– Papa Katsu ! Papa Sho ! Vous êtes où ?
On pouvait entendre la voix de Mai à travers la porte dans le couloir.
– Mai attends reviens !
Dabi essayait tant bien que mal de rattraper la jumelle qui cherchait ses pères depuis dix minutes afin de la prévenir que le barbecue était bientôt prêt.
– Merde.
– Tais-toi.
Ils voulaient rester silencieux puis Katsuki se souvint qu'il n'avait pas fermé la porte à clé. Shoto le vit dans son regard.
– Me dis pas que t'as oublié de fermer la porte à clé ? Chuchota-t-il.
– Mais je pensais pas qu'ils viendraient nous chercher jusqu'ici ! Lui répondit-il en chuchotant également.
– Bah la preuve que si. Tu sais très bien à quel point Mai est déterminée quand elle cherche quelque chose ou quelqu'un.
– Y a plus qu'à espérer que ton frère ne l'arrête avant qu'elle arrive jusqu'ici.
Ils entendirent Touya essayant de dissuader Mai de les chercher et de retourner dans le jardin avec tout le monde. Il s'occuperait lui-même de prévenir les deux toujours emboîtés l'un dans l'autre.
– Pourquoi on peut pas entrer ?
– Euh... parce que j'ai dis non et que comme je suis l'adulte, c'est moi qui décide.
– Quelle excuse pétée... Fit son frère à travers la porte.
Après de longues secondes de débat, il finit finalement par les faire redescendre.
Il entra sans gêne dans la chambre et les scruta.
– Vous devriez fermer à clé, on est jamais trop prudent.
– Putain mais dégage ! Fit le bicolore en attrapant un coussin qu'il lui jeta à la tronche.
Il avait agi avant même que Katsuki n'eut à dire ou faire quoi que ce soit.
– Bah me remercie pas surtout.
– Merci et au revoir. Fit-il d'une traite, bien déterminé à ce que celui-ci sorte en vitesse.
Dabi partit en s'excusant, un rictus amusé aux lèvres.
Shoto était rouge de honte et de gêne.
– Ça m'a refroidi.
– Oh. Vraiment ? Attends voir que je te remette d'aplomb. Fit Katsuki sûr de lui, d'une voix perverse.
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Louciza tu vois, c'est passé vite 🐎.
À demain 🧸🤍.
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