๐˜ค๐˜ฐ๐˜ถ๐˜ต๐˜ฆ๐˜ข๐˜ถ ๐˜ฏ๐˜ฐ๐˜ช๐˜ณ

By thirtyheart

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โ€ข soixante-treize โ€ข
รฉpilogue
โ€ข bonus 1 โ€ข

โ€ข quarante-six

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By thirtyheart

𝕹𝖔𝖚𝖗
MAI 2024

Essorant mes cheveux dans ma serviette, je me dirigeais vers mon salon tout en pestant devant l'heure qui défilait à toute allure et qui allait bientôt me mettre en retard. Traversant la pièce du séjour, je râlais subitement en sentant une main s'abattre sur ma cuisse, avant de dévisager mon copain qui souriait fièrement.

- Je suis en retard. claquais-je pour lui faire comprendre que je n'étais pas d'humeur.

- Tu prends quinze ans dans la douche aussi Hayati, pourquoi t'es étonnée ? l'entendais-je se moquer depuis mon canapé.

- Y a rien de drôle, j'ai la rencontre avec mon nouveau client aujourd'hui.

- Pour quel motif ?

- Confidentiel.

- Ça va Nour, on s'dit tout. en me tournant pour attraper ma paire de talons, je remarquais Hakim avec une épaule contre l'embrasure de la porte, les bras croisés sous sa poitrine et ses yeux me reluquant de haut en bas. T'es sexy comme ça.

- Merci ? ricanais-je avant de me saisir de mon long manteau au gris légèrement clair. Tu restes ici toute la journée ?

- J'sais pas, je vais sûrement décaler au studio pour aller voir les gars ou aller faire un tour. je hochais de la tête tout en m'habillant de mon écharpe. C'est toujours bon pour garder Eliott chez moi ce week-end ?

- Oui, oui pas de soucis. Chéri, j'y vais.

- Ouais, bosses bien.

Avec un sourire collé au visage, je plantais mes lèvres sur celles d'Hakim qui calait ses larges mains sur ma taille afin de me serrer contre lui, me tordant encore plus le ventre. C'était toujours mes moments préférés quand j'étais avec lui, j'avais l'impression d'être dans une bulle et c'était presque ma came au final.

- On dirait un mec au foyer là, ça m'soûle. finissait-il par grogner pour rester dans son personnage d'ours mal-léché.

- C'est un peu le cas aus- Aïe. grimaçais-je quand sa main claquait ma fesse au moment où je lui faisais dos pour sortir. Je rigole, ça va. Tu feras le dîner pour quand je rentre mon amour ?

- Casse-toi avant que j'te plaque au mur.

- J'apprécie la deuxième option. avouais-je dans un murmure en lançant un regard taquin à Hakim qui levait les yeux au ciel en riant doucement. Je t'aime, à ce soir.

- Tu m'appelles si y a heja.

- Comme d'habitude.

- J't'aime.

Me mordillant discrètement la lèvre, j'adressais un dernier signe de main à mon copain avant qu'il ne referme la porte de mon appartement et que je me retrouve à devoir dévaler mes escaliers pour rejoindre le parking du bâtiment. Je ne pouvais pas mentir, ce train de vie me plaisait, dormir et me réveiller aux côtés d'Hakim, manger avec lui, me doucher avec, faire des jeux de société, regarder la télé, c'était une routine qui m'allait très bien.

Pas besoin de précipiter les choses entre lui et moi, on était très bien comme ça. Surtout que, mine de rien, ça faisait quatre ans qu'on se connaissait en février, même si ça ne s'était pas fait dans un cadre très idyllique ou romantique. Mais ça, c'était une autre histoire qui appartenait au passé maintenant.

Avant de démarrer une fois assise derrière mon volant, j'envoyais un message à Célia pour la prévenir de mon léger retard et de faire passer le mot à mon client pour qu'il patiente. Quelque chose par contre dans ma routine qui commençait à me tendre, c'était les petits cas que je défendais.

Pas qu'ils ne méritaient pas mon attention mais, je ne disais pas non à quelque chose d'un peu plus rythmé et compliqué. Un peu plus comme l'affaire de monsieur Akrour au final.


(...)

- Joyeux un an de séparation Nour. lisais-je avec un air désespéré au visage, juste avant de soupirer et de jeter carte et fleurs à la poubelle.

- Il lâche vraiment pas l'affaire. Célia pouffait de rire en roulant en rond sur sa chaise, me regardant foutre tout ça dans sa corbeille.

- Pas du tout. Faut croire qu'Hakim n'y est pas allé assez fort pour lui détruire les doigts, il arrive encore à s'en servir. soufflais-je en m'accoudant au comptoir de l'accueil des locaux, la bouille un peu déconfite.

- Quelque chose ne va pas Nour ?

- Tu trouves que je suis une bonne avocate ? demandais-je innocemment, fixant le petit cactus qui prônait sur le bois du meuble.

Cette question me traînait en tête depuis le réveil et elle remontait subitement maintenant, à quatre heures de l'après-midi, pendant ma pause après que mon client soit parti, m'ayant expliqué tout du contexte qui l'amenait me voir.

- Bah... Oui, pourquoi ?

- Personne ne fait appel à moi pour des grosses affaires, monsieur R s'est présenté pour un vol à main armée, c'est le troisième ce mois-ci.

- Sois contente, ça veut dire que le crime ne sévit plus sur Paris. plaisantait-elle, ne me faisant même pas esquisser un sourire. Attends Nour, ça viendra.

- Je suis avocate depuis six ans et la seule grosse enquête que j'ai eu, c'est celle d'Hakim.

- Y a pas non plus des criminels à chaque coin de rue, faut être patiente ma biche.

- Encore combien de temps ? Je n'ai pas envie de prendre ma retraite et de me dire que j'ai autant servi qu'un avocat commis d'office sans reconnaissance particulière.

- C'est le risque de ce métier ça... mon amie me souriait tristement en me caressant le poignet. Au pire, t'as qu'à demander à Hakim de te faire une pub.

- T'es con. pouffais-je de rire en levant les yeux au ciel, me décalant un peu du comptoir alors que Célia semblait remise d'aplomb.

- Non mais c'est une trop bonne idée. Ou alors tu écris en gros sur ton parcours que tu as défendu une célébrité qui avait d'abord été reconnue coupable et que tu as réussi à l'innocenter.

- Ce n'est pas parce-que j'ai fait sortir un rappeur français de taule que, forcément, j'ai du talent. Au contraire même, on pourrait croire que la Cour l'a blanchi, justement parce-que c'est Mekra. Ça se trouve que c'est ça.

- Mais t'arrêtes de dire des conneries oui ?

Je me pinçais les lèvres en regardant ma copine qui soufflait en passant ses mains sur son visage. Quand j'étais dans ma période de doute, je pensais bien être la personne la plus chiante au monde, y avait pas photo. Je remettais tout en question et si Hakim ne me répétait pas quinze fois qu'il était fou de moi, je pouvais croire qu'il ne m'aimait pas vraiment.

Mais pour ça, pas de doutes.

- Tu pars quand pour la Kabylie déjà ? la brune changeait de sujet pour m'éviter de rebrasser dix fois mes talents et c'était tant mieux.

- Fin juin, dans un peu plus d'un mois du coup. je faisais le tour du bureau pour m'asseoir à ses côtés et regarder l'emploi du temps qu'elle était en train de mettre à jour. Normalement, j'ai pas de rendez-vous ou de procès pendant deux semaines.

- Exact. Maître Kassab va rencontre sa belle-grand-mère. je grimaçais.

Voilà que le diable me remet dans le mal.

- Tu le sens comment ?

- J'ai encore un peu plus d'un mois pour performer mes formules de politesse et on devrait être bon. Hakim, comme Idriss, comme Ken même, m'ont assuré que Jida voulait me voir. Apparemment, ces trois-là ont loué des éloges à mon sujet et j'ai peur qu'elle s'attende à être face à la plus parfaite des femmes pour son petit-fils.

- C'est le cas un peu. T'es belle, intelligente et t'es avocate ! disait-elle avec entrain, comme si c'était un critère sur l'échelle de l'appréciabililté.

- Et donc ?

- Avocat ça fait parti des trois métiers que tout parent valide, même si t'es pas jolie, ce qui n'est pas ton cas, enchaînait-elle très vite pour ne pas me blesser, tu pars avec beaucoup de points positifs.

- Je parle même pas arabe. crachais-je en croisant mes bras sous ma poitrine et en m'enfonçant dans le siège à roulettes, les yeux sur l'écran d'ordi face à moi.

- Ça change quoi ?

- Je suis égyptienne et donc censée maîtriser la langue de mes origines, je vais forcément représenter un déshonneur.

- T'as fini de dire des bêtises, retourne travailler comme ça, ça t'empêchera de penser n'importe quoi. Je suis sûre que ça va bien se passer.

Lentement, je hochais de la tête comme pour convaincre mon cerveau que Célia disait vrai, que Jida allait bien m'aimer et n'allait pas représenter un obstacle dans ma relation avec Hakim. De toute façon, ma Jida, à moi, m'avait dit que si la grand-mère d'Hakim émettait la moindre réticence à mon sujet, elle fuguerait de sa maison de retraite, prendrait le premier avion, et viendrait vanter mes mérites en précisant que j'étais la petite-fille la plus incroyable du monde.

Elle ne se rendait pas compte que ça me foutait une pression en plus, j'avais l'impression de ne pas pouvoir échouer, sous peine d'être vraiment un énorme déchet, comme le bouquet de fleurs d'Allan que j'avais jeté plus tôt à la poubelle.

Qui envoyait des roses à son ex pour leur un an de séparation ?


(...)


- Putain mais ça s'arrête jamais de ramper ces bordels.

Perdant de l'intérêt pour mon écran d'ordinateur, je détournais les yeux pour tomber sur Hakim qui poursuivait Eliott dans tout son salon, le petit riant en partant dans tous les sens. Progressivement, un sourire montait à mon visage et je fixais mon copain attraper le petit dans ses bras en écrasant plusieurs fois ses lèvres sur la joue de son neveu.

Y avait pas à dire, Eliott était un bébé très mignon.

- Dis-toi qu'il a qu'un an. pouffais-je de rire en regardant Hakim s'asseoir sur la chaise à côté de moi. Ça va bientôt être son heure pour aller dodo.

- Enfin, c'est une pile éléctrique ce gamin. T'es comme ton daron en fait. ricanait-il en faisant bouger son genou pour amuser Eliott. Première fois que Ken réussit un truc bien.

- T'es méchant Hakim. rigolais-je tout en pinçant la joue du petit bout de chou. Oria m'a dit qu'il voulait déjà un deuxième.

- Qu'il s'calme, c'est pas une poule pondeuse non plus, il avait qu'à la serrer avant au lieu de prendre tout son temps.

- Mais ça va pas de dire autant de cruautés sur ton meilleur ami. Devant son fils en plus.

- Eliott il répétera rien, c'est mon gars. Hein que t'es le gars à tonton. il tournait l'enfant face à lui, faisant gazouiller le brunet. Bah ouais, ça c'est ma caille.

- C'est ton neveu, pas ton copain.

- La même, j'lui changeais ses couches alors il va pas trop faire l'ancien avec moi.

Levant les yeux au ciel, je reportais enfin mon attention sur mon travail et sur l'exploration de tout ce que mon client m'avait filé à son sujet. C'était un peu une analyse préliminaire, je regardais rapidement les infos sur lui, histoire de me faire une idée sur le personnage, et j'aviserais dans les prochaines semaines pour trouver ma ligne de défense.

En réalité, c'était un peu la partie la plus chiante dans une affaire, je préférais largement quand je pouvais rentrer vraiment dedans. Là, j'étais plus à la surface de tout ça.

Et alors que j'étais redevenue focus sur mon boulot, un petit corps faisait irruption dans mon champ de vision, tenu par les mains d'Hakim qui s'amusait à faire des bruits de fusée en baladant Eliott comme un vulgaire poids léger.

- Joues avec moi, tata. je fermais les yeux d'épuisement devant la petite voix que prenait mon copain, promenant le gamin dans les airs avec ses deux bras. Ou fais un bisou à tonton, c'est toi qui choisis.

- Je vais pas pouvoir finir ça ce soir, si je comprends bien ? déclarais-je ironiquement en tournant la tête vers Hakim qui avait un énorme sourire d'enfant au visage.

Ça le rendait encore plus craquant.

- T'es claquée Amirati, ça sert à rien, tu retiens rien.

- Bien sûr que si.

- La date des faits de l'affaire ?

- Le huit... Dix- Neuf jui- Septembre ! Deux mille vingt-trois. me rattrapais-je au dernier moment.

- Voilà, tu retiens plus, donc lâches l'affaire et on va se coucher si tu veux.

- Je peux pas dormir tant qu'Eliott s'est pas endormi. avouais-je avec une petite moue, suivant des yeux le bout de chou qui bâillait lourdement.

- J'm'occupe de ça t'inquiètes. Je vais le coucher et j'arrive. Et toi, coupes ton écran mon ange s'il te plaît.

Je laissais Hakim me faire un bisou sur le front, et j'en profitais pour en faire un sur la joue d'Eliott en lui souhaitant une bonne nuit. Le marmot s'accrochait par la suite sur le pull de son oncle, fermant déjà ses petits yeux tout fatigués tandis que moi, j'écoutais mon brun et je fermais toutes mes sessions en faisant du rangement sur la table du salon.

Il avait raison, j'étais morte et ça ne servait à rien de forcer, valait mieux que j'aille m'allonger pour me lever plus tôt demain et faire un travail de meilleure qualité.

Quinze minutes plus tard, je me retrouvais dans mon lit, répondant à quelques dernières messages avant de reposer mon portable et d'attendre patiemment qu'Hakim ne revienne de la pièce juste à côté qui servait de base de bureau, avant d'être réinventé en chambre d'amis rien que pour Eliott.

Oria nous avait demandé d'essayer de ne pas le faire dormir avec le lit près de nous, il fallait apparemment que son fils apprenne à être seul pendant la nuit et il nous arrivait de nous lever des fois vers trois-quatre du matin, pour chanter des berceuses au petit. C'était Hakim qui s'en était occupé hier et j'avais ri silencieusement en l'entendant réciter la comptine "Une souris verte", pendant vingt minutes non-stop à deux heures et demi.

C'était hilarant.

- C'est bon, il dort. déclarait d'ailleurs le preux soldat en fermant d'un quart la porte de sa chambre, posant le baby-phone sur sa table de chevet. Tu peux te coucher sur tes deux oreilles Hayati. se moquait-il en roulant sur le matelas, jusqu'à coller mon dos à son ventre.

- Merci mon cœur. Bonne nuit. je fermais immédiatement les yeux quand ses bras entouraient ma taille, agissant comme un somnifère instantané.

- Je m'occuperais d'Eliott demain matin, profites de ta grasse matinée. un sourire montait à mes lèvres alors qu'Hakim caressait ma nuque avec son nez.

- Tu sais que je t'aime.

- J'le sais ça madame le baveux.

Je pouffais de rire une dernière fois avant de finalement me taire et de profiter de ce succulent sommeil, dans les bras d'Hakim qui ne me lâchait pas de la nuit. Et, c'était une première, mais Eliott ne s'était pas réveillé une seule fois avant le matin.

Ça avait fait hurler de joie Oria quand elle l'avait appris d'ailleurs.



————————————-

Coucou les gars !! J'espère que vous allez bien !

On va bientôt ouvrir un nouvel arc sur l'histoire et j'ai trop trop hâte ça y est :))

À vendredi !

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