๐˜ค๐˜ฐ๐˜ถ๐˜ต๐˜ฆ๐˜ข๐˜ถ ๐˜ฏ๐˜ฐ๐˜ช๐˜ณ

By thirtyheart

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โ€ข un โ€ข
โ€ข deux โ€ข
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โ€ข cinq โ€ข
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cinquante-deux
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โ€ข soixante-douze โ€ข
โ€ข soixante-treize โ€ข
รฉpilogue
โ€ข bonus 1 โ€ข

โ€ข cinquante โ€ข

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By thirtyheart

𝕳𝖆𝖐𝖎𝖒
JANVIER 2020

- On est sûrs qu'elle est fiable ?

Les bras croisés sous ma poitrine, je regardais chaque personne de mon crew après avoir posé une question qui me semblait essentielle. On était là, dans mon salon depuis deux heures, depuis que je les avais réuni ici pour faire exploser ma bombe. J'étais convoqué devant le juge pour complicité de meurtre et j'allais pas vous mentir, j'avais eu du mal à le leur avouer.

Mais c'était Oria qui m'avait mis une pression de dingue pour que j'crache tout et là, c'était dur que de voir leurs visages consternés, à tous.

- Elle m'a l'air compétente et pour le moment, c'est la seule avocate de Paris que j'ai trouvé et qui est libre pour s'occuper de ton cas. me répondait la brune en haussant des épaules, caressant toujours le genou de son mec qui était à deux doigts de la syncope. Tu peux toujours tenter un rendez-vous et voir ce que ça va donner.

- J'veux pas tenter, il me faut du concret, le procès est pour bientôt là.

- C'est sûr que si tu nous l'avais dit avant, on aurait pu aider nous aussi. lâchait Ken en regardant ses pieds. La tête de ma reum que tu déconnes, gars.

- C'est Naëlia qui m'a donné son contact. poursuivait Oria en ignorant l'air désagréable du grec. Elle s'était penchée sur maître Kassab pour son procès à elle mais au final, ça n'a pas pu se faire puisqu'elle a eu un désistement.

- Et si pour moi aussi y a un désistement ?

- T'auras qu'à supplier pour que l'un de nous plaide ta cause au tribunal.

- Vous êtes pas obligés d'y assis-

- Ferme ta gueule. claquait Idriss en me dévisageant. Sur tout ce qui compte à mes yeux, ferme ta gueule au lieu de dire de la merde. Bien sûr que oui qu'on sera là à l'audience, t'as cru qu'on allait te laisser tomber alors que t'es notre frère ? T'as fait une putain de connerie, une énorme même, mais c'est pas pour autant qu'on va t'abandonner, t'es fou ou quoi ? Tu casses les couilles à rien dire et à tout dévoiler au dernier moment, on doit trimer comme des chiens après pour trouver des solutions.

- Je vous ai pas demandé d'aide.

- Mais t'as pris la tête à Oria pendant tous ces mois, sans nous en parler à nous.

Même si on était six dans mon salon, il n'y avait que quatre personnes, dont moi, qui prenaient la parole. Hugo et Théo restaient plus en retrait, suivant attentivement ce qu'il se passait.

- J'étais d'accord et ça ne m'a pas dérangé. se défendait ma reus en me jetant un regard discret de soutien.

- Toi c'est pas nous fteró, Hakim on est tes frères depuis gamin et même ça t'es pas capable de nous le dire ? Tu préfères aller faire tes yeux de chien battu à ma femme et ne compter que sur une personne alors que ton cas mériterait qu'on soit cent dessus ? Tu fais rien pour te justifier ou pour t'innocenter.

- Ken, raconte pas n'importe quoi non plus. soufflait Oria en passant sa langue sur ses lèvres.

- C'est quoi ta défense ? C'est quoi ton alibi ? C'est quoi qui prouve que c'était pas toi ?

- Calme-toi Nek', c'est bon. murmurait Théo en se grattant l'arête du nez.

- Je compte pas me défendre.

Ma phrase claquait dans la pièce et on aurait pu entendre une mouche voler juste après ça. Les yeux sur chacun de mes gars, j'affrontais leurs regards remplis d'interrogation et surtout, de peur. Peur à l'idée de me voir derrière les barreaux, peur à l'idée de se dire que j'allais sûrement être enfermé pendant une durée indéterminée.

Mais ils ne savaient pas tout ce que je cachais derrière cette affaire, qui je protégeais surtout, et pourquoi je le faisais. Y avait un plus gros enjeu pour cette personne que pour moi-même au final. Je m'étais mis dans la merde et je mettais un poing d'honneur pour ne pas faire chuter Olysse avec moi, ce n'était pas elle qui m'avait demandé de passer la soirée avec elle puisqu'elle s'ennuyait. Et ce n'était pas elle qui devait un service à une vieille connaissance.

- Là par contre, tu t'fous vraiment de notre gueule. crachait Ken dont les émotions commençaient à noircir comme les feuilles qu'il griffonnait chaque soir. C'est quoi ton putain de problème ?

- Ken, tu-

- Nan là c'est bon, frère tu joues à quel jeu au juste ? Tu nous ramènes chez toi, tu nous dis que t'es accusé de complicité dans un meurtre putain, un meurtre ! Et là tu sors quoi ? Que t'as déjà dans l'optique de finir au trou ?

- Ouais. disais-je clairement, n'ayant rien d'autre pour ma défense.

- Ouais ? répétait Ken en me flinguant avec ses prunelles de feu. Ouais, t'as que ça à me répondre ?

- Les gars wesh c'est bon, calmez-vous, faut qu'on en parle sérieusement. intervenait Hugo en rapprochant un peu sa chaise du cercle qu'on avait formé avec le canapé et un des fauteuils de mon salon.

- J'veux pas savoir. Démerde-toi Hakim, fous ta vie en l'air s'tu veux c'est pas mon dos.

- Ken, rassieds-toi. soufflait Oria en essayant de retenir son mec qui commençait déjà à se barrer.

- J'bouge. Garde les clés de la caisse, je rentre à pied.

- Mon kho, reste. c'était au tour d'Idriss de rappliquer dans la conversation. On fait ça ensemble.

- C'est pas ce que lui il veut apparemment, je respecte sa décision hein.

On se guettait une dernière fois avec le fennec, avant qu'il ne récupère sa veste sur une chaise et qu'il claque la porte de mon appartement derrière lui, faisant soupirer sa femme qui passait ses mains sur son visage en raclant sa gorge. Le silence retombait dans la pièce et j'avais qu'une envie, leur demander à tous de bouger pour que je reste seul.

J'avais fait mon choix de toute manière, y avait pas d'autre issue de secours pour ce procès, j'étais condamné à la taule.

Et c'était même pas la potentielle avocate que m'avait trouvé Oria, maître Kassab, qui allait changer ça.


(...)


𝕺𝖒𝖓𝖎𝖘𝖈𝖎𝖊𝖓𝖙
MAI 2023

Plus les secondes défilaient, et plus l'inquiétude d'un homme apprêté d'un beau costard, accroissait de manière exponentielle. La main grattant nerveusement ses cheveux soigneusement coiffés, il faisait les cent pas sur le perron de la mairie, tentant de joindre sa future femme par tous les moyens.

La piste d'un accident de la circulation faisait grimper sa tension en flèche et il craignait pour la vie de son épouse qu'il n'avait pas vu depuis deux jours, comme le voulait la tradition de chez lui. À l'intérieur du bâtiment administratif, les convives commençaient à s'impatienter, ne comprenant pas d'où venait l'air préoccupé du futur marié et surtout, ils voulaient savoir où se trouvait la future mariée.

Il y avait de ça quinze minutes déjà que la cérémonie aurait dû débuter et l'adjoint du maire tapait carrément du pied en rappelant au témoin d'Allan, qu'il y avait un autre mariage après, et qu'ils étaient déjà en train de perdre un précieux temps.

- Elle me répond pas. grognait Allan en se tournant pour la millième fois, sous les yeux de sa meilleure amie qui avait les lèvres pincées. Putain, imagine qu'il lui soit arrivé quelque chose ?

- Allan...

- Je flippe comme un fou, ça peut pas nous arriver maintenant, pas après tout ce qu'on a traversé.

- Allan, s'il te plaît. Louane attrapait les poignets de son ami d'enfance, regrettant déjà ce qu'elle allait lui annoncer. Je sais où en est Nour.

- C'est vrai ? son visage semblait retrouver de l'éclat et ça mit un pincement au cœur de la blonde. Elle est où ?

- Elle ne- Je sais.

- Tu sais ?

- Pour Nour et toi. les sourcils d'Allan se fronçaient, signe qu'il ne comprenait pas où Louane voulait en venir. Je sais ce que tu lui as fait.

Comme s'il avait reçu une décharge électrique, le pauvre libraire se détachait de l'emprise de sa témoin qui commençait à avoir les larmes aux yeux. Malgré le monstre qu'il avait été envers une femme, Louane n'arrivait pas à ne pas ressentir de la peine pour Allan, elle savait qu'il aimait Nour, réellement.

Mais il ne savait pas se contrôler et sa relation était devenue toxique pour l'avocate qui ne méritait pas ça. Allan devait prendre sur lui-même et apprendre de ses horribles erreurs pour devenir meilleur. Se marier avec Nour n'était absolument pas la solution à leurs problèmes, loin de là malheureusement.

- Elle ne viendra pas. lâchait finalement Louane en regardant droit dans les yeux le visage de son ami qui s'affaissait peu à peu. Elle ne viendra pas Allan.

- Qu-Quoi ? Non. un rire nerveux explosait dans la gorge de celui dont les piliers commençaient à s'effondrer peu à peu. Tu me fais une mauvaise blague Loulou, je te crois pas.

- C'est la vérité, c'est- C'est moi qui lui ai dit de ne pas faire ça.

- Tu as fait quoi ?! silencieusement, Louane accusait le coup en fermant ses yeux, prenant une grande inspiration. Dis-moi que tu rigoles.

- Allan, elle ne pouvait pas faire ça.

- T'es complètement folle putain, t'as dit à ma femme, ma femme pas la tienne, de me quitter pile au moment de notre mariage ? C'est ça ?

- Tu as levé la main sur une femme. claquait la blonde à voix basse, ayant perdu instantanément toute compassion pour son meilleur ami qui devenait égoïste. J'aurais été complètement folle de la laisser faire ça alors que je savais qu'elle vivait un enfer chez vous. Tu l'as giflé, tu l'as poussé, tu l'as envoyé à l'hôpital Allan, l'hôpital.

- Je me suis excusé pour ça, j'ai tout fait pour me pardonner derrière. On s'aimait bordel ! Allan modérait son timbre vocal pour éviter d'alarmer tous les invités dans la mairie, qui hésitaient à sortir pour demander au marié où était sa belle. T'as tout gâché Louane !

- Je lui ai peut-être sauvé la vie. Et je ne regrette pas une seule seconde ce que j'ai fait. Donc tu vas retourner à l'intérieur et dire à tout le monde que le mariage est annulé. le libraire riait jaune en se pinçant l'arête du nez. Assumes tes bêtises maintenant.

Sur ces mots, Louane sondait une dernière fois son ami avant de lui tourner le dos et de retourner dans la mairie, s'asseyant sur sa chaise de témoin en souriant à tout le monde, ne voulant pas les laisser comprendre un instant ce qu'il se tramait. Que la cérémonie n'allait pas avoir lieu, que la mariée s'était volatisée comme dans ces romans à l'eau de rose que la plupart des femmes ici avaient lu.

Pas un instant la blonde s'en voulait. Pas un instant elle se disait qu'elle avait sûrement brisé le cœur d'Allan, elle ne voulait pas y penser. Elle n'avait eu qu'une chose en tête après avoir appris les débordements du brun, c'était Nour. Il y avait de quoi remercier Célia pour lui avoir tout dit.

- C'est pas possible, c'est pas possible. répétait Allan en pianotant nerveusement sur l'écran de son cellulaire, à la recherche du contact de sa bien-aimée qui venait de lui échapper d'entre les doigts. Réponds Nour putain, me fais pas ça. La garce. crachait-il quand le répondeur lui demandait de laisser un message. Ça va pas se passer comme ça, elle peut pas me faire ça bordel de merde.

Pendant deux minutes non-stop, il lançait des regards rassurants à ses parents qui l'interrogeaient du regard depuis l'intérieur de la mairie, essayant d'avoir une réponse à la question que tout le monde se posait.

"Où est Nour ?"

- Allô ?

Une voix grave immobilisa Allan qui avait même eu l'impression d'avoir été foudroyé par un éclair, sitôt que quelqu'un répondait de l'autre côté du cellulaire. Mais ce n'était peut-être pas l'interlocuteur auquel il s'attendait.

Pauvre Allan.

- N- Nour ? tentait-il quand même vainement.

- Nan. Arrête de la sonner.

- Vous êtes qui ?

- Rappelles-la encore une fois et j'te promets que j'viens me charger de toi, oublie-la.

- Oubliez ma femme ? Je peux savoir à qui j'ai affaire ? All- Allô ? Putain !

Cette fois, son cri perça dans le silence et fit se taire toute les personnes présentes dans la salle des fêtes de la mairie. Chaque convive se regardait et, quelque part, ils comprenaient relativement tous ce que cela signifiait. Ils allaient rentrer chez eux avec le soleil toujours présent dans le ciel, sans avoir les pieds engourdis ou avec une gueule de bois le lendemain au réveil, ils allaient pouvoir repartir avec le cadeau acheté des semaines auparavant, sans des étoiles dans les yeux après un beau mariage.

À plusieurs kilomètres de là, un homme raccrochait tout juste en jurant dans sa barbe, finissant son fond de bière en soufflant longuement. Lentement, il reposait le portable d'une avocate sur son plan de travail, avant de passer ses mains sur son visage et de retourner dans le salon, là où se trouvait une femme au teint blafard, les cheveux légèrement défaits.

Allongée sur le canapé avec la joue contre le coussin, Nour fixait le vide, des larmes séchées qui avaient roulées jusqu'au creux de sa poitrine et un trou béant dans le cœur. Elle était recroquevillée sur elle-même, n'osant même plus bouger par peur de déranger, par peur qu'Hakim ne la vire de chez lui. C'était comme si elle voulait se faire oublier, devenant le plus insignifiant des insectes si elle restait immobile.

- Tu veux manger un que-truc ? réponse négative de la part de la brune. À boire ?

- Non merci. articulait-elle d'une voix pâteuse qui lui avait déchiré les cordes vocales. C'était lui ?

- Hmm. Hakim poussait un tout petit peu les jambes de Nour en arrière pour pouvoir s'asseoir à ses côtés, la regardant sans ouvrir la bouche.

- Il a dit quoi ?

- Rien d'intéressant.

- Il est fâché ?

- On s'en fout. Toi ça va comment ?

- Ça va pas. avouait sincèrement l'égyptienne en calant ses deux mains sous sa joue pour faire office d'oreiller. Célia et Cora arrivent dans combien de temps ?

- Célia m'a envoyé un message tout à l'heure pour me dire qu'elle devait passer à la mairie pour prévenir tes proches avec ta sœur, j'pense dans trente minutes elles seront toutes les deux là. Ça va aller ?

- Je sais pas. J'ai besoin d'un câlin en fait, je crois.

La demande subite de Nour fit se tendre Hakim qui avalait difficilement sa salive, ne s'attendant pas à ça de la part de l'avocate qui avait plutôt été réservée sur la dernière heure. Mais il n'était pas bête, il savait très bien que cette phrase voulait sous-entendre que la brune souhaitait une étreinte de sa part.

Alors, s'y prenant certainement comme un manche, il attrapait délicatement le bras de Nour pour la faire s'asseoir sur le canapé, ses jambes toujours allongées sur le tissu et, ne réfléchissant pas pour éviter de faire marche arrière, il entourait la taille de ce bout de femme, la serrant très fort contre lui.

Contre son oreille, Nour éclatait à nouveau en pleurs, faisant se crisper Hakim qui, à cet instant, se promettait une chose.

Il allait tout faire pour que plus jamais, il n'ait à voir cette nana dans cet état. Il en prenait carrément la responsabilité, de lui-même.

————————————

coucouuu, petit chapitre à flashback pour ce soir :)

J'avais envie de détailler la réaction d'Allan le jour de la cérémonie, du coup la voici 😮‍💨

On se retrouve MARDI, 20h, comme d'habitude ;)

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