profitant de la caresse farouche de la boisson dans mon œsophage. Ce que j'aime cet alcool. Les minutes s'écoulent pendant que je retrouve ma posture contre la colonne, en passant ma main dans mes cheveux que j'aurai du prendre le temps de sécher correctement. Je bascule ma tête en arrière et entends la porte s'ouvrir en un léger sifflement pour se refermer après qu'un parfum féminin ai rempli la pièce. C'est elle. 

Lui: Bonsoir, soufflé-je comme début, mon timbre de voix restant grave et bas.

Elle: Bonsoir. Chéri rajouta t-elle voulant déjà jouer.

Je suis curieux de ce qu'il se passera ce soir mais ne bouge pas, non pas ce soir, mon attention a été suffisamment captée par sa présence pour ne pas éprouver un quelconque désintérêt envers elle. Mes mains trouvent par la suite les replis de mes poches car je n'ai aucune intention de faire le premier pas, ni l'intention de la toucher si l'envie ne me vient pas. Je suit ma simple nature, mes plus bas instinct , mon plus grand désir: la traque. Car oui je la traque dans ce monde en noir où aucun de nous deux n'arrive à voir l'autre. Serais-je le prédateur de cet femme ? Il n'y a aucun doute et volontairement ma respiration perceptible doit lui montrer une piste en plus de ma voix.

Lui: J'ai pensée à toi toute la journée dis-je d'une voix provocatrice alors que je suis conscient de ce mensonge.

Mentir, voilà quelque chose que tous fait en ce bas monde, que Je fais en ce bas monde pour lui accorder -comment dire- un peu d'importance alors que bien évidemment , elle n'en à aucune. Cette femme ne me paraît pas assez futile ou ignorante pour croire en ce que je dis, mais puisqu'on doit jouer ce soir, jouant la carte du mensonge ainsi que celle de la vérité et voyons où cela nous mène.

 Je la sent tout proche de moi maintenant, non.., venir à moi comme si le danger lui-même, l'attirait et le danger, à cette instant.. c'est moi. Mettant bien placé pour savoir qu'elle était bien plus proche que je ne le pensais, ouvertement je me penche pour sentir son souffle se joindre au mien.

Elle: Tu m'excuseras...Je n'ai pensé à toi qu'au moment où un inconnu m'a donné son numéro m'annonça t-elle provocatrice dès le début.

A sa réponse je n'intervient pas, tout simplement parce qu'elle ne joue pas au bac à sable comme d'autres femmes avec qui forcément il faut prendre des gants. Alors je vais plus loin.

Lui: Ton rire a, ce soir là,  quelque peu attiré mon attention rajoutais-je d'un verdict véridique pour savoir si elle peu tout cerner, même privé de la vue.  

Elle: Pas assez on dirait, à t'entendre. Me répondit-elle d'une voix aguicheuse.

 A la seconde,  un sourire séduisant se dessine sur mes lèvres, moi à proximité d'elle et surtout de son odeur qui rendrait fou les sens d'un homme peu aguerrit, le genre d'homme que je ne suis pas. 

Elle: Dis-moi...En sortant de l'immeuble hier, j'ai croisée une femme, est-elle venu pour te rencontrer ou y a t-il d'autres hommes comme toi qui jouent à ce genre de jeu ? demande t-elle curieuse  

Lorsque je la sens partir et que je me retourne à sa voix, me précisant où elle se situe exactement, mon attention se porte plus sur sa phrase que ce qu'elle peu faire allonger, enfin si elle l'est.  

Lui: Juste une femme sans importance. Mon ancienne Captive en l'occurrence répondis-je en retrouvant la froideur de mon verre entre mes doigts et bien-sûr sur ma langue.
Je m'assois sur un fauteuil non lien du lit, sentant déjà assez sa présence et m'imaginant ses courbes que je prendrai le temps de dévorer une fois notre petit jeu verbale terminé.

Lui: Il y en a d'autres. Exigeants comme Captives, dans cet endroit il y en a, mais personnes ne connaît personnes et ce lieu est assez..pointilleux sur l'anonymat rajoutais-je en sentant mon corps chauffer sous le coup de ma boisson.

Lui: L'inconnu au numéro, en combien de temps pense tu le mettre dans ton lit ? questionnais-je alors qu'une idée de jeu me fait boire mon verre d'une traite , laissant les glaçons intact.

Elle: Hum...Honnêtement, il ne me faudrait que deux rendez-vous pour le mettre dans mon lit si je juge que le mec peut être facilement charmé, une semaine ou moins pour les plus coriaces. Sinon...

Elle:..Non. Je viens de rompre avec mon fiancé alors je ne pense pas encore m'aventurer dans ce genre de relations, se reprend-elle d'un coup.

Je sors de mon siège pour poser mon verre sur le meuble d'à côté tandis qu'une information m'échappe, non.., m'intrigue: un ex fiancé?. Une fois mes mains vide je reste silencieux pour faire glisser mes doigts sur le drap à proximité d'elle jusqu'à ce que mon épaule vienne s'appuyer contre la colonne du lit. Le faite que cette nouvelle donne soit sortit de son jeu me laisse silencieux pendant que mon souffle ne se fait plus perceptible, laissant juste ma simple présence certifié par mon parfum.

Lui: J'ai eu des Captives plus affectées que ça dis-je enfin pour briser le silence, ayant desserrer ma cravate pour plus de confort.

Elle: Justement, je ne suis pas "tes" anciennes Captives me rétorqua-elle

Elle est maligne, je l'ai remarqué dès notre premier soir. J'esquisse un sourire à cette partie de mensonge et cette partie de vérité qui m'oblige à jouer. 

Lui: Avoue le, tu ne ressentais rien pour lui je présume continué-je en passant devant elle pour m'asseoir sur le lit.

Lui: J'ai presque pitié pour lui. Rencontrer une femme aussi dur qu'insaisissable murmuré-je en faisant glissé mes doigts le long de ses jambes. 

Elle: Je suis de ton avis, j'ai aussi pitié pour lui. Me répondit-elle sa voix perturbée par ce contact.

Lui: Pourquoi joues-tu alors les sensible avec moi, ma belle? Tu as peur de ne pas être à mon goût?.

Elle: Ton goût m'importe peu, mais s'il faut que je le sois pour te posséder entièrement alors...Pourquoi pas essayer ?

Dur et froide ? Qu'elle continue, son moyen d'auto-défense est si facile à cerner. Je remonte alors tout doucement vers son entre jambe pour rencontrer le tissu de sa robe.

Lui: L'inconnu au numéro, met le dans ton lit quand tu veux, mais ne joue pas les victimes, tu es plus intéressante quand tu me montre t'as vrai nature terminé-je ma voix devenant plus provocante tandis que je remonte doucement sa robe en caressant sa cuisse. 

  Dans tout cet espace où seul ma main et nos respirations nous relies, je fais abstraction de ce tissu pour laisser mes doigts glisser sur sa chair sans aucune hésitation et sans aucune restriction, sans plus de douceur. En entendant alors son souffle devenir un peu plus..violent, ma satisfaction de la voir réagir ainsi, si vite, si faible, si femme, assouvit une partie de mon désir qui patiente depuis notre premier soir. Sa main vient alors rejoindre celle qui explore sa peau de soie pour me conduire jusqu'à sa dentelle qui semble déjà impatiente d'être ôter et la sentant se redresser, un sourire des plus tentateur étire mes lèvres en comprenant qu'elle me voulait tout autant que moi. Bientôt se fut ses doigts qui conquérir mon torse, les boutons de ma chemise ayant sautés sous son assaut délicat mais irrésistible, ma main caressant sa dentelle qui se faisait des plus humide au fil de mon exploration. 

Elle: Je ne joue jamais les victimes avec mes proies, je domine....Me murmura t-elle alors qu'elle laissait courir ses lèvres vers mon cou, m'effleurant pourtant à peine, préférant humer certainement, mon odeur.

Elle: Comme avec toi...finit-elle par dire avec un petit rire sensuel me narguant déjà.

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