J'ai dû écouter Harry parler à Tom et ceux sans pouvoir hurler.
Au dessus du tuyau le serpent c'était posé et empêcher l'aire de passer ainsi que le son. Je me retrouvais donc bloqué et en manque d'aire.
J'ai donc profité que Tom lache le serpent sur Harry pour réussir à m'échapper. Je ne savais pas comment remonter jusqu'à ce que j'entendent le phœnix de dumbledor se ramené et il descendit jusqu'à moi
- fumsec. Aide moi à sortir je t'en pris.
Il se mit à flotter au dessus de moi et me fit remonter à la surface.
Je vis alors qu'il avait laissé deux objets important au sol. L'un d'eux était une épée incrustée de pierre rouge et le second. Ma boîte à musique.
Je ne voyais pas en quoi la boîte pouvait m'aider contre un serpent geant mais eh la pris
Il ne fallu pas longtemps avant que je n'arrive dans la plus grande partie des catacombes. Il y avait tom qui regardait ginny inconsciente, lui prenant toute sa vitalité.
- ne t'approche pas d'elle.
- je vois que tu es sorti. Qu'est-ce que tu tien dans ta main?
- de quoi tué un serpent géant.
- tu veux qu'il arrête ? Tu n'a qu'à lui dire. Ce sera toi sa futur maîtresse. Fait en ce que tu veux
Je vis harry arrivé avec le serpent derrière lui
- Léna!
- ry ! Éloigne toi ! Laisse mon frère tranquille
Le serpent s'approchait donc de moi
- fumesec lui a crevé les yeux.
Au moins je n'ai pas besoin de fermer les yeux.
—Tue le garçon ! Laisse l'oiseau ! Le garçon est derrière toi ! Sens-le, sens son odeur !
Le Basilic fit un mouvement brutal pour se retourner, son corps s'enroula sur lui même en heurtant les colonnes et sa tête s'abattit sur Harry.
Celui-ci vit les énormes orbites de ses yeux morts et sanglants, et sa gueule qui s'ouvrait, immense, hérissée de crochets luisants, aussi effilés que son épée, des crochets mortels, prêts à le transpercer...
Le serpent plongea à l'aveuglette. Harry réussit à l'éviter et la tête du reptile heurta le mur.
A nouveau, il plongea et sa langue fourchue cingla Harry comme un fouet.
Je lui lance l'épée Il l'à deux mains et la brandit au-dessus de sa tête.
Le Basilic attaqua à nouveau, et cette fois, il visa juste. De toutes ses forces, Harry enfonça l'épée jusqu'à la garde dans la gueule du monstre et lui transperça le palais.
Harry sentit alors un flot de sang tiède ruisseler sur sa manche et une douleur fulgurante lui traversa le bras, juste au-dessus du coude. Un des longs crochets venimeux était enfoncé profondément dans sa chair et se cassa net lorsque le serpent vacilla et tomba sur le côté, le corps agité de convulsions.
- Harry !!
Je le vit tomber et le rattrapa de peu .
Il empoigna le crochet qui répandait le venin dans son sang et l'arracha de son bras. Mais il savait qu'il était trop tard.
- espèce d'imbécile.
- je t'ai entendu dans la grande salle, je t'ai entendu
Il laissa tomber le crochet brisé du serpent et regarda son propre sang imprégner l'étoffe de sa robe.
- imbecile.
—Fumseck, dit Harry d'une voix pâteuse. Tu as été magnifique.
L'oiseau était arrivé devant nous.
Harry se laisser tomber et je glisse avec lui à cause de l'eau.
Il sentit que l'oiseau posait sa tête à l'endroit où le crochet du serpent lui avait transpercé le bras.
—Tu es mort, Harry Potter, dit la voix de Jedusor au-dessus de nos tête. Mort. Même l'oiseau de Dumbledore l'a compris. Tu vois ce qu'il fait, Potter ? Il pleure.
- Harry ne l'écoute pas... tu ne vas pas mourir. Fait moi confiance.
—Je vais m'asseoir et te regarder mourir, Harry Potter. Prends ton temps, je ne suis pas pressé.
—Ainsi finit le célèbre Harry Potter, dit la voix lointaine de Jedusor. Seul dans la Chambre des Secrets, oublié par ses amis, et enfin terrassé par le Seigneur des Ténèbres qu'il avait si sottement défié. Bientôt, tu auras rejoint ta chère mère au Sang-de-Bourbe, Harry... Elle t'aura permis de vivre douze ans... Mais Lord Voldemort a fini par te vaincre, comme il se devait.
- ferme la. Ferme la!
- tu sera bientôt de mon côté alors cesse de pleurer. Léna Potter
—Va-t'en, l'oiseau ! s'écria soudain la voix de Jedusor. Va-t'en, laisse-le. J'ai dit va-t'en !
Je récupéra ma baguette des mains du souvenir
- qu'est-ce qu'il se passe?
Le phœnix pleurait sur le bras d'Harry
—Les larmes de phénix, murmura Jedusor en regardant le bras de Harry. Un puissant remède contre les blessures... Je l'avais complètement oublié...
Dans un bruissement d'ailes, Fumseck tournoya alors au-dessus de Harry et laissa tomber sur ses
genoux... le journal intime.
Pendant une fraction de seconde, Harry et Jedusor, la baguette toujours levée, regardèrent le petit livre noir.
J'attrape le crochet qu'avait lâché harry. Et empoigne le carnet au passage.
Il y eut un long hurlement perçant, un hurlement terrifiant.
Un flot d'encre jaillit du livre à gros bouillons et ruissela sur mes mains . Jedusor à présent se tordait sur le sol, agitant vainement les bras, criant de toutes ses dernières forces. Et soudain...
Il avait disparu. La baguette magique de Harry tomba sur le sol, puis ce fut le silence. On n'entendait plus que le bruit faible et régulier de l'encre qui continuait de couler goutte à goutte du journal intime. Le venin du Basilic avait fait un trou dans le petit livre noir, brûlant les pages de part en part.
Tremblant de tout son corps, Harry se releva. Avec des gestes lents, il ramassa la
baguette magique et le Choixpeau, puis il tira de toutes ses forces la poignée de l'épée pour arracher la lame de la gueule du serpent.
Ginny remuait. Harry se précipita. Elle s'était redressée, assise par terre, et regardait d'un air stupéfait l'énorme masse du Basilic mort. Ses yeux se tournèrent ensuite vers Harry et sa robe trempée de sang,Elle fut secouée d'un sanglot et des larmes ruisselèrent sur ses joues.
Je resta à l'écart. Contente de voir mon frère en vie
—Harry... Oh, Harry, j'ai essayé de te dire, Tau... l'autre jour... mais je... je ne pouvais pas parler devant Percy. C'était moi, Harry... mais je jure... que je ne voulais pas faire ça... C'est Jedusor qui m'a obligée à... Il m'a imposé son pouvoir et... Comment as-tu fait pour tuer cette... cette chose ? Où est Jedusor ? La dernière chose dont je me souvienne, c'est quand il est sorti de... de son journal...
—Tout est fini, maintenant, dit Harry en lui montrant le gros trou que le crochet du serpent avait percé au milieu du petit livre noir. Jedusor n'existe plus... Ils sont morts tous les deux, lui et le Basilic. Viens, Ginny, sortons d'ici.
—Je vais être renvoyée, se lamenta Ginny tandis que Harry l'aidait à se relever. J'avais tellement attendu le jour où je pourrais enfin entrer à Poudlard... Et maintenant, je vais être obligée de partir... Mes parents vont être furieux...
Fumseck les attendait en tournoyant à l'entrée de la Chambre des Secrets. Harry entraîna Ginny dans l'obscurité sinistre,
- lena tu viens ?
- j'arrive.. laisse moi quelque minute.
ils enjambèrent le cadavre du Basilic et retournèrent dans le tunnel, leurs pas résonnant en écho contre les parois de pierre.
Je sortit alors la boîte que j'avais mis dans la poche de ma robe de sorcier
- toi tu ne m'a pas été utile finalement.
Seulement au moment où je dit ça la boîte s'ouvre et avant que je ne comprenne le crochet se fit aspirer et disparue complètement à l'intérieur.
- lena!? Hurla Harry
- j'arrive.
Ils avancèrent rapidement dans le tunnel et entendirent enfin une sorte de raclement lointain.
Je l'es rejoigna enfin et l'on retrouva ron et lockhart
—Ginny !
Ron tendit les bras pour l'aider à passer par l'ouverture.
- ah Bha merci ça fait plaisir.
- non moi aussi je suis content de te revoir lena mais c'est ma soeur!
- je sais je rigole. Harry t'as entendu? C'est comme ça qu'on se comporte avec sa soeur
—Je t'expliquerai quand nous serons sortis d'ici.
—Bien sur.
—Bonjour, dit lockhart. Drôle d'endroit, n'est-ce pas ? C'est ici que vous habitez ?
—Non, répondit Ron en jetant à Harry un regard interrogateur
—Tu as réfléchi au moyen de remonter là-dedans ? demanda harry à ron
Ron fit « non » de la tête, mais Je souffla
- moi je sais. Fumsec.
Ses petits yeux brillaient dans l'obscurité du tuyau. Il agitait ses longues ailes aux plumes d'or, et posa ses patte sur mon bras
—Fumseck n'est pas un oiseau ordinaire, dit Harry
- Harry, tu accroche ginny, ginny à ron et professeur lokhart ..
—Il parle de vous, dit sèchement Ron à Lockhart
. —Vous prendrez l'autre main de Ginny.
Harry glissa l'épée et le Choixpeau magique dans sa ceinture, Ron saisit un pan de la robe de Harry et celui-ci s'accrocha à la queue de Fumseck dont les plumes dégageaient une étrange chaleur.
Le phœnix s'envoler
J'entendait Lockhart qui s'exclamait : « Etonnant ! Vraiment étonnant ! On dirait de la magie ! » Les cheveux ébouriffés par l'air frais du tuyau, Je trouvait cette envolée plutôt agréable, mais elle fut de courte durée. Bientôt, tous les cinq on se retrouva sur le carrelage humide des toilettes de Mimi Geignarde et le lavabo qui dissimulait le passage secret se remit en place.
Mimi nous regarda avec des yeux ronds.
—Tu es vivante toi?
- et toi tu n'a rien fait.
—On dirait que tu es déçue, répondit sombrement Harry en essuyant ses lunettes maculées de sang et de boue.
—Bah... je me disais que si tu étais morte j'aurais été contente de partager mes toilettes avec toi, avoua Mimi en souriant
—Beûrk, dit Ron
- contente d'être en vie, et toi ginny ?
Mais Ginny n'était pas d'humeur à plaisanter : des larmes continuaient de couler sur ses joues.
—Où on va, maintenant ? demanda Ron en jetant un regard inquiet à sa sœur.
Ils le suivirent à grands pas et quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent devant le bureau du professeur McGonagall.
Harry frappa et poussa la porte.