Et un jour, on s'est retrouvé...

By fan-fictiondetout

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Francesca Caviglia x Federico Paccini Federico a disparu du jour au lendemain, sans prévenir personne, laissa... More

Prologue
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Epilogue

Chapitre 19

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By fan-fictiondetout

Federico : Pourquoi ?

Moi : Son père a bénéficié d'une importante opportunité professionnelle, ce qui a entraîné sa mutation.

En apprenant la nouvelle, Federico prit mes mains, me releva, et m'enlaça. C'était un moment apaisant, et lui seul parvenait à me tranquilliser.

Federico : Je suis là, ne pleure pas.

Moi : Merci.

Nous restâmes dans les bras l'un de l'autre pendant au moins 5 minutes. Puis, à contre cœur, je décidai de mettre fin à ce moment.

Federico : Ça va aller ?

Moi : Oui... Merci.

Federico : Je te ramène chez toi, viens.

Moi : ...Oh non, je n'ai pas mes clés, et Martina finit plus tard que prévu.

Federico : J'ai fini mon entraînement, alors je t'emmène chez moi en attendant.

Moi : Ne te dérange pas pour moi, Federico.

Federico : Qui t'as dit que t'avais le choix ? Viens.

Il prit ma main et me conduisit. Lorsque nous arrivâmes devant chez lui, j'hésitai à entrer.

Federico : Viens, je ne vais pas te manger.

Il me laissa explorer son nouveau chez lui, car évidemment, il avait changé d'appartement, sinon on l'aurait trouvé.

Moi : C'est mignon.

Federico : C'est ma chambre.

Dès que j'entrai, je remarquai sur son bureau un cadre à côté avec plusieurs photos de nous, ainsi que de lui et Leon.

Je m'approchai des photos et les pris dans mes mains.

Federico : Jamais de ma vie, il y a eu un instant où je n'ai pas pensé à vous, surtout à toi.

Je restai silencieux. et je le sentais derrière moi.

Federico : Tu sais que je t'aime et que je veux ton bonheur. Je t'attendrai...

Je reçus un message de Martina.

Moi : Oh non !

Federico : Qu'est-ce qui t'arrive ?

Moi : Martina me demande si elle peut dormir chez une copine...

Federico : Et où est le problème ?

Moi : Les clés !

Federico : Mais il n'y a pas de soucis pour ça, Francesca, tu peux rester ici.

Moi : C'est vrai ?

Federico : Oui, il y a la chambre d'à côté, viens, je vais te montrer.

Moi : Merci, tu es génial.

Je reposai les photos et le suivis.

Federico : Je te laisse te poser si tu veux, je vais commander une pizza. Et il y a un carton dans le placard avec tes affaires.

Il s'éloigna. Il avait gardé mes affaires... Toutes nos photos, nos lettres, nos cadeaux, même des vêtements que j'avais laissés chez lui... Il avait tout conservé, je n'en revenais pas. Je descendis le rejoindre.

Federico : Les pizzas arrivent.

Moi : Super.

Federico : On peut parler ?

Moi : Bien sûr.

Nous nous installâmes sur le canapé.

Federico : Je tenais à m'excuser...

Moi : De quoi ?

Federico : Du baiser... Je ne veux pas te brusquer, et je patienterai le temps qu'il faut...

Moi : Je dois m'excuser aussi... De te faire attendre. Tu dois sûrement souffrir, et ce n'est pas mon intention...

Federico : Mais pas du tout, c'est moi qui ai fait une erreur et j'en assume les conséquences ; c'est normal. Et même s'il faut que j'attende 10 ans, j'attendrai 10 ans. Toi, tu n'as rien à te reprocher.

Je trouvai cela trop mignon...

Moi : C'est...

DING DONG !

Oh, la pizza ! Nous avons mangé, mais cela me ramenait vraiment à notre époque ensemble. Après le repas, je suis allée me coucher. Puis, il y a eu un coup à la porte.

Moi : Oui ?

Federico : Je voulais te souhaiter bonne nuit.

Non ! Il a osé ! Je le hais ! Si vous n'avez pas compris, il était lui aussi en pyjama, sauf que c'est un garçon, donc son pyjama est un pantalon et c'est tout !

Moi : Merci, toi aussi.

Federico : Fais de beaux rêves, mais ne rêve pas trop de moi.

Il souria narcissiquement, et en réaction, je lui lançai un petit coussin, mais il avait fermé la porte en rigolant. Puis, je m'endormis avec le sourire aux lèvres. Au cours de la nuit, je le sentis me rejoindre, mais je ne dis rien parce que je me sentais trop bien. Je perçus un baiser sur le front avant qu'il ne parte, probablement pour aller faire au Roller. À mon réveil, je découvris sur la table de nuit un petit déjeuner accompagné d'une petite carte sur laquelle était écrit "Bon appétit, je t'aime". C'était trop mignon, alors je mis la carte dans mon sac et partis prendre ma douche après avoir mangé. Peu de temps après, j'entendis la porte s'ouvrir et le vis arriver dans la chambre.

Federico : Coucou, tiens, voilà tes clés.

Moi : Merci.

Federico : Bon, je vais prendre ma douche.

Quelques minutes plus tard, quand je sortis de la chambre, il sortit de la salle de bain en même temps ! Rooooh, comme par hasard ; en plus, toute sa vie il est torse nu !

Federico : Tu manges avec moi avant de partir ?

Moi : Ouais, si tu veux.

Je descendis les escaliers, et quelques minutes plus tard, nous mangions ensemble. Puis, il fut temps pour moi de partir.

Moi : Bon, je vais rejoindre Leon.

Federico : Tu reviens quand tu veux.

Il le dit avec son sourire qui signifie "reviens".

Moi : On verra. Bon, merci encore pour l'hébergement et d'avoir récupéré mes clés.

Il me fit un clin d'œil, et je partis en direction de chez mon meilleur ami.

Moi : Alors, comment tu vas ?

Leon : J'ai connu mieux, et toi, comment ça va ? Ça avance avec Federico ?

Moi : Doucement, j'ai encore des barrières.

Leon : Qu'il franchit de jour en jour.

Moi : Oui, aussi. Et toi, avec Violetta ?

Leon : Ça ne sert à rien, je m'en vais. Je ne vois pas l'intérêt de me remettre avec elle.

Moi : Pour profiter encore.

Leon : C'est trop dur, c'est hors de question. On va souffrir encore plus, je le sais.

Moi : Au moins, passe des moments avec elle avant de partir.

Leon : Une semaine et demi... il me reste une semaine et demi. Je ne sais même pas quoi faire, et en réfléchissant, je perds du temps, et après, les jours passent !

Moi : Tu as encore un peu de temps. Tu veux faire quoi ?

Leon : Je ne sais pas, j'ai envie de profiter de mes amis, et c'est tout.

Moi : Bien, alors profitons.

Leon : Oui, tu vas me manquer, tu sais ? Qui va me calmer quand je serai énervé ?

Moi : Tu m'appellerais quand tu es énervé, et je te calmerais. Même à des kilomètres, nous resterons soudés et unis. On n'est pas amis pour rien.

Leon : T'es vraiment la meilleure.

Moi : Je sais.

Il rit, et je vis Violetta derrière lui.

Moi : Tu sais quoi ? Je vais être encore plus meilleure en te laissant.

Leon : C'est une blague ?

Moi : Non, je suis très sérieuse. Je vais laisser ma place à la personne qui se situe juste derrière toi, et moi, je vais m'en aller. Du coup, je te propose de venir à la maison comme ça, on se verra. Ça te va ?

Il se retourna pour voir qui était derrière lui.

Leon : Ok... Alors à demain. Et tu passeras le coucou à Federico, hein.

Il dit en rigolant.

Moi : Gna gna gna.

Leon : Tu lui diras de venir demain.

Moi : Ok, alors à demain.

Je partis sans adresser la parole à Violetta et me dirigeai donc vers chez Federico. Quand il ouvrit, il fut à la fois surpris et ravi.

Federico : Tu as oublié quelque chose ?

Moi : Oui, mon après-midi avec toi.

Je lâchai cette phrase en rentrant dans la maison comme si tout était normal.

Federico : Fais comme chez toi, je t'en prie.

Moi : Ah, et tu as le coucou de Leon, et tu es invité chez moi demain.

Federico : Très bien, trois jours avec moi, dis donc, je vais penser que t'es addict.

Je lui tirai la langue.

Federico : Pourquoi tu es revenue ?

Moi : Je peux repartir si t'es pas content.

Federico : Non, je voulais juste savoir.

Moi : J'ai laissé ma place à Violetta.

Federico : Ça s'est arrangé avec les filles ?

Moi : Certainement pas.

Federico : Ah.

Moi : Je ne suis pas revenue pour parler de mes anciennes amies, donc parlons d'autre chose, tu veux bien ?

Federico : D'accord, tu veux faire quoi ?

Moi : Je ne sais pas, pour tout te dire, j'ai fait demi-tour sans même m'en rendre compte.

Federico : Ton instinct est trop attiré par moi.

Je lui balançai un coussin en pleine tête et rigolai.

Federico : En plus, tu rigoles. Attends, tu vas voir.

Je savais ce qu'il voulait faire. Il commença à courir derrière moi, et on courut dans toute la maison, mais il finit par me rattraper.

Federico : Je t'ai eu.

Moi : T'es plus rapide que moi, c'est normal !

Il me tenait toujours par la taille. On était quand même très, très, très proches. Il commença à me chatouiller.

Moi : Non non, Federico, s'il te plaît arrête !

Federico : Alors, tu t'excuses de m'avoir balancé ce coussin.

Moi : Non, c'était trop tentant.

Il continua.

Moi : Ok, ok, ok, je suis désolé !

Federico : Mouais, j'accepte.

Après nos petits jeux et nos rires, nous avons décidé de nous détendre sur le canapé. Federico a suggéré de regarder un film, et nous avons choisi une comédie romantique. Pendant le film, il a posé son bras autour de mes épaules, que j'ai étonnamment accepté. Entre les scènes, nous avons partagé des anecdotes amusantes et des souvenirs, renforçant notre complicité. Federico a préparé des collations, ajoutant une touche sucrée à notre après-midi. Des éclats de rire et des moments tendres ont ponctué notre temps ensemble.

Moi : Federico ?

Federico : Oui ?

Il me sourit tendrement, comme il a l'habitude de le faire... et je retiens lamentablement mon envie de lui sauter à la bouche et de l'embrasser. Non ! En fait, je n'ai pas envie de faire ça, c'est juste le départ de Léon qui me chamboule un peu partout.

Moi : Merci.

Il me fait un clin d'œil, il partit visiblement tout heureux dans sa chambre. Je restai sur le canapé, le regard dans le vide, souriant bêtement. Je prends une grande inspiration. Décidément... il n'a pas changé, mon Federico... enfin, je veux dire Federico.

Federico : Tiens.

Moi : Qu'est-ce que c'est ?

Il me donna un paquet.

Federico : C'est pour ton anniversaire que j'ai manqué... Je voulais le mettre dans ta boîte aux lettres ce jour-là, mais je n'en ai pas eu la force. Alors, je ne l'ai jamais fait, mais puisque tu es là maintenant...

J'ouvris le paquet, découvrant un collier avec un cœur, et derrière était gravé un grand "F".

Moi : Merci, c'est très joli.

Federico : Il ne te plaît pas ? Tu n'as pas l'air contente.

Moi : Si, si, bien sûr que si.

On aurait dit qu'il réfléchissait à quelque chose. Il commença à chanter. Puis, il me tendit la main, me leva, et me fit tourner. Nous étions extrêmement proches quand il s'arrêta de chanter.

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