Where you belong

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>Where you belong de The Weeknd

Elle: Me déshabiller ? Demanda t-elle d'une voix paniquée avant d'en rire.

Qui a t-il de plus traite qu'une voix ?. Je le sens dans son timbre qu'elle n'est pas rassurée, qu'elle essaye de cacher ses faiblesses..de me cacher ses faiblesses et un sourire carnassier étire les traits de mes lèvres en respirant l'odeur de son déboussolent. De mon corps, je la domine complètement et me complet à la trouver presque trop vulnérable même cachée par ce brouillard couleur noir. Mes sens captant sa respiration devenu subitement bruyante, aiguise mon appétit alors que je sens bientôt sa poitrine se compresser contre ma chemise et que ses bras trouvent vite le chemin de mon cou pour que je sente un fruit, non.., ces lèvres frôler les miens comme pour me narguer de ma demande. Je reste donc silencieux à sa provocation, ma musculature s'étant contracté sous les effets de l'absence qu'elle laissait après qu'elle soit sortit de mon emprise , reprenant avec délice son verre, me laissant presque prit de curiosité. 

Elle: Désolée, je n'aime pas gaspiller.. Murmura t-elle en parlant du contenu du verre comme pour ce ressaisir et peut-être changer de sujet.

Lui: Quel hasard..moi non plus, murmuré-je en attrapant son bras pour la retenir.

Elle est joueuse mais bien des joueuses ont finit par fondre sous mon jeu. Mes doigts se desserrent, je suis patient, je l'ai toujours été et cela ne changera pas pour une femme dont les couleurs de son image cache un tableau qui semble explicite: elle me désire. Je me retire mais non loin, quelque pas en arrière et le lit m'est accessible, me poussant à m'asseoir dans ces draps presque aussi doux qu'elle.

Lui: De quel couleur est-elle ? demandé-je en sentant encore le tissu de sa robe sur le bout de mes doigts tandis que je m'adosse à la colonne de ce lit en baldaquin.

L'empreinte du champagne me fait encore effet sur mon palais et l'envie de l'effacer avec ses lèvres ou même avec le goût de la nicotine, me démange, alors, je bascule ma tête en arrière rencontrant la colonne en bois derrière moi et je détache les derniers bouton de ma chemise. Je n'ai pas envie de bouger, pour l'instant ce petit cache cache à l'odeur d'une traque dont je serai toujours le prédateur et le faite qu'elle croit le contraire ne me déplaît pas,  qui de nous deux sera vraiment la proie?.  

Elle: Quoi donc ? souffla t-elle d'une voix intriguée.

Lui: Ta robe..de quel couleur est-elle ? Clarifié-je d'une voix suave.

Elle: Rouge. Lui répondit-elle semblant perturbée.

Dans cette pièce noir, ni le temps ni quoi que ce soit n'est accepté, mais cette habitude restant ponctuelle, l'habitude de sentir la fin arrivé, détends mes épaules comme s'ils avaient été trop longtemps contractés. 

Lui:  Temps écoulé dis-je alors que j'entends le son d'une clé qui se tourne, laissant un bruit de porte qui s'ouvre sur un couloir plongé dans le noir, alertant mon attention.

Elle: Et bien, je commençais justement à m'amuser ! dit-elle avec une voix amusée mais qui semble tout aussi déçu.

Elle: Espérons que demain, cette heure ne passera que lentement...rajouta t-elle d'une voix séductrice s'éloignant, surement en direction de la porte.

D'entendre sa voix pleine de sous entendu laisse cette tension électrique naître en moi et je ne peux m'empêcher de sourire , un sourire à en damner un saint, enfin à en damner plusieurs si ils voulaient bien se montrer. 

Lui: Fais moi languir ma belle..j'adore ça, dis-je comme réponse ma voix chaude et sensuel voulant lui faire comprendre qu'elle n'échapperait pas à un homme comme moi.

Sensual in red and blackWhere stories live. Discover now