« Et si c'était toi, mon bonh...

Por paristanbul_

219K 5.1K 6.3K

Un simple regard suffit à sceller son destin et à chambouler le cours de sa vie. Et dans toute cette histoir... Mais

00
01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52

34

4K 91 92
Por paristanbul_



J'écarquille les yeux face à ses mots pendant
qu'il me regarde attentivement. Mon cœur est
en train de brûler.

Je ne réponds pas. Je ne sais pas quoi dire.

Je baisse légèrement la tête de gêne.

J'étais morte de peur.

Il le savait. Ça y est Emira il le sait.

Moi: quoi ? Dis-je en bégayant.

Yesime: ta fais sa toi Emira ? Hein répond.

Et rien qu'à sa voix je sentais comment il étais énervé. Je commençais à avoir les mains toute moite à cause du stresse qui s'installer petit à petit.

Je savais plus quoi faire, et je savais pas quoi lui répondre.

Moi: je... je comprend pas trop Yesime.

Yesime: ah ouais tu comprend pas ? Dit-il en lâchant un rire nerveux.

On se fixe. Nos regards sont ancrés l'un dans
l'autre malgré la distance qui nous sépare.Il me
regarde avec indifférence et froideur.

Il a mis son poings devant sa bouche avant de lâcher des injures.

Yesime: putain je vais la niquer si elle continue.

Il parlais tout seul et il fessais les cents pat au salon, un moment il s'est stoppé et il s'est retourné vers moi.

Moi: je comprend pas, dis-je en bégayant.

Yesime: Comment tu peux encore me mentir en
pleine gueule comme ça ?! Tu m'as pas assez
déjà pris pour un con ?! J'te parle la.

Je l'ai déjà vu en colère contre moi mais il a
jamais eu cette expression faciale et il a jamais
autant trembler de colère.

Moi: mais yesime calme toi s'te plaît.

Yesime: explique moi alors pourquoi Kaysân il est venu me parler par rapport à toi, dit-il en fronçant les sourcils.

Mais qu'est-ce que tu va bien pouvoir lui dire maintenant ?

J'avais pas les mots.

J'suis resté cloué devant lui et j'ai rien pu dire.

Lui me regarder les sourcils froncés et je sentais qu'il s'énervait de plus en plus.

Il ferme les yeux comme pour se contenir.Mais,
quand il les ouvre, il est encore plus en colère.

Yesime: parle parce que la ta vu je me retiens tellement.

Je sens qu'il se retient de m'en mettre une et ça me terrifie.

Moi: calme toi s'il te plaît.

C'est la seule chose que j'ai pu lui dire, j'étais ridicule je perdais tout mes moyens.

Yesime: elle a dis calme toi w'Allah elle a dis calme toi.

Il a rigolé nerveusement puis il s'est stoppé d'un coup avant de me saisir violemment par la mâchoire.

Yesime: regarde moi bien la j'ai une gueule moi à me calmer là de suite hein ? Je viens d'apprendre que ma putain de soeur elle fréquente un grand du quartier et pas n'importe le quel non t'es partit choisir Kaysân espèce de salle bouffonne va.

J'avais tellement mal car il me tenais fortement la mâchoire.

Yesime: parle Emira je vais t'en mettre une.

Moi: j'suis désolé Yesime j'te jure j'suis désolé, dis-je en ayant les larmes aux yeux.

Yesime: putain putain c'est quoi cet dinguerie que tu nous fait, dit-il en me lâchant.

Il s'est reculé de moi puis il a passé ses mains sur son visage avant de donner un coup de poings à la porte.

Yesime: J'AI TELLEMENT ENVIE DE TE NIQUER EMIRA.

Moi: je... je suis désolé, dis-je à voix basse.

Yesime: tu crois tu va avoir un avenir avec lui ? Tu crois il va t'apporter quoi Kaysân hein ? Sale p'tite conne va tu sais ce qu'il fais ton mec ? Tu sais dans quoi il travaille grosse conne va.

Mes larmes me menaçais de sortir mais fallait que je me retiennes.

Yesime: bah ouais tu le savais tout sa et même comme sa tu t'es mise avec lui tél une grosse bouffonne, dit-il en lâchant un rire nerveux.

Moi: c'est que ...

Yesime: c'est de lui que tu me parlais l'autre fois hein ? C'est pour sa gueule que tu pleurais comme une merde, dit-il en me coupant la parole.

J'arrivais plus à me retenir alors j'ai lâché une petite larme qui a coulé le long de ma joue.

Yesime: PARLE VITE PARCE QUE JE VAIS PAS ME RETENIR LONGTEMPS.

Moi: oui.

Yesime: putain je vais devenir fou, je vais câbler.

Moi: j'suis désolé yesime.

Il s'est assis sur le canapé puis il a pris sa tête entres ses mains et il est resté silencieux une bonne minute.

Il avais l'air de réfléchir, mais réfléchir à quoi.

Yesime: c'est avec lui que t'es aller en week end, Ali il avais raison depuis le début enfaite et moi j'étais là à prendre ta putain de défense comme un con.

La j'ai sentis mon coeur battre à la chamade, puis j'avais trop envie de pleurer.

J'avais trop peur qu'il me frappe.

Face à mon silence il a relevé la tête avant de me fixé dans les yeux puis il s'est relevé.

Yesime: ta fais sa ? T'es partit avec lui ? Dit-il choqué.

La déception dans sa voix et dans ses yeux me
brise le coeur. Mais, je peux pas parler .Je peux
plus supporter son regard rempli de jugement
et de haine.

Et je crois que mon silence l'énervais encore plus car sa le mettais dans tout ses états.

Yesime: je vais l'enculer.

Il a avancer d'un pat rapide vers moi avant de m'attraper brutalement par les cheveux.

Yesime: AUJOURD'HUI JE VAIS TE DEMARRER TOI.

il s'est mis à tirer sur mes cheveux fortement avant de me mettre une baleyette et je me suis retrouvé au sol.

Je venais de me faire super mal à la cheville mais j'ai rien dis et sur le moment j'avais pas tellement ressentis la douleur c'est après que sa à commencer à me lancer.

Yesime: RELEVE TOI.

Moi: arrête s'te plaît Yesime j'te jure j'suis trop désolé, dis-je à voix basse.

Et j'arrivais même pas à me relever tellement j'avais mal à la cheville.

Il m'a relevé par les cheveux puis il m'a fait avancer jusqu'à ma chambre.

Avant de me jeter sur le lit.

Yesime: DONNE MOI TON TÉLÉPHONE.

Moi: quoi non s'te plaît yesime arrête.

Yesime: mais w'Allah je vais peter les plombs, comment ta pu nous faire sa Emira ? Hein comment ? Tu crois que tu va avoir une belle vie avec ce mec, il va rien t'apporter de beau lui tout ce qu'il l'intéresse c'est l'argent il s'en ballecouille de ta gueule voilà je te le dit moi, et toi comme une putain de grosse bouffonnes tu crois que tu va avoir un putain d'avenir avec un mec comme lui, dit-il en hurlant.

Je me suis mise à pleurer comme un bébé parce que j'avais mal, j'avais mal au coeur.

Je voyais dans le regard de mon frère comment je l'avais déçu, énormément déçu.

Comment j'ai pu leur faire sa ?

Yesime: w'Allah tu nous à niquer, et moi le premier je me suis fait niquer putain pendant que moi j'suis là à dire à sa soeur que je ... dit-il en se stoppant. Et nique sa race toi plus jamais de ta vie tu m'adresse la parole.

Oui je sais tout Yesime, toi tu respecte tellement trop Kaysân que jamais tu osera te posé avec sa soeur.

Je le sait que tu te sens trahie.

Parce que toi dès le début ta mis des barrières entre Kahina et toi par rapport à Kaysân.

Mais les sentiments sa se contrôle pas et moi j'ai pas réussi à faire sa.

Yesime: donne moi ton putain de téléphone avant que je vienne te frapper.

Et je sais très bien qu'il va fouiller dans mon téléphone et il va tomber sur nos messages, sur nos photos...

Moi: je voulais pas tout sa mais sa se contrôle pas et puis j'te jure que j'ai essayé de le quitter mais c'est compliqué, dis-je en larme.

Yesime: tu as encore le courage d'ouvrir ta grande gueule ?! Putain mais je réalise pas ta fais une dinguerie Emira, dit-il en parlant calmement.

Moi: j'suis désolé.

Yesime: t'es partit choisir le pire, w'Allah le pire. Tu crois que Kaysân c'est un mec qui va tout arrêter pour une putain de boloss comme toi ? Mais réfléchit sale conne va, réfléchit avec ton putain de cerveaux qui te sers à rien la. Kaysân il arrêtera jamais ce qu'il fait, il a fais de la taule et il risque encore d'en faire et toi c'est sa que tu veux présenter à ton daron hein ? C'est sa que tu veux présenter à papa ? Répond à ma question.

Moi: yesime s'il te plaît je t'en supplie comprend moi les sentiment sa ne se contrôle pas.

Yesime: répond, c'est sa que tu veux présenter à tes parents. Un mec comme lui ? Un mec qui a yeux que pour le biff et que pour ce qu'il fait.

Moi: non, dis-je en baissant la tête.

Et il avais raison, même si je voulais pas l'admettre je sais que c'est la vérité qu'est-ce que mon père allais en penser ? Il acceptera jamais non plus.

Yesime: tu va dire quoi à papa ? Qu'il a plusieurs terrain dans le sud et même ici ? C'est sa que tu va leur dire ? Qu'il fais aussi du blanchiment d'argent et même du trafic d'arme mais eh frère Kaysân il est dans sa depuis qu'il a 15 piges tu crois vraiment qu'il va tout arrêter pour une meuf ou quoi w'Allah réveille toi et arrête de croire t'es dans un monde de bisounours t'aura jamais un avenir avec lui. Sache le bien t'aura pas d'avenir avec lui.

Puis un blanc s'est installé, j'avais la tête baisser et ses paroles était encore encré dans ma tête.

« t'aura jamais un avenir avec lui. Sache le bien t'aura pas d'avenir avec lui. »

« c'est sa que tu veux présenter à ton daron hein ? »

« Kaysân il arrêtera jamais ce qu'il fait »

Je veux plus rien savoir, je veux plus rien entendre.

Yesime: donne moi ton téléphone.

J'ai sortit mon téléphone de ma poche et j'avais plein d'appels manqué de Kaysân.

Il a jeté un coup d'œil sur l'écran et il m'a fixé.

Yesime: c'est quoi le code ? Dépêche toi.

Moi: c'est 0212.

Il à rangé mon téléphone dans sa poche et il s'est retourné pour sortir de ma chambre et au moment où il a mis sa main sur la poignée de la porte il s'est arrêter.

Yesime: crois moi Emira jamais de ta vie tu finira avec lui, oublie le c'est mieux pour toi parce qu'on acceptera jamais, dit-il sèchement.

Puis il est sortit de ma chambre en claquant la porte.

« oublie le c'est mieux pour toi parce qu'on acceptera jamais »

« crois moi Emira jamais de ta vie tu finira avec lui »

J'étais dans un sale état, je me sentais pas bien et j'ai toute suite eu envie de pleurer.

J'ai été bête d'y croire, mes frères accepteront jamais pour lui et moi.

C'était évident.

Et si lui il réagis comme sa j'imagine pas Ali.

Il va tellement me détester.

Rien que là je pouvais apercevoir cet lueur de dégoût et de désespoir dans le regard de Yesime.

Et j'imagine pas ce qu'il a pu dire à Kaysân, il a du lui en mettre plein la gueule et j'espère qu'il en ai pas venu au mains car connaissant mon frère il est trop nerveux.

J'ai entendu la porte de chez moi claquer puis plus rien, j'en déduis qu'il est sortit.

J'étais resté dans ma chambre, assise sur mon lit complètement perdu.

Le coeur meurtrie.

{...}

Le lendemain,

Je m'étais endormis sur mon lit et quand je me suis réveillé Yesime étais toujours pas rentrer.

J'avais même plus de téléphone et je pouvais même pas prévenir Kaysân ou ma cousine.

J'suis allez dans la salle de bain pour me doucher puis quand j'suis sortit j'ai entendu du bruit dans la chambre à yesime donc je pense qu'il est rentrer.

J'ai mit mon pijama et j'ai séché mes cheveux avant d'aller dans la cuisine me préparer à manger.

J'ai préparé rapidement des pâtes afin de m'installer à table pour pouvoir manger.

Yesime venait de faire son entrer dans la cuisine, mon téléphone en main.

Yesime: tien ton portable, dit-il en le jetant brusquement sur la table.

Doucement c'est le dernier des iPhone quand même...

Yesime: j'ai supprimer son numéro, et j'te laisse faire le reste pour tous vos photos de merde, dit-il froidement.

Purée, j'avais trop honte il a du voir toute mes photos.

Et puis jamais je supprimerai mes photo avec lui.

Yesime: j'espère pour toi que ta bien compris ce que j'tes dis, tu l'oublie. Tu fais ta vie et tu lui parle plus jamais c'est clair ?

C'est trop me demander, l'oublier comment ? Sa sera impossible.

Yesime: et je rigole même pas avec ta gueule si j'apprend que tu lui parle encore ou que tu le voit j'te démarre. Et tu répond quand j'te parle.

Moi: oui, dis-je en baissant la tête.

Il m'a lancé un dernier regard noir avant de me laisser seule dans la cuisine.

Puis quelque minutes plus tard il est ressortit dehors.

J'ai de suite mis mon assiette dans le lave vaisselle et j'suis allez rapidement dans ma chambre pour appeler Kaysân.

Il a supprimer son numéro mais je le connais par coeur malheureusement pour lui.

Et il a répondu à la première sonnerie.

Moi: Allô ?

Kaysân: ouais allô t'es où ? Ça va ?

Moi: putain Kaysân pourquoi tu m'a pas dis que t'allais parler à Yesime hein.

Kaysân: je sais pas je voulais pas te stresser w'Allah j'ai pas pensé à te le dire laisse tomber, dit-il en soufflant.

Moi: il t'a dis quoi ?

Kaysân: il t'a touché ? Est ce qu'il t'a touché ?

Moi: non, non il m'a pas frappé.

Kaysân: hum vas-y lui il me fou trop la haine il me zehef.

Moi: il t'a dis quoi ?

Kaysân: rien on a parlé tranquillement au début, j'lui est expliquer les choses et il a commencé à s'énerver en me disant que j'avais fais le chien à fréquenter sa petite soeur et que jamais il acceptera notre union eh vas-y lui il sais pas que moi dans ma tête quand je veux un truc je l'est et j'suis déterminé à t'avoir.

Moi: j'ai envie de pleurer, Yesime si il dis non j'imagine pas Ali, dis-je tristement.

Kaysân: il est énervé je le comprend mais t'inquiète pas il va redescendre j'irais lui reparler quand il sera calmer.

Moi: non je connais Yesime quand il dis un truc il revient pas sur sa parole Kaysân.

Kaysân: eh mais moi je m'en ballecouille quitte à ce que je leur parle plus jamais de ma vie je le ferais mais toi je t'aurais.

Moi: j'suis trop dégoûté j'te jure, j'suis pas bien.

Kaysân: il t'a dis quoi à toi ? Moi j'suis devenu fou quand j'ai vu que j'avais plus de nouvelle de toi je me suis dis ça y est il a fais une dinguerie j'étais à deux doigt de l'attraper au quartier.

Moi: rien il m'a embrouillais et il m'a dis que je devais t'oublier parce qu'ils accepteront jamais que je finissent ma vie avec toi fin bref j'suis trop pas bien j'te jure.

Kaysân: j'irais lui reparler Emira t'inquiète pas pour sa, j'attend que Ali il sorte et j'irais lui dire aussi.

Moi: j'ai trop peur, Ali ça va être pire.

Kaysân: non il te touchera pas.

Moi: j'ai trop peur Kaysân, sa se trouve on pourra même pas être heureux toi et moi si mes frères ils acceptent pas mon père voudra jamais, dis-je en larme.

J'avais craqué.

Parce que ce que je redoutais ce le plus étais en train d'arrivé.

Kaysân: pleure pas ma beauté, moi je vais pas lâcher l'affaire comme sa crois moi je vais tout faire pour t'avoir, dit-il en me rassurant.

Moi: oui mais sa se trouve qu'ils vont plus jamais me reparler de leur vie, tu sais Yesime hier il m'a dis que je devais plus lui adresser la parole.

Kaysân: l'écoute pas, la ta vu il est sous les nerfs il dis n'importe quoi faut pas faire attention et tu connais Yesime comment il est il aime bien lâcher des p'tites phrase comme sa pour te niquer le morale.

Moi: oui je sais mais ... je sais pas Kaysân sa me soule.

Kaysân: faut qu'on sois fort ma poupée, faut qu'on sois soudée et on va surmonté sa à deux comme sa on va enfin pouvoir être heureux comme tu dis.

Moi: hum oui, dis-je en essuyant mes larmes.

Kaysân: je veux pas te voir pleurer, arrête de chialer.

Moi: oui c'est juste que j'suis triste en plus Yesime il a su que j'étais allez en week end avec toi j'suis sur qu'il va allez tout rapporter à Ali.

Kaysân: il fera pas sa je le connaît.

Moi: on peut pas savoir.

Kaysân: non il le fera pas j'te dis, et moi je vais aller lui parler j'attend juste il se calme un peu je vais l'attraper pour qu'on parle sérieusement.

Moi: d'accord.

Kaysân: vas-y maintenant arrête de pleurer, repose toi et t'inquiète pas fais moi confiance.

Moi: oui.

Kaysân: vas-y ma chérie.

Puis il a raccroché, au fond de moi j'étais un peu rassurer car il avais l'air déterminé.

Et sa me rassure car j'avais trop peur qu'il abandonne rapidement.

Mon bébé...

J'avais passé ma journée à la maison et surtout dans ma chambre, Yesime étais rentrée quelque heure après et il étais rester enfermé dans sa chambre.

J'osais plus trop sortir de ma chambre par peur de le croiser et surtout de l'affronter.

Il étais 22h quand j'ai commencé à avoir faim alors j'suis sortit de ma chambre pour aller chercher des paquets de chocolat dans le placard et comme de par hasard j'suis tombé nez à nez avec lui.

J'ai vraiment aucune chance dans ma vie.

Il m'a toisé du regard avant de me basculer pour passer.

Wah comment l'atmosphère était tendu.

Je sentais qu'il voulais me lancer des piques et qu'il se retenais.

Moi: Yesime on peut p...

Yesime: non parle pas avec moi, et d'ailleurs à partir d'aujourd'hui tu sors plus sans mon autorisation et si tu veux allez voir Ali à l'hôpital sa sera avec moi.

Moi: tu peux pas me faire sa, j'ai plus 16 ans.

Yesime: je m'en ballecouille, t'avais pas qu'à faire la putain de conne en te tapant notre pote derrière notre dos.

Moi: mais tu crois que j'ai voulu tout sa moi ? Sa se contrôle pas les sentiments comprend moi.

Yesime: vas-y toi w'Allah re rentre dans ta chambre avant que je t'envoie une droite dans ta gueule.

Moi: tu ... tu l'as dis à Ali ? Dis-je en bégayant.

J'avais tellement peur de sa réponse, et j'suis sur il pouvais entendre les battements de mon coeur battre rapidement.

Yesime: Ali il sera jamais au courant de cet histoire, parce que toi tu va l'oublier et lui aussi il va t'oublier et tu va faire ta vie et personne d'autre sera au courant pour vous deux.

Moi: pourquoi ? Pourquoi tu veux pas qu'il aille lui parler ? Dis-je tristement.

Yesime: parce que j'tes dis de l'oublier y'a quoi que tu comprend pas dans sa ? Toi et lui c'est mort. Et votre putain d'histoire d'amour là à deux balle vous l'oubliez tout sa c'est finis. Ali c'est mieux pour toi qu'il sache pas parce que moi je le retiendrai pas.

Moi: d'accord Yesime, dis-je en retournant dans ma chambre.

Il est têtu et il veut rien savoir pour l'instant, je vais le laissez se calmer et puis on verra par la suite.

Je peux le comprendre il est énervé ok mais il croit trop c'est facile d'oublier une personne, et puis moi jamais j'oublierai Kaysân.

C'est lui et pas un autre.

{...}

Trois jours plus tard,

Yesime me fessais la misère, il me laissez pas sortir de la maison et il fouillez sans cesse mon téléphone.

Donc à chaque fois que je parlais avec Kaysân au téléphone ou par message je devais tout supprimer pour laisser aucune trace.

Sa commençait à devenir vraiment mais vraiment chiant.

J'avais même pas mon mot à dire car il voulais plus rien entendre, il me répétais sans cesse qu'il voulais plus me parler et que je devais arrêter de lui adresser la parole.

Il m'ignorais complètement.

J'avais l'impression d'être en prison, je pouvais même plus sortir et je voyais même plus mon frère Ali depuis 3 jours.

Moi: je peux allez voir Ali s'il te plaît ? Dis-je en entrant dans sa chambre.

C'était comme sa depuis trois jours, je devais lui demander l'autorisation pour tout et n'importe quoi.

Et sa réponse c'était toujours...

Yesime: non.

Voilà. C'était évident.

Moi: mais je veux juste allez voir mon frère à l'hôpital tu va pas quand même me l'empêcher sa aussi.

Yesime: j'ai dis non.

Moi: mais s'te plait Yesime.

Yesime: j'lui est dis que t'étais malade donc il sais pourquoi tu lui rend pas visite.

Moi: je veux voir Ali s'te plaît j'en ai marre de rester enfermer à la maison.

Yesime: je m'en fou.

Moi: w'Allah que t'es super méchant sache le, dis-je en larme.

J'suis sortit de sa chambre puis j'ai finis en larme dans ma chambre, comme d'habitude...

C'était trop, je méritais pas sa.

J'avais l'impression d'être une gamine de 16 ans avec eux, j'ai le droit de rien faire et quand je fais une connerie je suis punie comme une gamine.

Sauf que j'ai grandis et j'suis plus cet gamine.

Donc ils peuvent plus agir comme sa avec moi.

J'en avais vraiment trop marre, je voulais juste un peu sortir prendre l'air et allez voir mon frère mais même sa je peut plus le faire.

J'avais eu Kaysân au téléphone hier soir et il m'avais dis qu'il allais reparler à mon frère se soir alors je garde encore espoir et j'espère que sa ira pas loin vu leur deux gros caractères.

J'avais une boule au ventre et je commençais à stresser.

Et puis il avais vraiment pas l'air d'être calmé.

Je le sens mal... très mal.

Quelque heure plus tard, j'avais décidé de sortir et puis j'en avais trop marre de rester enfermer dans ma chambre.

C'est plus possible.

Yesime étais en train de dormir dans sa chambre alors j'en ai profité pour sortir rapidement et discrètement, j'espère que je serais rentrer avant qu'il se réveille sinon je suis morte.

J'ai pris ma voiture et j'ai roulé.

Je sais même pas où j'allais mais je roulais.

Et j'avais besoin de le voir lui.

Alors je l'est appeler.

Sa fessais plus de trois jours que je l'avais pas vu.

Je me suis arrêter sur un parking et je lui est dit de me rejoindre rapidement car j'allais pas tarder à allez voir mon frère à l'hôpital.

Puis quelque minute plus tard, j'ai vu sa voiture faire son entrée dans le parking où je l'attendais.

J'suis sortit de ma voiture et j'suis allez le rejoindre dans la sienne, et dès que j'ai ouvert la portière j'ai sentis toute son odeur m'envahir les narines.

Je me suis installé puis on s'est regardé quelque seconde dans le blanc des yeux.

Et il m'a pris dans ses bras.

En me serrant fort.

Puis il m'a déposé un baiser tendre sur le front et sur la joue.

Kaysân: putain tu m'a manqué, dit-il en murmurant.

Moi: toi aussi.

Kaysân: ça va ? Ta pleurer toi encore ta les yeux gonflé.

Moi: hum je me suis pris la tête avec Yesime avant de sortir.

Kaysân: encore ? Pourquoi ? Dit-il en fronçant les sourcils.

Moi: c'est comme sa depuis trois jours tu vois pas qu'il me laisse pas sortir il m'enferme à la maison, j'lui est juste demander si je pouvais allez voir Ali à l'hôpital et il a refuser donc sa ma soûlais et j'ai pleurer.

Kaysân: putain il rend fou lui, t'inquiète pas ma beauté ça va s'arranger je vais tout faire pour que sa s'arrange ok ?

Moi: oui.

Kaysân: moi je veux plus te revoir pleurer.

Moi: non mais laisse tombé je fais que de pleurer en ce moment.

Kaysân: ouais je sais mais pleure plus et se soir je vais allez parler à Yesime, j'te préviendrai toute façon par message.

Moi: oui préviens moi avant comme sa je sais.

Kaysân: ouais t'inquiète pas, putain je peux même plus te voir et on parle au téléphone en secret comme des goss de 12 ans sa me fait rire carrément.

Moi: tu sais Yesime il m'a dis que Ali il sera jamais au courant pour nous deux et qu'il lui dira jamais parce que je devais t'oublier et que c'était vraiment mort.

Kaysân: il dis sa pour te foutre la rage, mais moi j'attend juste ton frère il sorte je vais lui parler directement.

Moi: hum mais je sais pas si c'est une bonne idée.

Kaysân: de quoi ? Dit-il en fronçant les sourcils.

Moi: d'aller parler à Ali.

Kaysân: pourquoi tu dis sa ? Je comprend pas.

Moi: parce que ça va être encore plus compliqué, dis-je en soufflant.

Kaysân: si t'écoute Yesime on va jamais avancer laisse moi allez parler à Ali.

Moi: je sais pas Kaysân, je sais plus rien en ce moment je suis complètement perdu.

Il m'a fixé d'un air perplexe puis il a finis par posé sa tête sur l'appuie tête.

Il avais l'air d'être déstabiliser par ce que je venais de lui dire.

Kaysân: c'est quoi ? Tu veux plus c'est sa ? Dit-il en me regardant droit dans les yeux.

Son regard étais rempli d'interrogations.

Il attendais une réponse clair et net de ma part.

Et mon silence lui répondra car à vrai dire je savais même plus ce que j'allais faire.

J'étais réellement perdu.

Il m'a fixé longtemps en attendant une réponse de ma part puis il a commencé à perdre espoir en me voyant baisser les yeux alors il est sortit de la voiture en claquant la porte.

Je l'est fixé se poser sur le capot et il s'est allumé une cigarette.

Et je sais qu'il est énervé car il fume rarement et le peu de fois qu'il fume c'est quand il a les nerfs.

Je suis descendu de la voiture et j'suis allez le rejoindre.

Il m'a lancé un bref regard avant de continué à fumé sa clope.

Moi: je sais ce que je veux Kaysân et je veux finir avec toi, alors non je lâche pas l'affaire c'est juste que j'suis vraiment trop stressé et énervé en ce moment j'suis désolé, dis-je en ayant les larmes aux yeux.

Il a jeter sa cigarette avant de m'attraper par le bras et de me prendre dans ses bras.

Tout ce dont j'avais besoin.

Kaysân: calme toi ma poupée, j'aime pas te voir pleurer.

Il a poser ses deux mains sur mes joues avant d'essuyer mes larmes qui avait coulais.

Moi: j'ai l'impression que y'a rien qui va s'arranger et que tout va s'empirer.

Kaysân: sois pas négatif.

Moi: oui mais j'en ai marre, je comprend pas pourquoi j'ai jamais de chance comme sa.

Kaysân: vas-y ça y est calme toi, et moi j'tes dis si personne veut je te prend et on se casse loin dans une île ou y'aura que toi et moi, rien que nous deux.

Il avais un petit sourire qui le quittais pas mais moi le sourire aujourd'hui je l'avais pas.

Kaysân: je ferrais tout pour t'avoir près de moi.

Il m'a déposé délicatement un baiser sur les lèvres afin de me scruter le visage.

Il passais son regard sur mes lèvres, mon nez, mes yeux, tout.

Et qu'est ce que j'aimais voir ses beau yeux posais sur moi.

Kaysân: quitte à me mettre le monde à dos pour toi je le ferrais.

Moi: mon bébé, dis-je en le serrant dans mes bras.

Kaysân: c'est toi et moi jusqu'à que la mort nous sépare et y'a personne sur cette terre qui va réussir à nous séparer à part le bon dieu sache le Emira.

Mon amour, les sentiments que j'ai pour lui sont indescriptibles, il sont tellement fort car à chaque mots qu'il me sort de sa bouche je sens mon coeur battre à la chamade.

Kaysân sa a été mon premier amour et sa sera le dernier.

J'ai tout fais avec lui.

J'ai tout vécu avec lui.

Je m'imagine pas un jour sans lui.

Mon amour pour lui est beaucoup trop puissant.

J'ai jamais ressentit sa de toute ma vie à part avec lui.

Lui et moi on se complète.

Y'aura pas de lui sans moi, et moi sans lui. C'est
Impossible.

Notre histoire est pas comme les autres c'est celle d'un homme et d'une femme qui n'étaient pas vraiment faits l'un pour l'autre, mais qui se sont fait l'un à l'autre.

Moi: mon amour de ma vie, je vais jamais te lâcher, dis-je en l'embrassant.

J'ai trouvé mon bonheur à l'instant précis ou j'ai renoncer à le chercher.

Il a suffit d'un instant. Un regard. Une
rencontre. Pour bouleverser le cours de ma vie.

Malgré que sa soit explosif au début, on étais attiré comme deux aimants.

Et dès le départ j'ai été capable de voir en lui des choses que les autres ignoraient.

« Il est des êtres dont c'est le destin de
se croiser. Où qu'ils soient. Où qu'ils aillent. Un jour ils se rencontrent.»

Kaysân: ma petite vie, dit-il en me déposant un bisous sur la bouche.

Moi: on se fais la promesse qu'on abandonnera jamais, ok ?

Kaysân: ouais.

Moi: promesse du petit doigt ? Dis-je en tendant mon doigt.

Il a rigolé puis il m'a tendu son doigt et on a fais notre petite promesse.

Kaysân: regarde ce que tu me fais faire, en dirait un vrai p'tit con, dit-il en souriant.

Moi: si l'un de nous trahie cet promesse, il pourra  plus jamais reparler à la personne.

Kaysân: sa arrivera pas.

Moi: tu m'abandonnera jamais hein ? Dis-je en le fixant.

Kaysân: j'te le promet.

« j'te le promet »

Moi: si un jour tu m'abandonne je sais pas ce que je ferrais sans toi.

Kaysân: je compte pas le faire alors arrête de pensé à sa.

Moi: oui ta raison, bon je vais y aller j'ai peur que Yesime il s'aperçoit de mon absence tu sais que je suis sortit en cachette il dormais donc j'en ai profité.

Kaysân: ah ouais la folle, toi t'aime trop jouer avec ses nerfs aussi t'es une vrai peste, dit-il en riant.

Moi: mais quoi il dormais alors j'suis sortit, bon allez j'te laisse je vais allez voir Ali et après je rentre on parle par message, dis-je en lui offrant un dernier baiser.

Kaysân: vas-y fait attention.

J'avais même pas envie de le lâcher mais j'avais pas le choix, je devais allez voir rapidement mon frère Ali avant que Yesime s'aperçoit de mon absence.

J'suis monté dans ma voiture puis j'suis sortit du parking et j'ai roulé jusqu'à l'hôpital.

Et j'suis allée voir mon frère.

Et en entrant dans sa chambre, je me suis aperçu qu'il étais pas seule. Il était accompagné de Aylin.

Tout les deux m'on regarde gênée puis Aylin a immédiatement baissé le regard.

La honte.

Moi: euh Salut.

Aylin: salut.

Ali: ça va Emira je savais pas que t'allais passer yesime il m'a dis que t'étais malade.

Moi: oui j'étais un peu malade mais rien de grave.

Ali: t'avais quoi ? Ça va mieux un peu.

Moi: oui oui ça va t'inquiète pas.

Ali: tant mieux alors.

Moi: j'suis désolé j'suis venu sans te prévenir j'ai pas pensé j'aurais dû.

Ali: tranquille y'a rien, j'ai parlé avec le médecin il m'a dis qu'il vont me lâcher la bientôt d'ici deux jours normalement j'suis grave content là.

Moi: sérieux ?

Ali: ouais w'Allah, d'ici deux jours j'suis à la maison inch'Allah ça y est j'en ai marre de rester ici.

Moi: non mais grave.

Ali: j'lui est dis toute façon que si il voulais pas me laisser sortir j'allais fuir de leur hôpital, dit-il en riant.

Aylin: n'importe quoi, dit-elle en soufflant.

Moi: non mais ça y est tu va sortir là, tant mieux pour toi.

Ali: ouais il fais quoi Yesime ? Il m'a pas appeler aujourd'hui.

Moi: il est à la maison.

Ali: ok j'lui est dis de te surveiller pendant mon absence j'espère qu'il le fait.

Moi: oui.

Ali: ah j'suis pressé de rentrer à la maison retrouver mon lit là.

Moi: j'imagine bien.

Aylin: bon bah moi je vais vous laissez, faut j'y aille.

Ali: envoie moi un message quand t'es rentré.

Aylin: oui.

Moi: moi aussi faut je rentre.

Ali: je pue ou c'est quoi ? Je vois tout le monde veut partir. Dit-il en riant.

Moi: non mais faut j'aille faire deux trois courses pour la maison y'a plus rien, dis-je en mentant.

Ali: bah vas-y.

Aylin: je repasserai demain.

Ali: ok.

J'suis sortit en même temps que Aylin puis on a quittée l'hôpital ensemble.

Aylin: euh ça va ? Dit-elle timidement.

Moi: oui ça va merci et toi ?

Aylin: El hamdulillah merci.

Elle était toute timide et réserver.

Moi: ta des beaux yeux, il sont super claire.

Aylin: merci beaucoup c'est gentille, dit-elle en souriant.

Moi: tiens mon numéro au cas où si un jour t'a besoin de moi, hésite pas à m'appeler.

J'lui est tendu mon téléphone en lui montrant mon numéro de téléphone puis elle a pris note.

Aylin: merci Emira.

Elle dégage vraiment que de la bienveillance et de la bonté cet fille.

Moi: y'a pas de soucis, à plus tard.

Aylin: oui à plus tard.

Elle est partit de l'autre côté du parking et moi de l'autre.

Je commençais à stresser j'avais tellement peur que Yesime soit réveiller. Il va me tuer si il sais que je suis sortit sans lui dire et surtout dans son dos.

J'ai pris la route rapidement avant de rentrer chez moi.

Et Dieu merci quand j'suis rentré il dormais paisiblement dans son lit, ouf...

J'ai commençais à préparer à manger puis une heure plus tard il s'est réveillé et il est venu dans la cuisine pour boire de l'eau sans m'adresser une fois la parole.

Moi: tu veux manger avec moi ?

Yesime: non, dit-il froidement.

Ok.

Il est sortit de la cuisine en posant son verre sur la table puis il est allez se doucher.

J'ai commencé à manger toute seule puis j'ai regardé ma série dans ma chambre tranquillement.

Quelque minute plus tard il est rentrer dans ma chambre habillé et il tenais une serviette dans ses mains.

Yesime: donne moi ton téléphone.

Moi: encore, dis-je en soufflant.

Heureusement pour moi que j'avais supprimer toute notre conversations depuis aujourd'hui.

Donc il peut fouiller autant qu'il peut il trouvera rien.

J'lui est tendu mon téléphone puis il l'a saisie, il a jeter rapidement un coup d'œil avant de me le lancer sur le lit.

Yesime: je sors, ta pas intérêt à sortir dehors sinon je vais te marbrer.

Puis il est sortit de ma chambre en claquant fortement la porte.

J'ai repris mon téléphone et j'ai appeler Kaysân.

Moi: Allô t'es où ?

Kaysân: j'suis dehors pourquoi ?

Moi: Yesime il vient de sortir.

Kaysân: ok j'irais lui parler t'inquiète pas.

Moi: il est toujours autant énervé y'a rien qui a changer.

Kaysân: il va se calmer au bout d'un moment.

Moi: je sais pas.

Kaysân: si crois moi.

Moi: il a encore fouiller mon téléphone heureusement que toute à l'heure j'ai pensais à supprimer nos messages.

Kaysân: il abuse lui, dit-il en soufflant.

Moi: tu va allez lui parler ?

Kaysân: ouais je vais y aller là.

Moi: mais tu sais ou il est ?

Kaysân: ouais je sais où le trouver t'inquiète pas, vas-y je te rappel.

Moi: bisous fait attention à toi.

Puis j'ai raccroché, je stressais tellement je me sentais pas bien.

Connaissant mon frère sa allais pas bien se passais c'est sur.

J'ai mis mon téléphone à charger puis j'suis allez prendre une douche, j'avais même pris le temps de posée un soin sur mes cheveux.

J'étais en train de rincer mon soin quand j'ai entendu mon téléphone sonner.

J'ai pas prêter attention et j'ai continuer à faire ce que je fessais.

Mes cheveux avais grave pousser, je me tâte à les couper un peu parce que j'aime pas quand c'est trop trop long. Il m'arrivais pile en haut des fesses.

J'suis sortit de la salle de bain et j'ai sécher mes cheveux, puis je me suis fais une tresse pour pouvoir dormir.

J'ai enfiler mes pyjama et je me suis allonger sur le lit, j'ai récupéré mon téléphone qui charger et j'avais plein d'appel manqué de Kaysân et un message.

« j'ai parlé avec ton frère, te prend pas la tête avec lui il est énervé laisse le parler »

Et au moment où j'allais le rappeler, j'ai entendu la porte claqué.

Mon frère venait de rentrer.

J'ai vite supprimer son message et ses appels manqué avant de posé mon téléphone et de faire genre d'arranger mon lit.

Il est rentré rapidement dans ma chambre les sourcils froncé et il s'est approché de moi.

Yesime: je t'avais dis quoi moi ? Oh j'te parle la, dit-il en me tirant le bras.

Moi: tu me fais mal.

Yesime: vous me prenez trop pour un guignol vous j'ai jurée que vous me prenez trop pour un putain de con.

Moi: j'ai rien fais.

Yesime: vas-y c'est sa ferme ta gueule c'est mieux pour toi.

Moi: je vais jamais l'oublier Kaysân sache le, dis-je en l'affrontant.

Yesime: tu va l'oublier et lui aussi d'ailleurs il va bien te zapper.

Moi: non il m'oubliera jamais, et on va jamais s'oublier d'ailleurs.

Yesime: me cherche pas, dit-il en s'approchant de moi.

Moi: c'est la vérité sache le, Kaysân il lâchera jamais l'affaire.

Yesime: bien sûr que si, tu crois il va rester comme sa toute sa vie ou quoi y'a que toi la bouffonne qui crois sa.

Moi: non, tu pourra jamais nous séparer.

Yesime: allez ferme la, w'Allah t'es une putain de bouffonne sache le tu fais pitié tu crois trop que Kaysân il va pas lâcher l'affaire tu verra bien toute façon il a pas le choix que de t'oublier parce qu'on acceptera jamais. Rentre toi sa dans ton putain de crâne, dit-il en me tapotant la tempe.

Moi: t'es un putain d'égoïste.

Yesime: mais tu croyais quoi Emira ? Qu'on allais accepter ? Que j'allais dire oui vas-y sort avec Kaysân. Mais ta craqué toi. Oublie le w'Allah c'est mieux pour toi.

Je laisse échapper un rire nerveux, tout en
levant les yeux au ciel pour me contenir et pour
tenter de rester digne. Mais, ma dignité a
disparu depuis bien longtemps.

Alors je laisse échapper quelque larmes qui coule le long de mes joues.

Moi: mais je vais jamais le faire putain, je vais jamais l'oublier.

Yesime: TA PAS LE CHOIX, TU VA LE FAIRE !

Moi: NON JAMAIS, JAMAIS TU M'ENTEND.

Yesime: j'te laisse le temps de l'oublier mais écoute moi bien, Ali et papa il seront jamais au courant de cet histoire. Tu va l'oublier et tu va refaire ta vie tranquillement un point c'est tout.

Moi: mais t'es un putain d'égoïste, c'est pas toi qui gueuler sur Ali y'a quelque semaine pour lui dire d'arrêter de se comporter comme sa avec moi, mais tu agis exactement comme lui. Ta la même réaction que lui tu m'enferme dans ma chambre et tu fouille mon téléphone.

Yesime: tu me remerciera plus tard.

Moi: mais jamais de la vie, j'ai plus 16 ans ok ? Laissez moi faire ma vie.

Yesime: ferme la ma main elle va atterrir sur ta gueule là.

Moi: mais vas-y frappe moi, j'en ai marre je peut rien faire avec vous.

Yesime: reste tranquille Emira, un conseil reste bien tranquille.

Moi: je m'en fou.

Yesime: tu ferme ta gueule et tu l'oublie c'est tout maintenant arrête de me cassez les couilles parce que je vais te faire une dinguerie.

Moi: sors de ma chambre je veux même plus te parler Yesime.

Yesime: mais tu crois que moi j'ai envie de parler avec ta gueule ou quoi ?

Moi: sors de ma chambre.

Yesime: t'inquiète pas je vais me barrer, mais j'espère que ta bien compris ce que j'tes dis.

Puis il est sortit de ma chambre en claquant la porte.

Ouais c'est sa, je vais JA-MAIS l'oublier.

Jamais.

{...}

Mel: mais j'ai juré que Yesime il abuse, c'est quoi sa.

Moi: laisse tomber je le calcule même plus.

Mel: ah non mais là je suis grave déçu de lui.

Moi: il veut rien entendre, et il fais que de me dire que Ali et mon père faut pas qu'il soit au courant de cet histoire.

Mel: mais c'est un malade.

Moi: je peux plus rien faire avec eux.

Mel: normalement il est sensé te comprendre.

Moi: il veut rien savoir, il fais que de me répéter que je dois l'oublier.

Mel: et Kaysân il raconte quoi ? Il t'a pas parlé depuis ?

Moi: si toujours il m'a dis de le laisser se calmer et qu'on verra, toute façon Ali il sort de l'hôpital aujourd'hui.

Mel: et il va aller lui parler ? Ololo le bourbier.

Moi: non je lui est dis t'attendre encore un peu.

Mel: ouais vaut mieux pas hein et Yesime il va peter un plomb quand il va voir que Kaysân il est allez parler à Ali.

Moi: je m'en fiche.

Mel: je suis grave choqué, Kaysân il est partit parler à Yesime non mais allô tu réalise meuf.

Moi: hum.

Mel: et dire qu'aux début tu me fessais la meuf ouais moi jamais je me mettrai avec un mec comme Kaysân hein, dit-elle en m'imitant. Je t'avais prévenu pourtant faut jamais dire jamais.

Moi: non mais grave.

Mel: t'es bien tombé love.

Moi: j'étais conne.

Mel: tu me fessais trop la meuf pff, non mais moi un mec comme Kaysân c'est mort hein bla-bla-bla allez tiens maintenant, dit-elle en se moquant de moi.

Moi: arrête connase, j'étais bête et puis moi et lui au début c'était... c'était vraiment un bordel on se détestais je te rappel.

Mel: mais purée t'es bien bête toi, pourquoi j'ai une cousine qui réfléchie pas bordel ? Mais meuf tu crois vraiment que lui il te détestais ou quoi ? Il est tombé sous ton charme dès le début, sa se voyais grave.

Moi: non pas du tout.

Mel: mais bien sûr que si, moi j'avais cramé dès le début qu'il se passais un truc entre vous deux. Comment il te regardais à chaque fois qu'il te croisais fallait voir il te mangeais du regard et en même temps t'es une putain de bombe il peut que tombé love de ma cousine hein.

Moi: mais moi au début il m'énervais trop il me fessais trop le mec, et en plus il me fessais peur.

Mel: t'a quand même un bon steak entre les mains meuf.

Moi: non mais toi j'en peut plus tu me fais rire.

Mel: bah quoi ? Et mais Kaysân c'est un putain de mec hein qui rêverais pas au quartier sortir avec lui ?

Moi: et moi alors ? J'suis une putain de meuf aussi tu crois quoi, dis-je en riant.

Mel: oui toi c'est sur, non mais juste j'te dis qu'ici y'a plein de meuf qui bande sur lui, elle rêveront toute de faire un tour de bécane avec lui et faire un snap avec un casque arai.

Moi: tu pense ? Dis-je en rigolant.

Mel: mais oui réveille toi meuf tu vois pas que quand Kaysân il vient au quartier tout le monde sort et parle de lui ?! Les meufs elle sont en sang sur lui putain mais toi là je vais te frapper si tu continue à me faire la teubé.

Moi: je m'en fiche franchement je calcule pas, et puis dans tout les cas il est à moi voilà.

J'avais passé la journée chez ma cousine, sa m'avais fait du bien de parler avec elle et puis se soir Ali rentrais chez moi donc j'allais pas tarder à rentrer pour préparer à manger.

Mel: tu sais que Adnan il veut demander ma main à mon père ?

Moi: sérieux mais c'est trop bien sa.

Mel: oui sauf que je sais pas je préfère attendre encore un peu.

Moi: mais pourquoi ? C'est trop bien si il viens parler à ton père.

Mel: je sais pas trop, j'ai pas envie de laisser mon père il sera tout seule sa me fait mal au coeur.

Moi: mais t'es sérieuse ? Tu va pas te marié toute suite de toute façon et puis ton père il sera jamais seul hein tu sera encore là et puis même nous on sera là pour lui.

Mel: oui mais moi mon père je l'aime trop w'allah je vais trop pleurer le jour ou je vais devoir quitter la maison.

Moi: par contre sa grave surtout quand ton père il va te mettre le turban rouge autour de la taille, tu va chialé comme une merde.

Mel: ouais vu que j'ai pas de frère mon père il me le fera je pense.

Moi: mais c'est trop bien si Adnan il vient parler à ton père, eh ton père il sera grave heureux pour toi. Adnan c'est quelqu'un de bien et il travaille il a tout pour lui.

Mel: oui c'est vrai mais bon on verra là pour l'instant je lui est dis d'attendre encore un peu.

Moi: comme tu veux ma chérie.

Mel: on verra bien.

Moi: bon moi je vais rentré je vais préparer à manger à Ali comme sa quand il rentre il va pas râler.

Mel: ah oui il rentre aujourd'hui lui, tant mieux.

Moi: oui grave.

Mel: dire que lui aussi il s'est trouvé une meuf, dit-elle en rigolant.

Moi: non mais grave j'espère il va bientôt se marié comme sa je suis tranquille.

Mel: en tout cas sa meuf elle doit avoir les épaules solide pour le supporter hein. 

Moi: plus que solide même, qui peut supporter Ali ?

Mel: personne, dit-elle en riant.

Moi: un gros bordélique comme lui la.

Mel: elle va devoir se taper le ménage 10 fois par jours ma parole.

Moi: ah mais j'te jure bon courage pour elle.

Mel: qui se rappel quand on était petit on aimais trop rentrer dans la chambre à Ali et lui jeter de l'eau à la gueule quand il jouais à la play, un jour je m'en rappellerais toute ma vie je lui avais fait sa et il avais pris un ciseaux pour me couper les cheveux j'avais pleurer toute les larmes de mon corps.

Moi: je m'en rappellerais toute ma vie de ce jour là après il s'était fait démonté par mon père et le tien c'était tellement drôle non mais lui il est fou dans sa tête faut vraiment pas le chercher.

Mel: il a pris le ciseaux et il avais couper mes cheveux normal, j'avais la coupe à dora après j'avais grave pleurer putain il m'a fais grave la misère quand j'étais petite.

Moi: mais toi aussi t'était trop chiante meuf, t'aimais trop les embêter.

Mel: et toi en plus tu assumais jamais tu mettais toujours la faute sur moi sale peste va.

Moi: c'est moi je te disais viens on va les embêter en plus mais c'est toujours toi qui prenais tout.

Mel: c'était toujours à moi de lui jeter de l'eau à la tronche, non mais toi t'étais trop une putain de peste enfaite tu me donnais toujours le verre d'eau toi tu le fessais jamais bizzarement.

Moi: mais il allait me tuer c'est pour sa, dis-je en rigolant.

Mel: ouais c'est sa. J'ai trop été une victime quand j'étais petite.

Moi: oh ça va t'avais 11 ans même pas.

Mel: bah eh alors ?

Moi: moi le truc qui m'a grave marqué et que j'oublierai jamais c'est quand on s'était fait défoncé par Ali et Yesime à cause de ta gueule là. 

Mel: quand sa putain et mais on a vécu trop de truc de ouf je m'en rappel même plus. Dit-elle en riant.

Moi: on été en 4 eme rappel toi après les cours tu m'avait dis ouais accompagne moi à l'épicerie je vais m'acheter des bonbons et que t'avais voler deux paquet de bonbon en cigarette là du coup les jeunes il nous avait courser et il étais aller voir mes frères pour leur dire que j'avais voler et quand on était rentrer il nous avais grave frapper.

Mel: ah oui putain mais vas-y ce jour là j'avais pas assez d'argent pour en acheter du coup je me suis dis il va jamais nous cramer en plus c'est vrai que c'était deux petit jeunes qui travaillais las bas a l'époque. C'est chiens il sont partit nous balance directe.

Moi: non mais toi t'aimais trop faire des trucs comme sa, à cause de toi je me fessais trop frapper quand j'étais petite.

Mel: on a vécu trop de chose ensemble, on était deux peste. J'ai trop de souvenir avec vous.

Moi: grave w'Allah là meilleur époque.

Mel: clairement.

Moi: bon vas-y je vais rentrer parce que si on continue à parler je vais jamais rentrer.

Mel: on a trop de truc à se souvenir et à raconter.

Moi: mais oui c'est pour sa ciao meuf.

Mel: vas-y et tu me tien au jus en message si il se passe un truc.

Moi: oui t'inquiète pas.

Mel: vas-y bisous fais attention à toi ma chérie.

Moi: yes merci.

J'ai mis mes chaussures et j'suis sortit de chez elle, fallait que je rentre avant que mon frère rentre à la maison. Yesime allait le chercher à l'hôpital.

J'suis rapidement rentré chez moi et j'ai commencé à préparer à manger.

Entre temps j'ai appeler Kaysân, il me manquais trop je le voyait plus depuis quelque jours.

Kaysân: ouais allô.

Moi: T'es où ?

Kaysân: j'suis dehors et toi t'es rentré ça y est ?

Moi: oui j'suis rentré je suis en train de préparer à manger.

Kaysân: il est rentrer Ali ?

Moi: non pas encore, je suis en train de lui faire à manger la il va pas tarder normalement.

Kaysân: hum ok.

Moi: tu m'a pas trop envoyé de message aujourd'hui.

Kaysân: ouais j'étais occupé.

Moi: d'accord tu va rentrer à quelle heure ?

Kaysân: je sais même pas mais tard je pense.

Moi: d'accord tu m'envoie un message toute façon.

Kaysân: ouais t'inquiète pas, il t'a rien dis Yesime aujourd'hui.

Moi: non pourquoi ?

Kaysân: parce que j'suis allez lui parler encore.

Moi: je savais pas t'aurais pu me dire.

Kaysân: il veut rien savoir cet enflure.

Moi: non mais lui il est en train de me soûler.

Kaysân: vas-y laisse tombé, je comprend pas pourquoi il agis comme sa.

Moi: on va attendre encore un peu je pense.

Kaysân: ouais et puis j'irais parle à Ali directement et après ton père.

Moi: oui.

Kaysân: sinon j'en ai rien a foutre, dès que ton daron il rentre je vais le voir lui directement.

Moi: oui mais je préfère que t'arrange sa avec mes frères d'abord puis après mon père.

Kaysân: hum.

Moi: puis moi je parlerais avec ma mère, toute façon il vont rentré bientôt normalement.

Kaysân: tant mieux.

Moi: bon allez mon bébé je vais te laisser je vais finir de faire à manger.

Kaysân: vas-y fait attention à toi.

Moi: toi aussi bisous, dis-je en raccrochant.

J'ai posé mon téléphone sur la table et je suis allez mettre mes pijamas en attendant que mon plat cuisse.

J'ai entendu la porte sonné et je suis allez ouvrir.

C'était Yesime et Ali.

Ali: ça va ou quoi ?

Moi: enfin de retour.

Ali: w'Allah j'suis trop content la, tu sais pas toi.

Yesime m'a toisé du regard puis il est directement rentré dans sa chambre.

Ali: il a quoi lui il est aigri de fou en ce moment il me tape sur le système.

Moi: je sais pas.

Ali: il est chelou.

Moi: je t'ai préparer à manger, viens je te sers une assiette.

Ali: putain jure ? T'es là meilleur w'Allah merci.

Moi: assis toi, j'te ramène ton assiette.

Il s'est assis à table puis j'lui est servie à manger et il a manger tranquillement.

Ali: sinon ça va toi ? Tu continue à chercher du travaille ?

Moi: oui toujours.

Ali: c'est bien demande à Yesime si il veut manger non ?

Moi: ah oui attend je vais lui demander.

J'suis allez dans sa chambre pour lui demander et il était en train de compter de l'argent sur son lit.

Yesime: toque quand tu rentre putain.

Moi: tu veux manger ? J'ai fais à manger ?

Yesime: non sors de ma chambre.

J'suis sortit de sa chambre et j'suis allez rejoindre Ali.

Moi: il a pas faim il m'a dit.

Ali: hum ok bah mange toi.

Moi: non j'ai pas trop faim j'te jure.

Ali: c'est grave bon merci j'ai kiffé, j'espère ma femme plus tard elle sera cuisiner sinon j'suis mort.

Moi: Tu veux dire Aylin, ouais j'espère.

Il a souris timidement et il a mis son assiette dans le lave vaisselle.

Ali: merci Emira c'était bon, je vais allez me reposer un peu.

Moi: de rien et oui vas-y va dormir.

Ali: les médicaments que je prend il me shoute de ouf laisse tombe carrément.

Moi: repose toi bien t'en a besoin en plus

Ali: j'ai passez deux semaine allonger sur un lit j'ai au ma dose en vrai, dit-il en rigolant.

Il m'a déposé un baiser sur le front puis il m'a encore remercier pour le plat que je lui avais préparer avant d'allée dans sa chambre.

J'avais même pas faim alors j'ai ranger la nourriture qu'il restais dans un Tupperware afin de le mettre dans le frigo.

J'suis retournée dans ma chambre et je me suis endormis rapidement morte de fatigue.

{...}

1 semaine plus tard, franchement il s'est rien passé d'exceptionnel.

À part que mes parents rentraient se soir et j'étais tellement mais tellement contente de les retrouver.

Mon grand frère Ali était presque rétabli et il avais repris ses habitudes.

Entre Yesime et moi c'était super froid, vraiment on se calculais à peine et il m'avait plus reparler de Kaysân ou quoi donc sur sa j'étais un peu tranquille car il me soûlais pas mais c'était super tendu entre nous car à tout moment il pouvais m'embrouiller pour un rien tellement il avais les nerfs contre moi.

Et même Ali avait remarqué que s'était tendu entre nous car il arrêter pas de nous demandais si un truc c'était passais pendant son absence mais on lui avait rien dit.

Heureusement pour moi d'ailleurs Yesime lui avait pas dis un mot sur ma relation. Dieu merci !

Mais bon il sera bien au courant un jour donc dans tout les cas y'a rien qui va changer j'ai envie de dire.

Il étais 16 heure et j'étais sortit faire quelque courses pour la maison, bon en vrai c'est faux j'en ai profité pour aller voir mon mec ...

Sa fessais 1 semaine qu'on se voyait pas mais là j'avais craquais j'avais besoin de le voir.

On étais posée chez lui et ils avait commandé à manger.

Moi: mon père il rentre se soir.

Kaysân: je sais tu me l'a déjà dis Emira.

Moi: hum et tu va all...

Kaysân: ouais je vais allez lui parler dès que j'ai le temps t'inquiète pas, dit-il en me coupant la parole.

Moi: et Ali ?

Kaysân: demain on est censé se voir je vais lui parler.

Moi: purée sa me stresse trop cet histoire, yesime il est toujours sous les nerfs il veut même pas me parler.

Kaysân: laisse le redescendre un peu c'est normal.

Moi: sa fait quand même un peu plus d'une semaine la que j'attend.

Kaysân: ouais mais laisse le tranquille, il va te reparlez t'inquiète pas.

Moi: à toi il te parle ?

Kaysân: non même pas, ton frère c'est un ouf il a de la chance je le considère comme mon p'tit frère parce que depuis longtemps je l'aurais goumer.

Moi: pourquoi tu dit sa ?

Kaysân: parce que vas-y la dernière fois que j'suis allez lui parler il m'a mal parler, il m'a manquez de respect un peu on va dire mais tranquille je peut comprendre il est énervé et tout mais y'a des choses à pas dire aussi.

Moi: pff il t'a dis quoi ? Yesime quand il est énervé il dis n'importe quoi faut pas faire attention.

Kaysân: ouais je sais très bien comment il est ton frère. Rien laisse tombé il réfléchit pas quand il parle c'est tout.

Moi: oui mais il t'a dis quoi enfaite explique moi.

Kaysân: que c'était pas un mec comme moi qui allais marié sa soeur, et que jamais de la vie il acceptera un mec comme moi pour toi fin plein de truc comme sa tu connais.

Moi: et quoi d'autre ?

Kaysân: je m'en rappel même plus w'Allah juste voilà il m'a fais comprendre que c'était mort.

Moi: moi aussi il m'a dis sa.

Kaysân: après il m'a dis que lui il avais jamais oser me manquer de respect mais que moi j'avais fais le fils de pute en sortant avec sa soeur.

Moi: il t'a dis sa ?

Kaysân: c'est sa qui m'a énervé, il arrive pas à se contrôler lui quand il parle.

Moi: et tu lui a rien dis.

Kaysân: si j'allais lui envoyé une bonne tarte mais putain je me suis retenue de fou et il a vite compris son erreur parce que après il m'a dis ouais je voulais pas te manquer de respect mais vas-y j'suis grave énervé contre toi tu ma fais un coup de fou en sortant avec ma soeur moi jamais j'aurais pu te faire un truc comme sa fin bref laisse tombé.

Moi: non mais il est nerveux aussi Yesime, sinon jamais il t'aurais dis une insulte pareille.

Kaysân: il a de la chance c'est ton frère parce que depuis longtemps je l'aurais terminé sinon, dit-il en riant.

Moi: mais j'imagine pas avec Ali comment sa va se passais.

Kaysân: lui ça va être compliqué, mais je sais déjà ce qu'il va me dire.

Moi: et il va te dire quoi ?

Kaysân: rien laisse tombé Emira, dit-il en soufflant.

Moi: mais dis moi.

Kaysân: à ton avis ? Il va me parlé de ce que je fais.

Moi: eh il va jamais accepter c'est sa.

Kaysân: ouais je sais pas.

Moi: tu va dire quoi à mon père si il te dis dans quoi tu travaille ?

Kaysân: j'suis dans l'import export de la location de voiture.

Moi: ouais c'est sa bien sur.

Kaysân: tu veux je lui dise quoi ? Vas-y dis moi.

Moi: tu crois vraiment il va te croire ? Eh puis si mes frères lui disent mon père il va jamais vouloir.

Kaysân: arrête de me prendre la tête Emira déjà que j'ai une migraine là j'ai la tête elle va explosé donne moi mon paquet de clope.

J'lui est donné son paquet puis il est sortit fumer au balcon.

La situation le rendais nerveux et à vrai dire moi aussi car y'a rien qui allais.

J'ai débarrassé tout les déchets qu'on avais laisser sur la tables afin d'aller dans la cuisine, je lui est lavé le peu de vaisselle qu'il avais puis j'suis retourné au salon.

Moi: je vais y aller.

Il est sortit du balcon puis il a pris la canette qu'il avais déjà entamé avant de la finir.

Kaysân: tu va allez où ? 

Moi: je vais faire les courses, puis je rentre.

Kaysân: essaye de parler avec ta mère s'te plaît par rapport à ton père, je sais même pas comment m'y prendre w'Allah j'suis perdue, dit-il en soufflant.

Mon bébé il avait l'air bien perdu. Il me fessait de la peine.

Je me suis approché de lui et je lui est déposé plein de bisous sur tout le visages et sa la fait sourire.

Moi: oui t'inquiète pas je lui parlerai et puis ma mère elle est déjà au courante pour toi et moi je lui avais déjà dis, et puis stresse pas mon bébé mon père il est pas méchant.

Kaysân: il va m'envoyez une droite sa se voit, dit-il en rigolant.

Moi: non il aura juste la rage parce que tu va lui piquer sa fille unique mon chérie, sa petite préféré.

Kaysân: il s'appelle comment déjà ?

Moi: il s'appelle Adem.

Kaysân: hum vas-y on verra toute façon tu me dit mais je pense que j'irais lui parler une fois que t'a parler avec ta mère.

Moi: oui t'inquiète pas mon bébé, tu sais que t'es trop beau ? Dis-je en le taquinant.

Kaysân: vas-y là arrête.

Moi: la t'es censé me dire que moi aussi j'suis belle et que j'suis la plus belle de toute.

Kaysân: plus narcissique que toi y'a pas je crois hein.

Moi: non j'suis même pas narcissique déjà.

Kaysân: bah ouais c'est sa.

Moi: toi t'es narcissique.

Kaysân: jamais de la vie.

Moi: menteur va, t'aime trop te regardé dans le miroir.

Kaysân: ouais eh alors ? Sa veut rien dire sa, dit-il en souriant.

Moi: t'a intérêt toute façon à pas faire le beau.

Kaysân: sinon quoi ? T'es une ouf toi.

Moi: bah sinon tu va voir.

Il m'a attrapé par la nuque avant de me la serrer.

Kaysân: je vais rien voir du tout sale folle va.

Moi: tu me fais un bisous ?

Kaysân: non ça y est.

Moi: quoi ? T'es sûr de toi ? Bon ok.

Kaysân: ouais t'en a assez eu aujourd'hui.

Moi: non pas du tout, mais c'est pas grave j'irais en demander à quelqu'un d'autre.

Kaysân: je vais te niqué toi, dit-il en me tirant vers lui.

Moi: bah quoi ? Tu veux pas non.

Kaysân: y'a que moi qui a le droit à se privilège, dit-il en me déposant un bisous entre chaque mot.

Moi: mon chéri il peut vraiment pas me résister, dis-je en me jetant des fleurs.

Kaysân: arrête de faire ta belle.

Moi: comment je t'es piqué toi.

Kaysân: allez ferme la, dit-il en rigolant.

Moi: en vrai c'est quoi ton style de meuf ?

Kaysân: toi, dit-il sans hésité.

Moi: mais enfaite toi depuis le début t'était piqué hein petit menteur va tu me fessais le mec nerveux là.

Kaysân: non tu m'énervais grave avec ta tête là.

Moi: ouais c'est sa, c'est bon assume c'est rien si t'a été piqué en premier.

Kaysân: j'ai vu ton gros boule j'ai été piqué, dit-il en rigolant.

Moi: vas-y dégage moi j'te parle sérieux et toi toujours tu déraille.

Kaysân: mais quoi ? Tu veux j'te dise quoi ouais en vrai quand j'tes vu j'ai kiffais c'est bon t'es contente ?

Moi: t'étais même pas un peu gentille au début.

Kaysân: à t'écouter j'étais un monstre.

Moi: bah oui tu l'étais clairement hein ! Je m'en rappel encore du jour où tu m'a attrapé dans ce parking et t'avais peter les plombs sur moi.

Kaysân: t'étais pas arrivé au bon moment, enfaite toi des le début j'tes montrer une facette de moi que t'aurais pas dû voir.

Moi: hum tu m'a bien fais pleurer.

Kaysân: désolé ma poupée, j'étais con.

Moi: oui.

Kaysân: mais tu me rendais fou à me tenir tête aussi.

Moi: comme toujours d'ailleurs.

Kaysân: mais t'assume jamais après, dit-il en rigolant.

Moi: c'est trop vrai, dis-je en souriant. Ne me laisse pas Kaysân ne me laisse pas sans toi.

Kaysân: tu le sais déjà, jamais.

Moi: mon bébé.

Kaysân: c'est toi le bébé ouais, moi j'ai 25 ans.

Moi: je m'en fou.

Kaysân: appelle moi le boss plutôt.

Moi: non mais elle était drôle celle là allez bouge.

Kaysân: quoi ? Garde tes vieux surnom pour toi s'te plaît et appelle moi boss, dit-il en se moquant.

Moi: ok bébé.

Kaysân: il ont poussé tes cheveux, tu va pas les couper ?

Moi: t'aime pas, dis-je en fronçant les sourcils.

Kaysân: si je kiffe trop, dit-il en mêlant sa main dans mes cheveux.

Moi: bah voilà si tu aime je coupe pas.

Kaysân: non coupe pas, moi j'aime.

Moi: ok mon chéri je couperai pas juste un peu les pointes parce que il sont abîmé et en plus j'aime pas quand c'est trop long après.

Kaysân: si un jour tu coupe tes cheveux je te tue je crois.

Moi: mais pourquoi ? T'es malade.

Kaysân: parce que les cheveux long sa te va bien en dirait une petite princesse. Tu sais la princesse là comment elle s'appelle déjà ? Elle a les cheveux long jusqu'au sol ?

Moi: raiponce bébé.

Kaysân: ouais voila en plus ta les cheveux grave claire ta des reflet blond au soleil c'est beau.

Moi: oui au soleil il éclaircisse grave.

Kaysân: une vrai petite bombe, dit-il en me scrutant.

Il arrive toujours à me déstabiliser c'est grave.

Moi: merci mon bébé, dis-je en souriant.

Kaysân: y'a que toi ta les cheveux clair comme sa dans ta famille.

Moi: Yesime aussi, lui pareille il est châtain clair mais moins que moi.

Kaysân: ouais lui c'est vite fait.

Moi: c'est du côté de ma mère il ont tous les cheveux châtain clair limite blond parfois.

Kaysân: j'espère notre fille plus tard elle aura les mêmes cheveux que toi.

Sur le moment il s'en ai pas rendu compte mais sa m'a touché.

Il se projette mon bébé.

Kaysân: et tes yeux aussi.

Moi: je serais jalouse moi parce que j'suis sur sa serai une vrai fille à papa, la fille à son père.

Kaysân: ma fille je vais la gâter plus tard tu sais pas toi.

Moi: elle aura un beau prénom.

Kaysân: ta une idée ?

Moi: hum je sais pas trop mais j'aime trop le prénom à ta mère Ayla.

Kaysân: ouais c'est beau.

Moi: bon allez je vais faire mes courses là sinon je vais jamais y aller.

Kaysân: en tout cas je te ferrais cinq enfants.

Moi: ouais c'est sa allez rêve, pas plus que trois.

Kaysân: vas-y toi trois c'est rien.

Moi: si trois ou rien.

Kaysân: bah ouais c'est ce que tu dis sa mais t'inquiète pas.

Moi: bon déjà va allez voir mon père au lieu de t'emporter.

Kaysân: ton père il va voir sa fille avec cinq goss il va devenir fou, dit-il en rigolant.

Moi: laisse mon père tranquille toi.

Kaysân: vas-y va faire tes courses toi au lieux de parler.

Moi: mais c'est toi tu me laisse pas tranquille enfaite sinon depuis je serais partit moi.

Kaysân: ouais la mytho t'arrive pas à me lâcher c'est tout, trop piqué celle là.

Moi: pas du tout.

Kaysân: en plus elle assume jamais rien.

Moi: bon allez la pour de bon ciao.

J'ai enfilez ma veste puis j'ai mis mes chaussures pendant que lui me regardais faire.

Kaysân: si j'te dis reste tu va restez pourquoi tu ment ?

Moi: non je vais m'en allez.

Kaysân: ah ouais t'es sur ? Dit-il en s'approchant de moi.

Moi: dégage, dis-je en rigolant.

Je me suis vite éloigné de lui et j'ai ouvert la porte car je sais que je vais pas assumez et il a raison je vais rester avec lui si il continue.

Kaysân: ta vu j'ai raison parce que tu fuie.

Moi: sa doit être ça mon chéri allez rêve bien.

Kaysân: t'assume jamais rien toi.

Moi: bisous, dis-je en lui envoyant un bisous de loin.

Il a attendu que je monte dans l'ascenseur pour refermer la porte.

J'ai toute suite eu envie de faire demis tour et rester encore quelque minutes avec lui mais j'allais trop tarder et mes frères allaient se posais des questions.

J'suis monté dans ma voiture et j'suis allez faire quelques courses et en vrai on avait besoin de rien j'ai juste pris des cochonneries.

Il était 19h quand j'suis sortit de la boulangerie, j'avais acheté quelques pâtisseries pour se soir.

Yesime était normalement allez chercher mes parents à l'aéroport, donc je me suis empressé de rentrer avant qu'il rentre avant moi.

J'étais trop pressé de les voir, ils m'avaient trop manqué.

En plus je vais bien prendre le temps de parler avec ma mère par rapport à Kaysân.

Et elle je sais qu'elle va me comprendre.

J'ai posé les pâtisseries sur le sièges et j'ai pris la route direction chez moi.

J'avais un peu tarder car c'était bouché et j'suis sur que mes parents était arrivé avant moi mais c'est pas grave.

Heureusement que j'ai trouvé une place en bas de chez moi, je me suis empressé de monter les escaliers rapidement car j'avais vu la voiture à Yesime garé sur le parking ce qui veut dire que mes parents était rentraient.

J'ai mis la clé dans la serrure et j'ai ouvert la porte.

Il y avait les valises de mes parents posé près de la porte.

J'ai retiré mes chaussures et j'suis allez dans la cuisine mettre les pâtisseries dans le frigo puis j'suis sortit de la cuisine pour allez dans le salon.

C'est bizzare à l'entré y'a une paire de chaussure que je connais pas.

C'est ni celle de mon frère yesime ni celle de Ali et ni celle de mon père d'ailleurs.

Mais c'était une paire d'homme en tout cas.

La porte du salon était fermé, mais je pouvais entendre d'ici la voix de mon père et de Ali.

J'ai posé ma main sur la poignet et au moment où j'allais l'ouvrir.

J'ai entendu cet voix.

Quoi ?

Je comprend pas.

Mais qu'est qu'il fait chez moi ? Et pourquoi il parle avec mon père ?

C'est donc à lui les chaussures.

J'suis resté cloîtré devant la porte et j'ai écoutais ce qu'ils se disaient.

Je comprenais pas, qu'est ce que Izaak pouvait bien faire chez moi et pourquoi il voulais parler mon père, je comprend rien.

Soudain j'ai entendu un bruit comme si quelqu'un venais de faire tomber son téléphone et y'a eu un silence.

Un gros blanc.

Puis ...

Izaak: si j'suis venue aujourd'hui, c'est pour avoir votre autorisation.

Mon père: autorisation de quoi mon fils ? Je comprend pas.

Izaak: j'aimerais faire les choses bien avec votre fille, j'aimerais qu'on apprenne à se connaître mais que si j'ai votre autorisation bien sûr et par la suite lui demander la main 3ami.

@paristanbul_

Continuar a ler

Também vai Gostar

10K 418 20
Chronique d'une gitane SHAÏLY La tchess ❤️❤️
3.4K 151 11
Washi une adolescente comme les autres verra sa vie changer du tout au tout en trouvant une pierre noir. Elle vivra l'histoire de la mythique série S...
79K 4.4K 33
/!\ TOME I : Dounia, sache que c'était un pari » /!\ (Anciennement "Naïr, un batard au coeur noir) « Vécu de batard mène à devenir chien de la casse...
195K 18K 24
On dit que l'amour est aveugle, mais est-ce réellement le cas ? Aylin a bientôt vingt ans et s'il y a bien une chose qu'elle a du mal à faire, c'est...