J'ai décidé de ne rien dire à mes parents, s'ils apprennent quoi que ce soit finie les sorties cinéma, les soirées chez les copines, fini les vacances, ils m'enverront directement dans un couvent ! Mais est-ce de ma faute ? même si au fond c'était une expérience enivrante et nouvelle, même si je regrette qu'à moitié, ce n'est pas ma faute... Même si j'ai aimé, c'est lui qui l'a voulu... Mais si j'y retourne alors j'en veux encore.... Si je n'y vais pas, il convoquera mes parents...
Sa voix suave résonne encore dans ma tête : ''la semaine prochaine vous êtes collé Mlle Chaple, je vous baiserai les yeux bandés''... Que veut-il dire par là ? Suis-je vraiment devenue sa chose ? À t-il une femme ? Il est bientôt 17 heures et j'ai peur de ce qui va arriver...
Cette semaine je me suis un peu renseigné en cachette sur les hommes autoritaires au lit... J'ai peur de me retrouver attachée, bâillonnée, torturée, j'ai peur de souffrir... Mes pensées sont confuses, le temps passe, je suis perdue dans mes pensées, soudain la maudite cloche retentit, mon cœur s'accélère, mes joues deviennent peu à peu rouges, j'inspire calmement et essaye de reprendre mes esprits...
J'entre dans la classe, M. Verpeur est assis à son bureau, en train de sans doute corriger des copies, il me fait signe d'entrer comme si de rien était, quand je le vois, je ne peux m'empêcher de revivre des scènes : le moment où sa tête s'est glissé sous ma jupe, le moment où il m'a posé sur son bureau, le moment où je cherchait la maudite craie...
Je m'assieds à un bureau en face du sien, il lâche son stylo, le bruit du stylo sur son bureau résonne dans toute la pièce, me rappelant que la pièce est vide, sans bruit et que dans cette dernière il y a que lui et moi... Je suis seule dans cette classe avec un prédateur... Je suis perdue encore une fois dans mes pensées... Il me fixe, un doigt sur la bouche, lui aussi à l'air pensif, je regarde mes mains, je lève les yeux de temps à autre mais que brièvement... Je croise et je décroise les doigts, je suis très stressée, mes mains sont moites.
Rien que le fait de repenser aux actes de la semaine dernière me font de l'effet. Il y a plus de bruit dans la salle, le silence me fait souffrir, on entend que nos respirations, la mienne est plutôt bruyante et rapide, la sienne s'entend à peine, il respire lentement, les minutes sont longues, les secondes paraissent des heures...
Je n'arrive pas à assumer nos actes passés, son silence me tue. Je porte une chemise rouge, je reboutonne le bouton du col, je ne veux pas le provoquer, mes jambes sont comme du coton.
Je baisse les yeux, quand je les relève il me sourit à moitié, à sa main il tient un bout de tissu, je tressaille. Je regarde la porte, elle est encore ouverte... Un échappatoire? Je ne crois pas, il me voit regarder la porte, en quelque secondes il ferme la porte à double tour...
Et se dirige vers moi, le bout de tissu à la main, il est rouge, on dirait qu'il est en soie. Ma respiration s'accélère un peu plus, du bout des doigts il m'effleure le visage, il attrape fermement à l'aide de deux doigts mon menton et me lève le visage, son regard est persan, il s'approche et me vole un baiser, je n'arrive plus à sortir aucun son de ma bouche.
Il me voile les yeux à l'aide de son tissu. Ce bout de soie est doux, il caresse mon visage, il sent la fraise. Le professeur vient fermement faire un nœud, à cet instant je ne vois plus rien, privé du sens le plus important : la vue. Mes autres sens se décuple, j'entends, je sens, je ressens chacun de ses gestes...
Il m'ordonne délicieusement de m'asseoir sur mon bureau et me dit d'une voix douce :'' tu n'as rien à craindre, je veux juste que tu mouilles sur ce bureau '', sa voix suave me fait fondre, je sens quelque goutte de sueur me parcourir, allant de mon cou et se perdre dans ma chemise...
Je mordille mes lèvres, je sens son souffle sur mes lèvres, je le sens, il est près, je ne le vois pas mais je le sens !! Son souffle est chaud, il vient me donner un coup de langue sur ma lèvre supérieure puis mordiller tendrement ma lèvre inférieure, mes poils transparents se dressent sur mes bras.
J'ai l'impression que cet homme n'est pas un monstre, qu'il peut aimer et être désirer... Il fait courir un doigt qui part de mon poignet jusqu'à mon épaule. Ça me fait sourire, zut, c'était pas contrôlé, je me sens bête ... J'entends un rire, '' j'adore ton sourire'', je l'imagine lui et son sourire craquant...
Je sens deux mains mouler ma poitrine, il est doux, il les touche à travers ma chemise, il frotte sa tête contre mes seins, je l'entend pousser de léger gémissement. Je sens ses deux mains sur ma chemise, remonter jusqu'à mon col, et d'un coup ouvrir mon vêtement d'un coup venant libérer ma poitrine, j'entends les boutons tomber par terre comme de petites billes.
Mes seins se durcissent, il dégrafe mon soutien-gorge, mes mamelons se durcissent encore plus, il vient les enrouler de sa langue, il les suce et aspire, il fait beaucoup de bruit, ça me fait frissonner, je sens sa bouche chaude sur ma poitrine gonflée. Il est à présent collé à moi, je sens son pantalon durcir, son érection est là...
Que dois-je faire ? J'hésite, mais d'une main décidé je viens lui toucher le pantalon, plus je m'approche de son entrejambe plus mes gestes sont timides et maladroits... J'effleure sa bosse, il me prend mes deux poignets, les plaque contre le bureau pour que je m'allonge sur le dos, il pousse un grognement. Je regrette amèrement mon geste, ce n'est pas raisonnable, ce n'est pas sage, c'est interdit, c'est mal...
Je sens une claque me fouetter les fesses, ça me fait sursauter, c'était sa main, je prend ça pour un avertissement... Ça me fait mal, mais ça m'excite tellement... Je me sens plus humide entre mes jambes, je resserre mes jambes, j'ai très chaud.
Il vient m'arracher mon pantalon, le laissant admirer ma culotte de coton, assez simple, mais sûrement trempée... Je le sens se baisser, embrasser ma cheville, remonter lentement jusqu'au mollet, embrasser passionnément ma peau brûlante, il vient me mordiller les hanches, doucement puis un peu plus fort, je lâche un cri de plaisir, je ressens chacun de ses baisers... Il sort sa langue, et viens la faire glisser, du mollet jusqu'entre mes jambes.
je sens son gland chaud à l'entrée, il joue avec, fait semblant d'entrer, il ne se passe rien pendant plusieurs secondes, j'écarte encore plus les jambes, il me souffle dans l'oreille '' et si je te laisse là maintenant? Nu? Les yeux bandés? Et seule? Comment te sentirais-tu? La honte?'', je m'approche amoureusement de son engin, mon dos se cambre un peu plus, je le supplie avec mes gestes suggestifs de me prendre... Plus il me fait patienter, plus j'ai envie que ce soit dur en moi... C'est mon bourreau...
Je sens peu à peu sa queue entrer en moi, c'est une fusion, lentement et doucement puis de plus en plus vite. Ses coups deviennent sec et dur, il va de plus en plus vite, je ne contrôle plus mes gémissements. Mes lèvres se resserrent autour de sa verge, je mouille littéralement sur lui, j'entends des bruits de pénétrations.
Je sens tout les muscles de mon vagin se contracter, je sens de tant à autre quelques fessés venant m'arracher un peu plus de cris. Je le sens en moi, il puise dans toutes ses forces pour me secouer, je me sens en feu. Je pose mes mains sur fesses maladroitement, il me les enlève et me demande à quoi je joue...
Pendant qu'il me pénètre, il vient glisser une main vers mon petit trou serré (punition!) , c'est trop intime pour moi alors je serre les fesses, il y a encore un blocage sur ça... Il le caresse, tout en continuant ses accoups et malgré mon opposition, il le titille gentiment du bout de l'index. Presse un peu plus ses doigts, je me concentre à serrer encore plus mon sphincter. Il se penche vers moi et me dit :'' bientôt tu vas aimer''...
J'ai peur d'avoir mal, j'ai peur qu'il soit sauvage... Il continue à jouer avec mon petit trou, j'ai peur que ce soit pour aujourd'hui...
Il se retire violemment de ma chatte, il ne dit rien pendant quelque secondes je suis désemparée, je sens son gland chaud peu à peu à l'entrée de mon autre orifice, il écarte mes fesses, j'ai horriblement peur, ma respiration s'accélère... J'aimerai tellement enlever mon bandeau de mes yeux ! Il presse délicatement son gland contre mes fesses, puis se remet dans mon vagin après hésitation. Il lui faut quelque secondes pour reprendre le rythme dynamique qu'il avait.
Il tire un peu sur mes cheveux, ses abdos se contractent, ses coups de reins vont de plus en plus lentement, il est de moins en moins précis, il se retire, pousse de long gémissements. Je sens du liquide chaud giclé sur ma poitrine, je devine que c'est le ''fruit de son plaisir...''
Je sens quelque chose de chaud et humide s'approcher de ma bouche, je grimace à l'idée de lui nettoyer la verge, mais je reçois finalement un baiser, ses lèvres humides viennent délicieusement se poser sur les miennes pendant qu'il défait le ruban autour de mes yeux. Mes yeux se plissent le temps de s'habituer à la lumière. Je me vois peu à peu nu, sur mon bureau, les seins pleine de liquide, lui est déjà presque rhabiller, je rougis...
je remet mes vêtement assez rapidement, la chemise mal reboutonné, les cheveux en bataille, la bretelle de mon soutien-gorge qui descend, je sors en baissant la tête pendant que la cloche retentit : libération !
En sortant je vois une fille de ma classe qui avait cours un étage plus haut, en me voyant elle me lance en rigolant '' qu'est-ce qu'il t'arrives ? On dirait que tu t'es faite retournée !!''. Je prétexte un rhume...
Elle continue à me parler, mais je suis perdue dans mes pensées, que me fera-t-il ? Voulait-il vraiment me prendre par derrière aujourd'hui ? Dois-je revenir la semaine prochaine.