𝘤𝘰𝘶𝘵𝘦𝘢𝘶 𝘯𝘰𝘪𝘳

By thirtyheart

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𝗵𝗮𝗸𝗶𝗺 𝗮𝗸𝗿𝗼𝘂𝗿 "𝗺𝗲𝗸𝗿𝗮" • (face C) • 《 Jamais d'"je t'aime", n'est sorti de ma bouche [...] Depu... More

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By thirtyheart

𝕳𝖆𝖐𝖎𝖒
JUIN 2026

- Nour, Nour Akrour. claquais-je très rapidement à la réceptionniste qui venait juste de me demander pourquoi j'étais là.

- Vous avez le service ? elle se mettait déjà à pianoter sur son ordinateur, voyant que je n'avais pas le temps pour les formalités.

- Je- Je sais pas. Ken, elle est où ?

Ma tête se tournait vers mon pote qui s'empressait de dégainer son portable pour appeler sa femme alors que moi, je remerciais la gentille dame qui me gratifiait d'un sourire compatissant.

- Vous avez déjà une pièce d'identité à me donner ? Comme ça je n'aurais pas besoin de vous la demander après avoir retrouvé Nour.

- Oui, bien sûr. je lui tendais ma carte d'identité, et la blonde me remerciait avant de faire un rapide check.

- Vous êtes son mari ?

- Oui.

- Ne vous en faites pas, je suis sûre qu'elle va bien.

Elle était pas médecin, elle pouvait pas savoir.

- Hospitalisation de jour. Ken s'adressait directement à la femme au comptoir, qui se dépêchait d'affiner précisément sa recherche.

- D'accord. Alors, c'est le bâtiment sur votre gauche quand vous sortez dans la cour de la clinique, vous montez au troisième étage puis vous prenez le couloir de droite. C'est la chambre trois cent dix-neuf.

- Merci, merci beaucoup.

Sans attendre, je me mettais carrément à courir dans tout le bâtiment, le grec sur mes pieds qui me demandait même plusieurs fois de ralentir pour me rattraper. Mais là dans mon crâne, je ne voyais qu'un compteur de mètres qui s'écoulait petit à petit, jusqu'à ce que je retrouve Nour. Au dernier moment, je rattrapais un ascenseur qui allait partir, remerciant d'un sourire le couple de personnes âgées qui m'avait attendu.

Ken arrivait deux secondes après, complètement essoufflé et, si je ne stressais pas autant de l'intérieur, je me serais sûrement bien foutu de sa gueule.

- T'as plus de cardio 'feu ? me moquais-je quand même, quand la cabine commençait à monter.

- Je croyais qu'Eliott faisait mon sport de la semaine en courant dans toute la baraque mais visiblement, c'est pas suffisant.

- Vous allez voir un ami à vous ? la mamie se mêlait à notre conversation, les mains croisées devant son bassin.

- Non, sa femme. Ken me pointait du doigt.

- Oh, mes félicitations jeune homme.

Mon sourire retrouvé de manière impromptue s'évanouissait très rapidement, quand je me rappelais la raison de ma venue ici. Nour qui avait des vertiges, qui avait mal à la tête, qui avait des nausées. Nour qui avait perdu du sang.





Love in the dark - Adèle





C'était d'ailleurs Ken qui me poussait en-dehors de l'ascenseur lorsque l'on arrivait au bon étage, bredouillant des salutations au couple qui allait se poser quinze mille questions sur mon visage blanc, quand les portes se seraient refermées. Et comme un top départ, je repartais en courant jusqu'à la chambre de ma femme, ayant bien mémorisé les indications données par la meuf de l'accueil.

J'arrivais le premier devant la porte et je tapais juste deux coups dessus avant de directement entrer, faisant sursauter Oria qui était assise sur un fauteuil, juste à côté du lit où était allongée ma raison de vivre presque.

- Mais ça va pas de débouler comme ça ? crachait la reloue, se levant de sa place. Bonjour déjà.

Mais je ne l'écoutais déjà plus, je me précipitais jusqu'à Nour avant d'enrouler mes bras autour de sa taille et de serrer son corps contre le mien, respirant l'odeur vanillée de ses cheveux, retrouvant peu à peu mon souffle en sentant son cœur battre contre le mien.

- Tu vas bien ? lui demandais-je cash, sans calculer Oria qui reniflait en jetant un mouchoir qu'elle avait dans la main.

- Ça va mieux oui. Nour me souriait alors que je décalais une mèche derrière son oreille pour avoir son beau visage juste en face du mien. Tu peux... Tu peux t'asseoir s'il te plaît ? Faut qu'on discute de... Quelque chose.

Ravalant une larme, je hochais de la tête et laissais Oria sortir de la chambre en me souriant - tristement ? -, avant de prendre sa place sur le fauteuil. J'embrassais une dernière fois le front de ma femme et me saisissais de sa main pour la tenir fermement entre mes deux paumes, ne lâchant pas un instant Nour du regard.

Mes yeux analysaient son visage fatigué et, notamment, les larmes qui avaient semblé sécher ainsi que ses paupières légèrement gonflées. J'étais peut-être pas prêt à entendre la suite mais, il fallait que je reste fort pour elle, c'était Nour qui encaissait le plus de choses dans l'histoire.

Je m'en voulais presque de l'avoir encouragé pour une FIV, sans prendre en compte sa réticence à l'idée que ça échoue et qu'elle se retrouve encore plus au fond du trou.

- Tu peux m'expliquer ce qu'il s'est passé ? lui demandais-je d'une voix douce, comme si je m'adressais à un enfant.

- Ouais. elle acquiesçait plusieurs fois, comme pour se donner du courage, avant de commencer. Quand tu m'as déposé chez Oria, tout allait très bien au début. On a discuté, mangé un petit truc, j'ai bu de l'eau et, à un moment, je me suis sentie un peu moins bien. J'ai vomi, comme je l'ai déjà fait à la maison puis ça s'est dégradé, j'avais des migraines qui s'atténuaient pas, même avec des médicaments et, en allant aux toilettes, c'est là où j'ai vu la tâche de sang sur mon pantalon.

- Putain. je fermais les yeux en essayant d'atteindre le minimum de la douleur que Nour devait avoir en elle. J'suis désolé de pas être resté avec toi à la maison, Hayati je m'en veux merde, j'ai fait n'imp-

- Hakim. Regarde-moi.

Difficilement, je réussissais à lever à nouveau mes paupières, pour constater des larmes couler sur les joues de ma femme. J'étais pas prêt à affronter ce nouvel échec, j'avais peur de pas être assez fort, aussi fort qu'elle.

- Pardon Nour, wAllah pardon, j'ai foutu n'importe quoi. m'insultais-je en sanglotant tel un faible, la poitrine serrée à un point inimaginable. J'ai pas assuré, j'ai pas été responsable.

- Pourquoi tu t'excuses ?

- Parce-que t'as perdu notre bébé. Et j'étais même pas là pour te soutenir.

- Hakim ? Chéri ?

- Mais je te promets que je vais m'améliorer, on va surmonter ça, je serais là comme je l'ai toujours été, c'est toi et moi de toute façon.

- Et... Lui.

Mon souffle se coupait d'un coup et un violent frisson me parcourut l'échine quand Nour posait ma main sur son ventre, recouvert d'une blouse de clinique. J'avais limite envie de rester immobile, pour m'assurer que ce que je vivais n'était pas un rêve qui allait s'évaporer à mon premier mouvement désintéressé. Mais quand je tournais la tête vers le visage de ma femme, après avoir fixé mes doigts sur sa peau, je fus frappé par les larmes qui coulaient en torrent.

Des larmes qui s'abattaient sur son sourire étincelant et bientôt, elle se mettait à rire au milieu de ses pleurs, hochant plusieurs fois de la tête pour me faire comprendre qu'elle était sérieuse.

- T'es- T'es enceinte ? balbutiais-je, n'arrivant même pas à faire une longue phrase.

- Je suis à cinquante-six UI par millilitres d'hCG d'après la prise de sang qu'on m'a fait faire y a à peu près une heure trente. Ça veut dire que je suis enceinte de deux semaines Hakim et... Ça... elle attrapait quelque chose sur sa table de chevet et je fondais carrément en pleurs, reconnaissant la forme d'un test de grossesse. C'est positif.

Ne parvenant plus à sortir quelque chose de ma bouche, si ce n'était un sanglot, j'éclatais en larmes, en même temps que Nour, avant de nicher ma tête dans son cou pour la serrer contre moi. Je n'avais même pas besoin de jeter un œil sur le test, je savais qu'elle ne me mentait pas. Et j'étais tellement passé de l'angoisse à une explosion de joie en un claquement de doigt, qu'il m'était impossible de contrôler mes sentiments.

- On a réussi, Nour on a réussi. pleurais-je dans ses bras en embrassant la joue de Nour à vingt reprises au moins. Je te l'avais dit bébé, je te l'avais dit que ça allait marcher. T'es trop forte, t'es la meilleure, t'es ma championne.

- T'emballes pas, on a encore neuf mois d'épreuves à affronter. reniflait ma brune en essuyant ses joues avec un mouchoir qui traînait sur son lit. Je te jure que j'y ai pas cru quand le docteur est venu m'annoncer que j'étais enceinte, Oria a carrément demandé qu'on analyse un nouvel échantillon de mon sang pour être sûr.

- Mais... Mais le sang, ça vient d'où ?

- Ça peut arriver dans certaines grossesses, au moment de la nidation, et dans mon cas, la nidation est arrivée y a une semaine environ sauf qu'au lieu que le sang coule et s'évacue, il a stagné en formant une sorte de petit caillot inoffensif qui a fini par se déloger tout seul, après que j'aie uriné plusieurs fois, toujours d'après le docteur.

- On va l'avoir notre enfant ?

- Il faut encore que je passe une batterie d'examens pour qu'ils évaluent l'embryon donc il est prévu que je me fasse hospitalisée dans quelques heures, quand ils m'auront préparé une chambre dans un service plus adéquate. m'assurait ma lumière en caressant ma joue alors que ma main n'arrivait pas à quitter son ventre. Et... Tu sais pas le mieux ?

- Y a mieux que ça ? rigolais-je avant de renifler gravement.

- Le docteur m'a dit que mon taux d'hCG augmentait plutôt rapidement, ce qui veut dire que... Il soupçonne une supposée grossesse gémellaire.

- Des jumeaux ?

- Des jumeaux. confirmait Nour avec un gros sourire.

Sans rien dire, je la fixais de longues secondes avant de ricaner en secouant la tête, je me croyais dans un autre monde. J'étais venu ici avec la peur que la procédure n'ait pas aboutie et j'allais repartir de la clinique avec ma femme enceinte, c'était inimaginable.

Ça allait être Oria qui allait sauter de joie en apprenant ça, déjà qu'elle était elle-même enceinte de jumelles, j'imaginais pas la manière dont ma femme et elle, allaient s'échanger tout plein d'astuces pendant leur hypothétique grossesse ensemble. Mais quelque part, j'en rêvais vraiment.


(...)

𝕹𝖔𝖚𝖗

- Je ne suis pas en porcelaine.

Râlant une nouvelle fois, je laissais Hakim accrocher mon manteau à un crochet, avant que sa main ne se repose sur le bas de mes reins et qu'il me fasse avancer pour que l'on rejoigne le salon. Comme un gentleman, il avait porté ma valise depuis le parking et je dirais même qu'il en faisait presque de trop avec moi.

Mais c'était plaisant d'avoir un homme aux petits soins

- Tu veux prendre un bain ? me demandait le brun en revenant de la chambre, là où il avait déposé mes affaires rapportées de l'hôpital.

- Tu viendrais avec moi ? je ricanais devant son sourire qui répondait à sa place. Alors oui je veux bien. Je vais faire couler l'-

- Tu touches à rien, je m'en charge.

- Hakim, je suis à deux semaines et demie de grossesse, y a rien qui a changé pour le moment.

- Tout ce que je peux faire pour toi, j'le fais.

Je n'ajoutais rien, ne voulant pas le contrarier, tandis que mon mari embrassait mon front avant de filer dans la salle de bain. De mon côté, je me frottais les mains en regardant partout autour de moi, comme si j'étais arrivée dans un nouvel habitat, que je ne reconnaissais plus mon propre appartement.

Mais ça me faisait bizarre, je l'avais quitté avec des doutes et là, j'avais des confirmations sur toutes mes interrogations. J'étais enceinte, la FIV avait réussi, j'allais sûrement pouvoir mettre au monde un enfant, voire deux selon mon médecin. Plus j'y songeais et plus l'idée d'avoir deux petites filles commençait à me plaire de plus en plus d'ailleurs.

Je nous imaginais déjà mener la vie dure à leur père.

- Hayati, c'est bon.

D'elles-mêmes, mes jambes se mettaient droites alors que je me levais du canapé afin de rejoindre Hakim dans la salle de bain. J'avais passé presque une semaine à l'hôpital, sous surveillance de mon médecin traitant qui avait préféré me faire faire plusieurs examens afin de s'assurer que j'étais bien enceinte et que mon début de grossesse n'était pas nocif pour mon bébé ou pour moi.

À chacun de mes rendez-vous au sein de la clinique, j'avais eu le droit de sentir la paume chaude et réconfortante du rappeur contre la mienne, qui ne m'avait pas lâché une seconde. Il avait passé toutes ses nuits à mes côtés, demandant un lit de fortune ou même un simple matelas gonflable s'il le fallait, juste pour ne pas être loin de moi.

- Ça sent bon en tout cas. souriais-je en refermant la porte derrière moi, alors qu'Hakim se redressait de la baignoire. Pas la peine de me déshabiller, je sais encore le faire hein.

- Et si j'ai envie de le faire ? il se rapprochait de moi pour se planter devant moi et me surplomber par la même occasion.

- C'est vous qui voyez alors monsieur Akrour. je me mordillais la lèvre face à ses prunelles noires de désir qui me détaillaient. Vous ne verrez aucune objection à ce que je fasse de même pour vous ?

- C'est comme ça que tu m'rends ouf Nour, putain.

Je pouffais de rire avant que l'on ne s'enlève mutuellement nos vêtements, pour finir par se glisser dans notre baignoire. Il y avait juste de la place pour que je m'allonge sur mon brun, qui me massait directement les épaules, en embrassant même l'une d'elles, me faisant pousser un long soupir de plénitude.

On avait eu zéro intimité à la clinique et ça faisait du bien de rentrer à la maison un peu.

- Ton échographie c'est quand déjà ? la voix rauque d'Hakim sonnait dans mon oreille alors que j'avais l'arrière de mon crâne contre son torse, et les yeux de clos.

- Mardi dans trois semaines. Tu viendras ?

- Les questions que tu poses toi aussi. je ricanais tandis qu'il descendait ses mains sur mon ventre plongé sous l'eau. J'crois que je devais rejoindre les gars au stud' mais je vais décaler.

- Tu leurs as pas dit ?

- Non. Je préfère attendre qu'on soit sûrs que... Ta grossesse aille bien jusqu'au bout, pour leur en parler, tu vois.

- Oui, je comprends. Et puis, tu peux être soulagé, Oria est au courant au moins. je l'entendais rire dans mon dos. Elle ne pourra pas t'en tenir compte et ça m'étonnera qu'elle le dise aux autres.

- Ouais, je crois qu'elle m'a jamais autant serré dans ses bras. Toi tu vas l'dire à Cora ?

- J'attends aussi qu'on soit certains que tout soit hors de danger. J'ai pas envie de le crier sur tous les toits pour au final devoir rappeler tout le monde pour leur dire que c'est pas bon.

- Trois mois, c'est ça ?

- Hmm, minimum.

- Et on saura quand si c'est des jumeaux ? Ou des jumelles.

- Alors jumeaux c'est à la sixième semaine, donc on le saura à mon écho et pour le sexe, c'est à la deuxième écho, vers mon quatrième mois de grossesse.- Tu penses que t'es enceinte de quoi ?

- De quoi ? Ça se dit pas Hakim. il grognait, me faisant rigoler.

- Tu m'as compris, commences pas.

- Je pense à des jumelles, comme Oria. Et toi ?

- Une fille et un gars, comme ça on coupe la poire en deux t'as vu.

Je hochais de la tête avant de me renfoncer contre son torse, laissant Hakim enrouler ma taille avec ses gros bras qu'il resserrait pour m'emprisonner. Mais pas trop fort pour ne pas comprimer mon ventre.

Je venais d'apprendre une semaine plus tôt que j'étais enceinte et là tout de suite, j'avais juste envie de voir mon petit bidon grossir et grossir, je me languissais de ces moments de grossesse que j'allais vivre aux côtés du brun. Je nous voyais déjà peindre la chambre de notre, ou nos, enfant, acheter plein de peluches, rêver d'une vie avec un nouveau petit être.

On en était encore loin, j'en étais consciente, mais je savais que ça allait passer à une allure délirante aussi.


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comme quoi, ils ont le droit au bonheur égoïste finalement :)

Nour et Hakim parents, je vais vivre pour (enfin normalement)

sachez que ce chapitre est écrit depuis août ptdrrr, il a été écrit avant même que la ff ne soit officiellement postée mais faut voir comme je l'aaaaattendais. depuis sept mois quoi

allez, à dimanche pour la suite (plus que 7 chapitres 💀)

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