Chapitre dix-sept
Présent (Russie)
Je me réveille en sentant quelque chose de dur sur mes fesses. Je sens des mains sur mon ventre, qui me poussent contre cette dureté.
J'ouvre les yeux et je vois Adrik, nu. J'essaie de m'éloigner de lui.
- " Si tu bouges encore, je n'hésiterai pas à t'enfoncer ma bite, compris ? ". Il me demande.
- " Ok ", je me raidis contre lui. Je pouvais sentir son érection sur mon intimité, mais il ne poussait pas à l'intérieur.
- "Je vais aimer te briser". Il a avoué.
- "Tu ne me briseras pas. Je vais m'échapper et tous vous tuer avant que vous ne puissiez me faire quoi que se soit."
- "Hmm, on verra."
Après une heure ou deux, il m'a lâché et m'a dit de prendre une douche.
- "Viens, je vais te laver." Il ordonne.
- "Si tu me touches, je te coupe la queue et je t'étrangle avec."
- "Arrête de te débattre, tu vas faire ce que je te dis de toute façon."
Je n'ai rien, aucune arme..... Je pourrais me battre contre lui physiquement mais honnêtement, comment je pourrais me battre contre le patron de la mafia Russe alors qu'il est bien plus grand et plus fort que moi....
Je l'ai suivi dans la salle de bain. Et je l'ai accompagné sous la douche.
Il prend le gel douche et me dit d'aller sous l'eau.
Je sens l'eau chaude sur mes blessures. Cela fait du bien d'avoir de la chaleur sur moi après avoir été si froide pendant des jours. J'en gémit presque.
Soudain, je sens ses mains sur mes épaules, en train de me laver. Puis il lave l'ensemble de mon dos et de mes jambes.
-"Tourne-toi."
Je me retourne et je vois que sa bite est encore plus dure. Il en a une grosse, je ne vais pas mentir.
Ça m'a fait encore plus peur, s'il allait me violer, il allait me mettre en pièces.
"Ok, passe-moi la bouteille." Je lui demande, ne voulant plus être touchée par lui.
- "Lilith !"
- "Je vais te laver." C'était la seule chose qui pouvait l'empêcher de me toucher.
"Hmm, tu veux me toucher, n'est-ce pas ?"
- "Dans tes rêves, donne-la moi."
Il me passe le produit et je le prends.
Je mets du savon sur mes mains et je lave ses épaules avec. Je lave tout son corps, je lave le mien et nous sortons de la douche.
Il m'a dit de porter à nouveau une robe blanche. Mais celle-ci n'était pas moulante. Elle était plutôt transparente et ample.
J'étais nue sous la robe car monsieur Adrik ne voulait pas que je porte de sous-vêtements.
Je n'y avais pas pensé avant, mais...
-"Qu'est-ce que tu as fait à Georgia ?" Je lui demande, me rappelant qu'elle était avec moi quand je voulais parler à Adrik.
(Georgia est la femme avec qui elle s'est faite kidnappée, cheveux roux courts)
- "Eh bien, elle est là aussi. Mais elle n'a pas droit au même traitement..."
- "Qu'est-ce que tu veux dire ?"
- "Tout le monde n'a pas la chance d'avoir un patron de la mafia pour les protéger."
- "Je n'ai pas d'homme pour me protéger."
- "Lorenzo, il vient ici. Tu n'es pas obligé de le croire, mais il arrive."
"Alors qu'est-ce que tu a fais à Georgia ?"
- "Je ne suis pas sûr que tu veuilles le savoir."
"Dis-moi juste. Où est-elle ? "
"Dans les cellules, au sous-sol. Juste là où tu étais hier."
- "Mais je ne l'ai pas vue." J'étais inquiete de ce qu'ils lui avaient fait.
"Oui, parce qu'elle est dans une autre partie du sous-sol."
- "Je peux la voir ?" J'ai demandé même si je connaissais la réponse.
- "Non."
C'est une personne très bien et elle m'a beaucoup aidé. J'ai peur qu'elle ait été violée et torturée pendant que je suis ici et que je ne souffrie pas.
Nous devons trouver un moyen de nous échapper, rapidement.
Point de vue de Lorenzo
(Quelques heures plus tard)
-La meilleure chose à faire est d'y aller seul. Bon, vous serez tous là aussi mais il ne le saura pas. Je parlerai avec lui et puis nous suivrons le plan."
- "Ça peut être dangereux", dit Alessandro. C'est celui qui a le plus haut niveau intelligence dans notre gang.
-"Oui, je sais, mais qui est le patron ?" Je savais déjà que ça pouvait mal se passer. Mais si on y va tous, on n'a aucune chance.
- "Hmm." Le bâtard dit. - "Tu sais que ton père ne sera pas content, hein ?"
- "Je sais et j'en ai rien à foutre." C'était le dernier de mes soucis.
Les hommes d'Adrik m'ont conduit dans une cellule. Ce salaud voulait me parler là-bas. Du moins, c'est ce que ses hommes m'ont dit. Je ne l'avais pas encore vu.
- "Amenez son putain de cul ici. Je suis là pour l'écouter..." J'ai dit à ses hommes.
- "Il sera là dans 30 minutes."
Quand on est entrés dans les cellules, ils ont fermé la porte à clé et sont partis.
-" C'est vraiment toi ?" J'entends une voix dans la cellule juste à côté de la mienne.
Lilith.
Après tous ces mois, je l'ai enfin trouvée. Elle porte une robe blanche. Je peux presque tout voir à travers le tissu. Elle est assise sur un lit.
-"Oui, c'est bien moi, Lilith," Je dis. Je savais que ce serait le début de son cauchemar.
Je vais la torturer pour ce qu'elle a fait. Mais je ne peux pas le faire maintenant. Je ne sais même pas s'ils l'ont violée. S'ils l'ont fait, je vais brûler cette maison. Peut-être même s'ils ne l'ont pas fait.
Mais je ne peux pas briser quelqu'un qui est déjà brisé.
Pour l'instant, je dois juste suivre le plan. Ensuite, nous verrons ce que je fais de Lilith.