Nina ( TOME 1 )

Von EIRAMYBB

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Alors que Nina s'engage dans sa nouvelle aventure à l'université de Denver, elle nourrit l'espoir que cette n... Mehr

Chapitre 1 (Nina)
Chapitre 2 (Nina)
Chapitre 3 (Enzo)
Chapitre 4 (Nina)
Chapitre 5 (Enzo)
Chapitre 6 (Nina)
Chapitre 7 (Nina)
Chapitre 8 (Enzo)
Chapitre 9 (Nina)
Chapitre 10 (Nina)
Chapitre 11 (Enzo)
Chapitre 12 (Nina)
Chapitre 13 (Nina)
Chapitre 14 (Enzo)
Chapitre 15 (Nina)
Chapitre 16 (Nina)
Chapitre 17 (Enzo)
Chapitre 18 (Nina)
Chapitre 19 (Nina)
Chapitre 20 (Enzo)
Chapitre 21 (Nina)
Chapitre 22 (Nina)
Chapitre 23 (Enzo)
Chapitre 24 (Nina)
Chapitre 25 ( Nina)
Chapitre 26 (Nina)
Chapitre 27 (Nina)
Chapitre 28 (Enzo)
Chapitre 29 (Nina)
Chapitre 30 (Nina)
Chapitre 31 (Nina)
Chapitre 32 (Nina)
Chapitre 33 ( Enzo)
Chapitre 34 ( Nina)
Chapitre 36 (Nina)
Chapitre 37 (Nina)
Chapitre 38 (Enzo)
Chapitre 39 (Nina)

Chapitre 35 (Nina)

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Von EIRAMYBB

Je ressens une bouffée d'excitation alors que je compose le numéro d'Enzo. Il me manque, et entendre sa voix devient plus que nécessaire.

Ce matin, en me réveillant, j'ai vu plus de 6 appels manqués et je m'en veux de ne pas les avoir vus.

J'entends les sonneries défiler, mais il ne décroche pas. Il est 17h et je me demande bien ce qu'il peut faire.
Je lui laisse un message, lui demandant de me rappeler dès qu'il le voit.

Je retourne m'asseoir en face de mon père, il a enfin déplacé son pion sur l'échiquier après de longues minutes de réflexion face à mon échec.

Maîs je le vois tout de suite, il sera en échec et mat en moins de 3 coups. Je ne peux m'empêcher de sourire en constatant la position critique dans laquelle il se trouve. Cela fait des années que nous jouons aux échecs, et bien que nos parties soient toujours intenses, celle-ci semble être à mon avantage.

Mon père relève la tête, son regard rencontre le mien, et il comprend instantanément la situation. Un sourire malicieux se dessine sur son visage ridé. Il ne dit rien, mais il n'a pas besoin de mots pour exprimer son admiration envers ma stratégie bien pensée.

Le silence règne dans la pièce alors que nous observons l'échiquier avec une concentration digne des plus grands joueurs. Il commence à déplacer ses pièces avec précaution, cherchant désespérément une issue à la situation délicate dans laquelle il s'est retrouvé.

Mes yeux scrutent chaque mouvement, anticipant ses réactions, essayant de prévoir ses prochains coups. Bien qu'en difficulté, il ne se laisse pas abattre. Il continue de jouer avec détermination, tentant de repousser l'inévitable défaite qui plane au-dessus de lui.

Les minutes s'écoulent, nous sommes absorbés par le jeu, chacun essayant de prédire les mouvements de l'autre. Mon père ne cède pas facilement, et son esprit stratégique n'est pas à sous-estimer. Cependant, ma position reste dominante, et il le sait.

Finalement, je place son roi dans une position impossible. Un sourire satisfait se dessine sur mon visage, et je lance un regard taquin à mon père. Il incline la tête, reconnaissant ma victoire imminente.

-Tu t'es amélioré.

- J'ai appris du meilleur ! L'élève a enfin dépassé le maitre on dirait.

- C'est ta mère qui m'a appris à jouer, dit-il nostalgique. 

Un éclat de surprise traverse mon visage.

- Elle avait une manière unique d'aborder le jeu. Elle avait une vision stratégique exceptionnelle. Je me souviens encore de nos parties, elle m'impressionnait à chaque coup.

Son regard se perd brièvement dans le passé, les souvenirs flottant devant lui. C'est une facette de ma mère que je n'avais pas vraiment explorée.

- Elle serait fière, tu as le même jeu qu'elle.

Mon sourire s'étend, je ne savais pas que ma mère jouait aux échecs, ou du moins je ne m'en souviens pas.

Mon téléphone, posé sur le plan de travail de la cuisine, se met à sonner. Je me précipite en espérant que ce soit Enzo qui me rappelle, mais c'est le nom de Dimitri qui s'affiche

Je décroche :

- Dimitri ?

- Salut Nina, comment ça va ?

- Ça va super et toi ?

- Ça va, je voulais prendre de tes nouvelles, je n'en ai pas eu depuis que tu es arrivé à l'aéroport.

- Tout va bien... J'étais en pleine partie d'échec avec mon père.

- Oh... Il, il va bien ? Dit-il maladroitement.

-  Oui... Tu, tu veux lui parler ?

- NON, se précipite-t-il de dire, enfin je ne pense pas que ce soit le moment.

- Je comprends... Les garçons vont bien ? Dimitri ? Enzo ?

-  Enzo ? Pourquoi tu veux savoir ? s'énerve-t-il.

- Comme ça, je voulais juste faire la discussion.

- Ils vont bien, je te laisse j'ai entrainement dans 15 minutes, à plus.

Il raccroche, me laissant dans l'incompréhension. Je n'arrive pas à comprendre sa réaction. Est-ce qu'il est toujours énervé parce qu'il m'a embrassé ?

Je repose mollement mon téléphone, j'espère que leur relation va s'arranger et qu'ils ne vont pas rester indéfiniment fâché.

Mon téléphone vibre à nouveaux, c'est Tyler.

« J'espère que tu n'as pas oublié le cinéma, rdv 19h30 devant, Pauline a déjà pris les billets, à tout à l'heure »

...

Ça fait maintenant 3 jours que je suis ici, je passe le plus clair de mon temps avec mon père ou à sortir avec tout le monde. Assise par terre dans ma chambre, je commence à faire ma valise pour le grand départ de demain.

Je mentirais si je disais que je n'ai pas envie de rentrer, mais je n'ai pas envie de partir non plus. 4 jours, c'est beaucoup trop court et rien que de m'imaginer reprendre les cours me démoralise.

Camille et Marco sont partis à un match de basket. Tous les amis de Marco sont dans l'équipe. Ils m'ont proposé, mais je n'étais pas d'humeur.

Je plie méticuleusement mes vêtements, en essayant de ne pas penser à la fin de ce court séjour. Dehors, le soleil se couche doucement, je jette un coup d'œil à l'heure. Camille et Marco ne devraient plus tarder.

J'entends des rires et des cris provenant du couloir. Le match de basket a dû être animé. Je me demande s'ils ont gagné.

Je m'assois sur le lit, en fixant ma valise à moitié pleine. La porte s'ouvre brusquement, révélant Camille et Marco avec des sourires triomphants. Apparemment, leur équipe a remporté le match.

Ils me parlent vivement de chaque moment du jeu, me détaillant avec précision les moments forts, mais mon esprit vagabonde ailleurs.

Je n'ai toujours pas reçu de nouvelles d'Enzo et je commence à m'inquiéter. J'ai l'impression qu'il m'évite, mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi.

Je les regarde avec un léger sourire, essayant de me plonger dans leur conversation, mais mon esprit reste préoccupé. Camille s'approche de moi, remarque ma valise à moitié pleine, et me lance un regard compatissant.

- Tu sais, tu pourrais rester un peu plus longtemps si tu le voulais. Suggère-t-elle.

Bien qu'on soit venus à 3, repartir seul me fait un pincement au cœur. Les vacances sont passées beaucoup plus vite que ce que j'avais espéré, et eux aussi doivent reprendre les cours.

- J'adorerais rester, mais les cours reprennent, et je ne peux pas manquer trop de jours.

Marco s'assoit à côté de moi et pose son bras autour de mes épaules.

- Ça va être dur de te voir partir. On s'est bien amusés tous ensemble.

Je soupire légèrement.

- J'espère qu'on pourra se retrouver bientôt, peut-être pendant les prochaines vacances.

Camille hoche la tête.

- Bien sûr, on se fera ça. Et puis, il y a toujours les appels vidéo et les messages. On restera connectés, quoi qu'il arrive.

...

Mon père a invité tout le monde à dîner, et ça faisait longtemps que la maison n'avait pas été remplie comme ça. Pauline et Camille débattent sur les dernières tendances mode et leur dégoût réciproque pour les chaussures compensées, pendant que les garçons critiquent les choix douteux du coach lors du match de basket.

Je tourne la tête vers mon père, qui semble ailleurs. Je pose ma main délicatement sur la sienne

- Tu vas bien papa ?

Il relève les yeux vers moi.

-  Ça faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu du monde à la maison, ça me fait du bien.

Un sourire apparait sur son visage et je sens mon cœur fondre. Je ne l'avais pas vu comme ça depuis si longtemps.

- Ça me fait plaisir de te voir heureux.

- Ta mère aurait adoré être ici, à voir tout ce monde réuni. Elle aurait probablement ri en voyant Pauline et Camille discuter de mode. Elle aurait sûrement eu des opinions bien tranchées sur ces chaussures compensées.

Un soupçon de tristesse traverse à nouveau son regard, mais cette fois, il est accompagné d'une certaine sérénité, comme s'il avait réussi à accepter le poids des souvenirs.

Ma mère est l'amour de sa vie et ça me tue qu'ils se soient séparés. Il faut absolument que je fasse quelque chose pour les rassembler, leur histoire ne peut pas se finir comme ça, pas maintenant que je connais toute la vérité.

Je ne peux m'empêcher de regarder mon père avec tristesse. Lui aussi a le droit au bonheur et maintenant que ma vie semble aller mieux, j'en fais ma mission personnelle.

Pour lui.

...

Le lendemain matin, je dis au revoir à mon père et à mes amis. Je leur ai strictement interdit de m'accompagner à l'aéroport, c'est beaucoup trop difficile de les laisser partir sinon.

J'embrasse chacun de mes amis, en prenant soin de m'attarder sur chaque étreinte, et je ressens une pointe de tristesse à l'idée de les quitter.

Nous échangeons un dernier regard avec mon père avant que je ne franchisse la porte.

Le trajet vers l'aéroport se fait en silence.

À l'aéroport, j'attends patiemment mon vol. Le temps d'attente avant le départ semble s'étirer, et je me plonge dans mes pensées.

J'envoie alors un message à Enzo pour le prévenir de l'heure à laquelle je suis censé arriver, espérant qu'il sera là.

Lorsque l'annonce pour l'embarquement retentit, je prends une profonde inspiration, franchis les portes de sécurité et me dirige vers l'avion.

Je cherche mon siège grâce aux numéros indiqués sur mon billet et je suis contente de me trouver côté hublot. Je n'attends pas plus longtemps et enfile mes écouteurs. Le trajet va être long, c'est un vol direct, et j'espère réussir à dormir.

...

Je me réveille à 5 minutes de l'atterrissage, à ma grande surprise j'ai dormi durant tout le vol.

Je récupère ma valise, ranger dans les compartiments au-dessus, et sort enfin de cet avion.

Je suis les passagers jusqu'au hall de l'aéroport d'Ottawa et me dirige vers la sortie.

Je scrute méticuleusement l'aéroport à la recherche d'un visage familier. L'aéroport est bondé, rempli de voyageurs pressés se dirigeant dans toutes les directions. Je balaye du regard la foule qui attend les passagers fraîchement débarqués, et mon cœur s'accélère légèrement quand je pose les yeux sur lui.

Il est venu, Enzo m'attend les bras croisés. Il ne m'a pas encore remarqué.

C'est après quelques secondes, quand je me dirige vers lui, qu'il me remarque.

Son regard se plante dans le mien et il me détaille intensément. Je me précipite et me jette dans ses bras. Tout le monde autour de nous semble s'atténuer alors que je m'abandonne à son étreinte chaleureuse. Le son des annonces, le brouhaha de la foule et le cliquetis des chariots à bagages disparaissent et plus rien ne compte que lui.

Son odeur emplit mes narines, un mélange subtil de son parfum préféré et de l'odeur unique qui lui est propre. Il me serre un peu plus fort, comme s'il voulait s'assurer que je suis bien réel et à nouveau près de lui.

Finalement, nous nous éloignons doucement l'un de l'autre, nos regards se croisent à nouveau, et un sourire complice se dessine sur ses lèvres. Je ne peux m'empêcher de lui rendre.

Cependant, sans qu'il ne s'y attende, je le tape avec entrain.

- Tu ne m'as donné aucunes nouvelles depuis 3 jours !

Il me dévisage et prend un certain temps avant de répondre.

- J'avais des choses à régler.

- Quel genre de choses ?

- Rien d'important, il change vite de sujet, on y va ?

Je fronce les sourcils en tentant de comprendre la situation, me demandant quelles circonstances l'ont empêché de m'envoyer ne serait-ce qu'un seul message.

Il me tourne le dos assez vite et se dirige vers la sortie, emportant ma valise avec lui.

Je ne m'attarde pas plus longtemps et le rejoins.

Nous prenons alors la route vers le campus. J'entrouvre ma fenêtre, laissant passer l'air chaud de la fin de la journée. Il doit être aux alentours de 17h, et la nuit commence petit à petit à tomber.

- Alors, comment ça s'est passé ?

-  Mon père m'avait vraiment manqué et j'ai revu tous mes amis, dis-je en rigolant, ça m'a fait du bien.

Il hoche la tête en souriant, concentré sur la route qui se déroule devant nous. Les lumières des lampadaires commencent à s'allumer.

- Et toi, comment ça s'est passé de ton côté ?

- Comme d'ab, entrainement sur entrainement, le coach ne nous lâche plus depuis qu'il a appris pour les nouvelles dates des matchs. 

Mon téléphone, posé sur mes cuisses, se met à vibrer et affiche un message sur l'écran.

C'est un message de Dan.

"Salut Nina, j'ai appris que tu étais partie. Je n'ai pas pu te dire au revoir, mais je suis content que tout se soit arrangé entre nous. Tu m'avais manqué."

Je relève la tête vers Enzo et je remarque que ses doigts se sont crispés autour du volant.

- C'est qui ce Dan ?

Est-ce que je dois lui dire que c'est mon ex ? Et s'il le prend mal, devrais-je lui mentir en disant que c'est un simple ami ? Mais s'il pose plus de questions, je ne sais pas ce que je devrais faire et si...

- C'est... mon ex.

- Ton quoi ?

Il détourne son regard de la route pendant quelques secondes pour le poser sur moi. Le bruit régulier de la route défilant sous les pneus de la voiture accentue le silence gênant entre nous.

- Ton ex ? répète-t-il, comme s'il voulait s'assurer d'avoir bien entendu.

Je me mords la lèvre inférieure, cherchant les mots justes pour expliquer la situation pendant qu'il scrute mes expressions, à la recherche de la moindre indication sur la nature de ma relation passée avec Dan.

- On est restés amis, c'est tout. Je ne veux rien te cacher.

Il détourne le regard de moi et se concentre à nouveau sur la route.

- Je n'aime pas ce mec, déclare-t-il finalement, sa voix trahissant une pointe de méfiance.

Je soupire intérieurement, comprenant que la situation peut devenir délicate.

-  Pendant que j'étais là à t'attendre, toi t'étais avec lui ?

Je m'efforce de le rassurer.

- Mais entre Dan et moi, il n'y a rien à craindre. Mon choix est clair, et c'est toi que je veux.

Le son de ma voix trahit une certaine anxiété, car je sens que la tension dans la voiture a considérablement augmenté. Enzo reste silencieux pendant un moment, sa mâchoire serrée, avant de lâcher un soupir profond.

- Je ne sais pas, Nina. C'est juste que... je n'aime pas l'idée que tu sois proche de ton ex, même en tant qu'ami.

- Dan et moi, c'est du passé, et je ne veux rien d'autre qu'être avec toi maintenant.

Il reste silencieux, ses yeux fixés sur la route, mais je peux sentir le poids de ses pensées. La voiture continue de rouler dans un silence tendu pendant quelques instants.

Enzo resserre sa prise sur le volant, laissant échapper un soupir agacé.

- J'aimerais vraiment comprendre pourquoi tu restes en contact avec lui, lance-t-il, sa voix trahissant une pointe d'irritation.

- Dan et moi avons partagé des moments importants dans le passé. Et...

J'ai l'impression que cette discussion tourne en rond.

Il garde les yeux fixés sur la route, mais son expression montre qu'il n'est pas totalement convaincu.

- Je ne sais pas, Nina. C'est juste que... ça me rend nerveux. Et cette histoire de rester 'amis' après une relation... Je te jure que s'il tente quoi que ce soit, je vais le défoncer.

- Si tu préfères que je coupe les ponts avec lui pour te rassurer, je le ferai. Ce qui compte le plus pour moi, c'est notre relation.

Il reste silencieux pendant un moment, puis soupire.

- Je ne veux pas te forcer à faire quelque chose que tu ne veux pas. Fais comme tu le sens, mais je ne cache pas que ça me dérange.

Nous arrivons sur le parking de l'université, nous nous garons devant le dortoir.

Je ne peux pas rester, le coach veut qu'on soit sur le terrain dans 20 minutes.

-  Tu m'en veux ?

Il soupire et se tourne vers moi. Ses lèvres se déposent tendrement sur les miennes. Je ressens une pointe de soulagement lorsque nos lèvres se rencontrent. Il rompt notre baiser et sort de la voiture.
Je le regarde s'éloigner vers le terrain de sport.

Je prends une profonde inspiration et me dirige vers le dortoir.

Après avoir déposé ma valise dans ma chambre du dortoir, je décide de prendre le bus pour me rendre chez ma mère. J'ai besoin de la voir et peut-être de commencer mon plan de reconquête.

Arrivé à destination, je descends du bus et me dirige vers la maison. Je frappe à la porte avec une certaine anticipation, m'attendant à voir apparaître le visage de ma mère.

Mais alors que la porte s'ouvre, je me décompose en voyant... mon père.

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