Supernova

By bluckyy

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Si Barbra Streisand avait eu une fille, celle-ci aurait probablement été Ivy. Et pour cause, il semblerait qu... More

Note d'auteure
Prologue
Act. 1
Act. 2
Act. 3
Act. 4
Act. 5
Act. 6
Act. 7
Act. 8
Act. 9
Act. 10
Act. 11
Act. 12
Act. 13
Act. 15
Act. 16
Act. 17
Act. 18
Act. 19
Act. 20
Act. 21
Act. 22
Act. 23
Act. 24
Act. 25
Act. 26
Act. 27
Act. 28
Act. 29
Act. 30
Act. 31
Act. 32
Act. 33
Act. 34
Act. 35
Act. 36
Act. 37
Act. 38
Act. 39
Act. 40
Act. 41

Act. 14

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By bluckyy

           Depuis que Sacha est allé saluer tout le monde, j'ai décidé de me reprendre. La situation ne se retournera pas contre moi. Je sais ce que c'est d'être amoureuse de lui, je sais ce qui m'a plu chez lui... du moins assez plu pour que je finisse par être folle de lui. Mieux encore, je sais ce qu'il aime chez moi. Pour l'instant, il n'est pas question d'amour, mais de l'attirer.

Il adore ma façon d'être toujours décomplexée de tout pendant les soirées. Et ma mère n'a peut-être pas longtemps vécu à Cuba, mais ça n'empêche pas qu'elle m'a appris à danser. Et en prime, j'ai toujours eu des cours de danse... Sacha a toujours adoré ça chez moi, allez savoir pourquoi.

Quand j'y pense, il ne m'a pas toujours dénigré. Je sais que je lui plais physiquement, qu'il reconnait mon talent et qu'il aime me voir danser pendant les soirées. Hier, il a eu raison en me disant que ce n'était pas bizarre qu'il me fasse des compliments. C'est moi qui suis dure avec lui. Au lieu de lui parler de ce qui a gâché ma vie, je choisis de me venger.

Yann se ferait un malin plaisir à me rappeler que je suis scorpion.

— On a perdu Loris, hein ? soufflé-je à Yann.

Nous regardons notre meilleur ami qui est toujours en pleine discussion avec Adeline. Ça doit faire au moins une heure que nous sommes arrivés et ils ne se sont pas lâchés depuis.

— Son truc, c'est pas genre les neurones et tout ce qui se passe là-haut ?

— Visiblement, il cherche à étudier autre chose...

Nous échangeons tous les deux un regard avant de nous mettre à rire.

— Tu connais bien cette fille ? me demande-t-il.

— On s'est rencontrées cette semaine. Elle joue Dana, la meilleure amie de Brooke. Donc non, je ne la connais pas, mais c'est la seule avec qui ça a vraiment collé. Elle est anglaise.

— Et canon.

J'acquiesce. Comme s'il sentait nos regards, il tourne la tête et nous aperçoit. Adeline fait de même et je leur accorde un signe de la main. Loris me sourit comme un adolescent fier d'avoir réussi à parler à sa crush et mon cœur se réchauffe dans ma poitrine. Depuis toujours, les gens disent de lui qu'il est fou de moi et que je l'ai friendzone. À chaque fois, on nous demande si on sort ensemble et il a la position de celui qui a dû accepter le fait que je ne veuille pas de lui. Si Adeline lui plait, je ne peux que lui souhaiter que ça fonctionne.

— Je vais me chercher à boire, tu veux quelque chose ?

— Non, fait-il en me désignant son verre.

Je rejoins la cuisine. Je récupère un gobelet que je remplis d'un jus. Un genre de cocktail sans alcool en bouteille, tout prêt.

— Ivy ! s'exclame avec enthousiasme une voix derrière moi.

La seconde d'après, une main se dépose sur mes épaules et je me raidis. Le visage de Milo apparait à mes côtés une seconde plus tard. Je ne perds pas de temps pour me décaler. Sacha et Jade font à leur tour leur apparition dans la cuisine.

— Déjà bourré ?

— Eh oui, déjà. En Europe, on boit plus jeune et plus que vous.

— T'es italien, c'est ça ? je lui demande pour en être sûre.

— C'est mon accent ou juste le fait que je sois canon qui te fait dire ça ?

— Ton accent, je réponds de but en blanc.

Il pose une main contre son cœur.

— Tu ne me trouves pas canon ?

Je pince mes lèvres et le fait rire.

— C'est Sacha ton style, c'est ça ?

Le grand brun et moi échangeons un regard. Jade guette sa réaction.

— Comment le mec le plus mignon des États-Unis ne pourrait pas être mon style ?

Sacha semble surpris de ma réponse malgré mon ton ironique.

— Un compliment de ta part ? Tu as bu, ce soir ?

— Je ne bois pas, rétorqué-je.

— Un compliment alors que tu es sobre ? Trouvez-moi Loris et Yann, il faut l'emmener à l'hôpital.

Je lève les yeux au ciel.

— C'est pour ça que je ne te fais pas de compliment.

— Et toi, surenchérit Milo en s'adressant à Sacha, Ivy est ton style ?

Je fronce les sourcils.

— En tout cas moi, je te trouve magnifique.

— Merci... ? hésité-je.

Jade pose un regard qui hurle ''Désolée'' sur moi.

— Milo, tu as pour projet de me caser avec Sacha ?

Ce dernier affiche un sourire coupable.

— Parce que si tu veux savoir si je suis son style, je sais déjà que c'est le cas.

— Moi, je savais déjà que tu étais son style. Je voulais juste que tu le saches.

— Ne t'inquiète pas pour ça, je réponds en transperçant Sacha du regard.

Il y a un court silence durant lequel les trois amis échangent des regards entendus que je ne peux pas comprendre. Je n'ajoute rien et me contente de boire ma boisson.

— Et du coup, les deux mecs avec toi, ce sont tes deux meilleurs amis ? me demande Jade.

— Oui, Yann et Loris.

— Ils sont amis depuis toujours, intervient Sacha. Ils sont tout le temps ensemble... je pensais que ça changerait après le lycée, mais j'ai l'impression que ça s'est empiré.

— Je me souviens de Yann, on s'est éclaté au club l'autre soir, dit Milo. Il est cool.

— Tu ne trouveras pas plus sociable que lui, ça ne m'étonne pas.

— Et Loris est fou amoureux d'elle depuis toujours.

Je dévisage Sacha.

— Tellement amoureux qu'il est tombé sous le charme de Adeline. Incroyable, non ?

— Je pose cinquante dollars sur la table que si tu essaies de l'embrasser ce soir, il ne te repoussera pas, me défit-il.

— Pardon ?

— Cinquante dollars que tu peux l'embrasser dans les cinq minutes si tu essaies. Jamais il ne refusera.

Je fronce les sourcils avec agacement.

— Je ne vais pas faire ça.

— Parce que tu sais que j'ai raison.

— Non, fulminé-je, parce que Loris est mon meilleur ami depuis que je suis bébé et que je ne lui ferai jamais ça.

Quel connard. J'ai beau chercher à le séduire, ça n'empêche qu'il a parfois des idées purement cruelles et que je le méprise plus que n'importe qui dans cet appartement.

Mais c'est précisément parce que je suis supposée l'attirer dans mes filets que je rebondis :

— En revanche, je te paris cent dollars que si on se retrouve tous les deux dans ta chambre tu ne tiendras pas cinq minutes avant de m'embrasser.

— Ah ouais, tu ne rigoles pas, lance Milo.

Je ne réponds pas et reste concentrée sur Sacha. Il essaie de jauger mon attitude, savoir si je plaisante ou non. Je le provoque, j'espère qu'il répondra, mais pas qu'il m'embrassera dans cette chambre.

Il ne dira jamais non. Sacha est tellement compétitif que c'est plus fort que lui. Il veut me prouver que je ne lui fais pas peur et qu'il peut me résister.

— La porte au fond du couloir, m'indique-t-il. On se retrouve là-bas ? J'imagine que tu ne veux pas que Loris et Yann te voient disparaître avec moi.

— Vous allez vraiment le faire ? se réjouit Milo.

— Il ne tiendra pas, affirmé-je.

Après un dernier regard, je lui tourne le dos et je m'éclipse du salon. Je plisse légèrement les yeux pour mieux voir dans l'obscurité du couloir. Je pousse la porte au fond du couloir comme il me l'a dit. Je suis soulagée de constater qu'il ne s'est pas foutu de moi. C'est bien une chambre, probablement la sienne. Ça ne m'étonne pas qu'il ne soit pas installé dans la mezzanine. Quelque chose me dit que Jade a dû insister pour avoir cet espace. Je tâtonne le mur pour trouver l'interrupteur.

Une fois que la pièce est éclairée, j'aperçois un grand lit double. Il y a encore un carton dans un coin de la pièce, ce qui me laisse penser qu'ils n'ont pas emménagé il y a longtemps.

À part ça, la chambre est sobre. Les murs sont blancs, à l'exception d'un seul qui est gris. La fenêtre donne sur la rue, il y a un tapis... c'est simple. J'aperçois un piano électrique dans un coin de la pièce et également un étui à guitare. Ce n'est pas étonnant, tout ça lui ressemble. Sacha a toujours été assez simple, je ne m'en attendais pas à moins de sa chambre.

Je me retourne quand j'entends des pas. Je suis une nouvelle fois soulagée de constater qu'il ne m'a pas tendue de piège. Il referme la porte derrière lui, un sourire narquois sur le visage.

— Cinq minutes, c'est ça ?

Je m'installe sur le bord du lit.

— Tu sais que je ne vais pas t'embrasser, alors pourquoi tu as parié cent dollars ? Tu viens de perdre de l'argent bêtement.

C'était dans le feu de l'action. Je devais trouver un moyen de l'attirer et de le faire céder. Mais maintenant que nous sommes ici, je me sens stupide.

— À moins que tu m'aies trainé ici pour qu'on puisse passer un peu de temps ensemble.

J'étouffe un rire.

— Je vois, on va passer cinq minutes ici comme deux cons sans se parler, c'est ça ? Tu ferais mieux de me donner les cent dollars maintenant, ça nous fera gagner du temps.

Il se laisse tomber sur le lit, fier de lui.

— Mais en fait... poursuit-il, j'ai une question à te poser.

Je me retourne vers lui, intriguée.

— J'ai oublié de le faire avant. L'autre fois, tu as dit que tu avais dû tout sacrifier pour ton rêve. Qu'est-ce qui s'est passé en quatre ans, qu'est-ce que tu as dû sacrifier ?

Mon cœur se serre atrocement dans ma poitrine. Je perds vite de ma légèreté et je me force à déglutir en détournant le regard.

— Tu ne vas pas répondre, c'est ça ?

— C'est ça.

— Qu'est-ce que tu dirais d'un petit jeu ? Tant qu'on est là.

Il attise ma curiosité. Il se redresse et bouge sur le lit, jusqu'à se retrouver juste à côté de moi. Si proche, ses yeux m'hypnotisent.

— On se pose des questions. Celui qui refuse de répondre enlève un vêtement.

— Tu es sérieux ?

— Tu m'as trainé ici pour me faire céder, non ? Tu me provoques, je n'ai pas le droit de faire la même chose ?

Et parce qu'il me connait, et que nous sommes semblables, il sait que je ne reculerais pas devant sa proposition. Plus que ça, son idée est une véritable chance pour raviver ce qui a existé entre nous et le faire tomber amoureux par la suite.

J'acquiesce d'un signe de tête, acceptant la partie. Satisfait, il commence :

— Qu'est-ce que tu as dû sacrifier pour en arriver là ?

Je retire mes chaussures sans dire un mot.

— La Californie n'était vraiment pas pour toi ou c'est juste que ton talent n'a impressionné personne ?

Il retire à son tour ses chaussures.

— Jonah, il devient quoi ?

Je m'y attendais. Et une fois encore, je ne veux pas répondre. Soudain, je regrette de ne pas être plus habillée. J'enlève mes chaussettes.

— Tu t'es demandé ce qu'on aurait pu être si on n'avait pas été des rivaux ?

— Oui, répond-il.

Je connais déjà sa prochaine question.

— Et toi ?

Il ne me reste plus que mon jean et mon top. Si je ne réponds pas, je finis en soutien-gorge. Le choix est vite fait.

Je défais mon haut. Je le laisse tomber sur le lit comme si de rien n'était.

— Tu es coriace.

— C'est toi qui as proposé ce jeu.

Il fait mine de regarder mon visage mais je sais que ses yeux rêvent de pouvoir regarder vers le bas.

— Qu'est-ce que tu aurais voulu être, si on n'avait pas été des rivaux ?

J'ai honte d'avoir envie que le mot ''couple'' se glisse entre ses lèvres.

Il ne m'offre pas ce plaisir et retire son tee-shirt.

— Histoire qu'on soit équitable.

Maintenant, c'est moi qui m'efforce de ne pas le regarder. Si peu vêtu, je nous revois alors que nous n'étions que deux adolescents, et la tension est devenue insoutenable. Je ne dois pas oublier pourquoi je fais tout ça. Si je succombe, je perds. Si je me rate, alors il gagnera. Ça me suffit pour me ressaisir.

— À mon tour.

— Je t'en prie ?

— Est-ce que tu m'aimais quand on était au lycée ? Pas juste m'apprécier, est-ce que tu étais amoureuse de moi ?

Là, mon cœur tambourine dans ma poitrine. Je me demande immédiatement si j'ai été trahie par mon amour pour lui quatre ans plus tôt. Peut-être que mes yeux lui en ont trop dit et qu'il s'en ait douté dès la première fois. Il a peut-être choisi de ne rien me dire ou me demander à cette époque-là car il ne voulait pas avouer que ce n'était pas réciproque... il préférait conserver notre relation telle qu'elle l'était.

Je sens que mes joues s'échauffent et plus encore, je sais que je ne lui répondrais jamais. À la place, je joue la carte de la confiance :

— Qui t'a mis cette idée dans la tête, Sacha ?

— Tu n'as pas répondu à la question.

Sans le lâcher du regard, je déboutonne mon jean. Je le fais glisser jusqu'à mes pieds, me retrouvant désormais en sous-vêtements. Je n'avais pas réfléchi à comment j'allais me sentir si je me retrouvais aussi dénudée à ses côtés mais je suis surprise de constater que je me sens vulnérable. J'ai envie de me cacher sous la couette pour ne plus jamais en ressortir, surtout maintenant que je me retrouve debout, mon jean déposé à mes pieds, face à lui. Cette fois, il ne s'en cache pas et me regarde.

Et je me sens peut-être vulnérable, mais ça ne signifie pas que je le suis à ses yeux. Si je veux l'avoir, je dois être sûre de moi. Je reste face à lui, ne cachant pas mon corps.

— Comment c'est possible ?

— Quoi ?

— Que tu sois encore plus attirante que tu l'étais. J'avais oublié que ton corps était aussi beau.

Une tornade de papillons me retourne l'estomac. Je dois rester concentrée et ne pas me laisser adoucir.

— Et toi, est-ce que tu étais amoureux de moi au lycée ?

Visiblement, il ne s'y attendait pas. Sa réaction me laisse sceptique, je ne sais pas quoi en penser. Sans rien dire, il retire son jean, mais toujours pas ses chaussettes... à croire qu'il veut nous faire succomber.

— Est-ce que tu me veux toujours autant qu'avant, Ivy ?

Mon sang s'échauffe. Je ne l'aime peut-être plus comme avant, mais bon sang... c'est indécent la force avec laquelle il m'attire. L'alchimie entre nous me fait perdre pied, je ne sais plus où me mettre. Ça fait des siècles que je ne me suis pas retrouvée dans une situation comme celle-ci avec un garçon. La dernière fois qu'on me touchait, c'étaient les mains de Sacha qui parcourait mon corps. Je sais de quoi il est capable et surtout, je sais ce que ça donne lorsque nous sommes dans ce type de moment.

La porte que nous avons ouverte la première fois que nous nous sommes embrassés ne s'est jamais refermé depuis et ce soir, je l'ai enfoncé. Je pensais le piéger, parvenir à le faire succomber, mais il me fait flancher. Je ne me sens pas capable de lui résister, pas s'il m'embrasse.

S'il décidait de m'embrasser et de me traîner sur son lit, je lui supplierai de continuer.

— Tu ne veux pas répondre ?

Je le regarde, comprenant que si je ne réponds pas, alors je vais devoir retirer mon soutien-gorge. Je jette un œil à ce que je porte comme pour réaliser que ce moment est réel. Mes seins ne sont couverts que d'un soutien-gorge bordeaux en dentelle. Pour le bas, j'ai assorti, comme si je savais précisément ce qui finirait par se passer ce soir.

Quant à lui, il porte un boxer gris. À cette vision, je sens ma peau s'enflammer.

— J'ai fini de jouer.

Je récupère mon jean sur le sol et je fais volte-face, mais il m'attrape doucement par le bras. Je suis forcée de me retourner vers lui. Je fais face à son torse nu le temps d'une seconde, puis je le regarde. Il me dévore du regard.

On n'aurait jamais dû faire ça. J'aurais dû être plus intelligente, trouver un autre moyen de...

Mon corps s'électrise à l'instant où sa main se pose sur ma taille.

— On ne peut pas arrêter le jeu parce que tu as décidé que tu ne voulais plus jouer. Réponds-moi ou retire un vêtement.

Sa main se glisse doucement contre mon dos. Ses doigts remontent jusqu'à trouver l'élastique de mon soutien-gorge.

— Ou je peux m'en charger, si tu veux.

Sa bouche n'est qu'à quelques centimètres de la mienne. Il suffit que je pousse sur mes jambes pour pouvoir l'embrasser et dans quelques secondes, on se retrouvera sur son lit. Comment a-t-il fait pour retourner la situation à ce point ?

J'avais oublié à quel point son contact m'envoutait... je me suis engagée dans un jeu dangereux, je n'ai pas réfléchi. Je pensais qu'il ne me ferait plus autant d'effet, j'ai été idiote.

Mon souffle est lourd et les battements de mon cœur sont assourdissants.

Je rassemble tout mon courage pour me dégager de son emprise. Je fais un pas en arrière et j'annonce :

— J'ai dit que j'avais fini de jouer. Je t'enverrai tes cent dollars demain.

Et je sors de la chambre encore chamboulée, en sous-vêtements. J'enfonce la première porte que je trouve. Soulagée, je sens le carrelage d'une salle de bains sous mes pieds. Je prends une seconde pour reprendre ma respiration. J'appuie l'arrière de ma tête contre le mur et je ferme les yeux.

Désormais, c'est clair. Si je le fais succomber, je succomberai aussi. Et je me le demande... le jeu en vaut-il la chandelle ?

Des jeux dangereux et Ivy qui perd ses moyens, j'espère que ça vous a plu

Vous pensez qu'elle va aller au bout de son idée ?

En tout cas, moi je suis fan de leur petite histoire, mais on est encore qu'au début..

Passez une bonne semaine !

Hâte de vous lire,

Livia
(Ig : _livwriting)

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