Distance

Oleh laplume_93

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Une rencontre dans un métro à une heure de pointe. Un regard. C'est tout ce qu'ils avaient eu. Puis chacun e... Lebih Banyak

Prologue
1-Rush matinal
2-Lendemain de soirée
3-A la folie...
4-Dernière Chance
5- Souffle court
6- Deuxième rencontre
7-Explications...
8-Désillusion
9-Rendez-vous
11-Surprise
12-Reviens
13-Après-coup
14- Douce obsession

10- Seconde Chance

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Oleh laplume_93




Jade

Je sors du studio, en sueur, mais fière de moi. J'ai réussi le deuxième tour cette fois-ci. Mon partenaire était moins bon, mais je ne me suis pas raté sur le porté, et j'ai tout fait comme je l'espérais. Matthieu est même venu me féliciter à la fin de l'audition.

Malgré ça, je n'arrive pas à être réellement aux anges, l'ombre de ma situation avec Raphaël pèse sur mes épaules. On est lundi, et il n'a toujours pas donner un signe de vie. Je vis dans un motel près de mes cours de danse. Cette situation est de plus en plus pesante, et étant seule à longueur de journée, j'ai le temps de m'imaginer les pires scénarios.

Mais pour autant, je n'ai pas envie de le voir. Je ne veux pas prendre le blâme pour cette soirée, je ne veux plus vivre dans la peur de ces sautes d'humeurs. Je ne veux pas m'excuser lorsqu'il fait une connerie, puis le voir ramener Lola une semaine après. Je n'en ai pas la force. Il régit ma vie, mais c'est à peine s'il me considère vraiment comme sa copine, au bout de sept ans.

Je récupère ma bouteille d'eau et mon sac et sors des vestiaires. Je descend les marches de l'immeuble en connectant mes écouteurs à mon portable. Une voiture intercepte soudain mon attention. Le temps que je la reconnaisse, je ne peux pas m'échapper, il sait que je l'ai vu.

Il gare la voiture en face de moi et ouvre la fenêtre. Je continue à avancer, sans prêter attention à Raphaël. Je n'ai pas envie de lui parler. Il ne peut pas se planter ici au bout de trois jours comme si de rien n'était, après m'avoir humiliée, insultée, blessée et mise dehors.

- Jade! m'interpelle-t-il.

Je ne me retourne toujours pas. Il continue à me suivre avec la voiture, m'appelant sans cesse, mais ça ne fait rien. Il peut retourner là où il était ces trois derniers jours.

Au bout d'un moment, je ne sens plus la voiture me suivre. Je me retourne, et elle n'est plus là. Je suis soulagé, mais essaie de chasser le pincement au cœur causé par le fait qu'il ne se battra finalement jamais vraiment pour moi.

Je continue mon chemin quand je sens quelqu'un m'attraper le bras. L'angoisse monte en moi, puis est remplacé par la colère quand je me retourne.

- Qu'est-ce que tu veux bordel?

- Te parler!

- C'est maintenant que tu te réveilles? je lui assène, criant au milieu de la rue, sous les yeux des passants.

- Arrête de hurler! dit-il en crispant la mâchoire.

- J'arrête de hurler si j'ai envie! T'as pas à me donner d'ordre!

La rage monte en moi au fur et à mesure que les secondes passent.

- D'accord, d'accord. Mais rentre avec moi.

- Non, je lui répond, en croisant les bras sur ma poitrine.

Je le vois souffler, et passer sa main dans ses cheveux châtains, en regardant un peu partout autour de lui, signe qu'il est gêné.

- Au moins dans la voiture?

- Non! Je viens pas avec toi!

- Arrête de me faire une scène putain! finit-il par s'énerver.

A mon regard glacial, il se rend compte qu'encore une fois, il ne sait pas se gérer. C'est peut-être hypocrite de ma part de dire ça, mais il a réellement dépassé les bornes cette fois-ci, et les trois jours à me laisser vivre ailleurs ne lui ont pas suffit à se calmer.

- Je suis désolé d'accord! S'il te plait, tu peux monter avec moi dans la voiture s'il te plait?

Je souffle, mais son regard peiné me fait douter de mes positions. Je l'ai poussé à bout, tout de même... Et puis, j'aurais pu revenir moi aussi... Peut-être...

Je hoche la tête, et je le vois soupirer de soulagement tandis qu'il m'ouvre la portière de la BMW noire. Assise sur la place passager, mes mains tremblent lorsque j'allume la radio. Il le voit, et son regard s'adoucit.

J'attend qu'il parle, mais il n'a pas l'air décidé à se lancer.

- J'ai pas toute la journée.

- Oui, oui, pardon.

Il prend une grande respiration, puis commence enfin:

- Je suis désolée, laisse-t-il échapper dans un souffle.

Je le regarde, sidérée. C'est tout ?

- Et?

- Et bah, reviens à la maison quoi.

- Oh.

- Quoi? Qu'est-ce que j'ai dis?

- Bah rien. Justement, je dis en baissant le regard sur mes cuisses.

- Mais qu'est-ce que tu veux que je te dises, bordel?

Je remonte le regard vers lui. Lorsqu'il croise mes yeux, il se rend compte qu'il recommence. Encore une fois.

- Je suis désolée, okay? Je comprend pas ce que tu veux de plus!

Des larmes commencent à perler au coin de mes yeux, mais je les empêche de couler, par fierté. Argh, ma faiblesse m'insupporte.

- Je voudrais que tu regrettes ce que tu m'as dit, et que tu n'en ai pas pensé un mot. Je voudrais que tu t'en veuilles de m'avoir mis une claque. Je voudrais que tu arrêtes de me traiter comme ça, au bout de sept ans! Je voudrais que tu te rendes compte que t'es invivable et que parfois je me demande ce qui me retient auprès de toi. Que tu te rendes compte que je veux plus continuer a avoir peur de toi et de tes sautes d'humeur!

Mes larmes finissent par jaillir tandis que mes yeux se baissent de nouveau sur mes jambes. Je n'en reviens pas de tout lui avoir dis comme ça. Mais je ne pouvais pas m'écraser. Pas de nouveau. J'essaie de calmer ma respiration tandis que sa réponse se fait attendre.

- Je...

Je vois sa main se crisper autour du volant, et la peur habite mon ventre. Ses réactions sont tellement imprévisibles que je ne sais pas à quoi m'attendre.

- Tu ne m'aimes plus?

Mes yeux se lèvent instinctivement vers lui, par surprise.

- Pardon?

Ses yeux ont beau être suppliants et larmoyants, je sens l'agacement refaire son chemin en moi.

- Tu ne m'aimes plus? repète-t-il.

- Mais comment tu peux dire ça? Je vis pour toi! Au bout de sept ans ! Tu ne me fais pas confiance le moins du monde, n'est-ce pas? Mais je rêve, ça t'a même pas fait réfléchir!

- Mais arrête de gueuler!

- Mais t'en as rien à foutre de ce que je te dis! Tu m'écoutes même pas!

- Mais si, mais comprend-moi! J'ai peur que tu te barre et que tu me laisse...

- Mais arrête de me pousser dehors alors! Je suis une humaine aussi, Raphaël. J'ai des émotions, des faiblesses, des besoins. Je suis pas la chose sur laquelle tu peux te défouler, que tu peux briser, frapper...

- Eh! C'est arrivé deux fois ça! Et encore, je t'ai poussé, et je t'ai mis une claque, c'est rien! me coupe-t-il.

- Et humiliée pour près revenir comme une fleur et t'attendre à ce que ça passe. Je vais pas revenir éternellement, je finis.

- Pourtant c'est ce qui s'est toujours passé jusque là, laisse-t-il échapper dans un murmure.

Je le regarde ce qui me semble être une éternité dans les yeux, cherchant à y déceler ne serait qu'une once de regret. Rien.

Alors, sans même qu'il n'est eu le temps de rien dire, je sors de la voiture et fait demi tour faire le motel.

***

J'attrape mon genou et tire dessus avant de lever ma jambe derrière mon dos, afin de l'étirer. Je sens une personne pousser sur ma jambe et j'en profite pour cambrer un peu plus, renforçant mon arabesque.

Lorsque je me retourne pour remercier la personne, mon cœur rate un battement. C'est le danseur blond de ma deuxième audition, celui que j'ai vu il y a presque une semaine dans le métro, avec l'inconnu.

- Je savais bien que je te connaissais, s'exclame-t-il alors que je suis toujours mortifiée.

Bien sûr que j'allais le revoir aujourd'hui, je suis stupide! L'audition est commune, et je savais qu'il avait été sélectionné. Il faudrait que je réfléchisse parfois!

- Pardon? je lui demande en souriant.

- Je t'ai croisé dans le métro il y a quelques jours, et j'arrivais pas à te replacer.

- Oh, je répond avec léger sourire, n'étant pas sûre de quoi dire.

- Je pensais que t'avais pas passé le deuxième tour?

- J'ai repassé les auditions parce que des gens avaient abandonnés, je lui répond.

- Oh, c'est cool. Je trouvais ça dommage que t'es pas été prise, t'es bonne.

Tout le monde le regarde de travers suite à la fin de sa phrase prononcé un poil trop haut, tandis que je deviens rouge de honte.

- Enfin, bonne danseuse hein, s'empresse-t-il d'ajouter. Quoi que...

- J'ai un copain, je le coupe net.

Enfin, est-ce que j'en ai encore un, vraiment?

- Oh, dit-il, l'air un peu déçu. Dommage. Bref, je m'appelle Romain.

- Jade, je me présent en serrant la main qu'il m'a tendu.

On continue à s'entraîner l'un à côté de l'autre. Je descend en grand écart facial et appui ma tête sur mes coudes tandis qu'il chauffe ses pieds.

- T'es danseuse depuis longtemps?

- Depuis que je suis sortie du lycée, il y a cinq ans , et toi?

- Plus ou moins la même chose, j'ai fait une formation de deux ans en sortant du lycée, et du coup ça fait quatre ans.

Le chorégraphe nous appelle alors, et pendant que je passe la porte, j'entend Romain me souhaiter bonne chance. Je lui souris avant de me mettre sur le côté, et d'attendre mon tour.

Une dizaine de solo passe avant le mien, dont celui de Romain. Il est époustouflant. Vraiment. D'un point de vue technique, ses mouvements sont fluides et maîtrisés, et tout est calculé, précis. Mais ce n'est pas le plus impressionnant. La force, la puissance qu'il dégage est à couper le souffle. Ses émotions ne le contrôlent pas, mais il libère quelque chose de si honnête, vrai que s'en est touchant. C'est beau. Vraiment beau.

Lorsqu'il revient s'installer près de moi, je lui chuchote un petit "bravo". Il me sourit en retour, juste avant que mon numéro soit appeler. Je me place au milieu de la salle, sous les yeux du jury et des autres danseurs. Je vois Matthieu dans la régie me faire un signe d'encouragement. Je respire un grand coup, et la musique démarre.

Aux premières notes, mon corps s'élancent. Je ne me contrôle plus. J'ai répété tant de fois ma chorégraphie que je n'ai pas besoin d'y penser pour l'effectuer. La technique était acquise, je peux me concentrer sur l'interprétation. Mon esprit est libéré de mon enveloppe corporelle. C'est comme si je pouvais me voir danser. Je corrige comme ça les erreurs que je m'apprêtais à faire et plus rien n'existe sauf la musique et mon corps. Mon corps qui déversent l'entièreté de ma rage, de mon désespoir, de mon anxiété et de mon amour. Des images de Raphaël défilent dans ma tête, me faisait aller toujours plus au bout de mes mouvements.

Lorsque la musique finit, je suis totalement essoufflée. J'ai l'impression que mes poumons vont lâcher, mais un sourire satisfait se dessinent sur mes lèvres lorsque je vois le sourire éclatant de Matthieu derrière la vitre.

Je reviens à ma place en attrapant ma bouteille d'eau pendant que le prochain candidat est appelé. Je la vide pratiquement, assoiffée, sous le regard indescriptible de Romain. Je lui lance un regard interrogateur en essuyant ma bouche.

- T'étais incroyable, murmure-t-il.

- Oh merci, je le remercie en rougissant un peu. Toi aussi.

Il me sourit et nous nous concentrons de nouveau sur les passages. Le niveau est très haut c'est indéniable. En même temps, ce show est attendu depuis des mois et c'est une opportunité en or. Mais je pense que cette fois-ci, j'ai mes chances. Si ma prestation est aussi bonne que celle de Romain, ce dont je doute quand même quelque peu, je passe haut-la-main. Et même si elle était un peu moins bien, moins maîtrisée, j'ai quand même de l'espoir, puisque personne n'a pu l'égaler sur les passages.

C'est enfin l'heure de la sélection finale, après que les jurys se soit concerter avec les producteurs. La tension règne dans la salle. On espère tous passer, réussir. Une partie des danseurs dans la salle ont un petite notoriété déjà, principalement sur les réseaux sociaux, mais ce spectacle nous offrirai à tous une opportunité de reconnaissance dans le métier, avec d'autres emplois à la clé. Faire parti de la cour des grands. C'est crucial de réussir. Aussi proche du but, ce serait horrible de finalement se ramasser.

Le stress tend tout mon corps au maximum, et l'attente des résultats est intenable. Je vois mes mains trembler, comme celle de la fille à côté de moi. Je prend de grandes respirations, mais c'est comme si l'air n'entrait pas dans mes poumons.

Le chorégraphe en chef - le compagnon de Matthieu - s'avance vers nous, son regard froid rivé sur les numéros accrochés à nos vêtements.

- Bon, les numéros : 12, 5, 7, 34, 76, 88, 9, 70, 21, 54, 87, 88, veuillez vous avancez, s'il vous plait.

Mon numéros n'est pas appelé, mais ça ne veut rien dire. Je ne sais jamais à quoi m'attendre avec eux.

- Pour les numéros appelés, je suis désolé, merci d'être venu, et bravo pour avoir été jusqu'ici, mais nous allons continuer avec les autres danseurs.

Je vois les visages de la ligne devant moi s'affaisser, les cris de joies des personnes près de moi, contrastant avec les pleurs des autres, tandis que je ne réalise pas. Je ne réalise pas.

Je l'ai fait. Je l'ai vraiment fait. J'y suis arrivée. Je suis prise! Des larmes de joies finissent par jaillir de mes yeux et ma main se porte à ma bouche. C'est un rêve. Ma première grande réussite en tant que danseuse. Je l'ai fait!

Mes yeux se tournent vers Romain et il est dans le même état que moi, lui aussi a été pris. Sans plus réfléchir, je le serre dans bras. On partage notre joie.

- Bordel, c'est incroyable! s'exclame-t-il.

Je hoche la tête pour acquiescer, incapable de prononcer quoi que ce soit.

La salle se calme au fur et à mesure, et je reprend mes esprits. Je récupère mes affaires sur le sol du studio, et je vois Matthieu avancer vers moi en me relevant.

- Bravo, tu as été géniale, me félicite-il lorsqu'il arrive ma hauteur. Vous aussi, d'ailleurs, dit-il à mon voisin.

- Merci beaucoup, répondons-nous en cœur.

- Je savais bien que tu y arriverais. Mais, là, tu as tout défoncé. Même mon mari m'a fait des compliments sur toi, et il n'en a fait que pour quelques danseurs dans sa vie.

Je rougis sous le compliment et le remercie encore.

- Bon, je ne te retiens pas plus, va fêter la nouvelle.

Il me sourit avant de s'éclipser, le sourire aux lèvres. Un sourire flotte encore sur mes lèvres, avant que je me décide enfin à sortir de cette salle. Je marche aux côtés de Romain - qui semble m'avoir adopté comme nouvelle amie apparemment.

- On va travailler ensemble pour les deux prochaines années alors!

- Oui, je lui répond en souriant.

- C'est génial!

Un silence flotte entre nous quelques instants, puis il reprend.

- Ça te dirait de venir boire un coup pour fêter la nouvelle, avec des amis à moi?

- Euh, je ne peux...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que je vois l'inconnu du métro appuyé sur lune voiture devant moi. J'avais oublié qu'ils étaient amis!

Nos regards s'accrochent directement. Mes neurones arrêtent de fonctionner, tandis que je suis subjugué par sa présence, son aura. Ses mains sont dans les poches de son pantalon à carreaux, et son torse est sublimé dans un haut blanc moulant tout simple, surmonté d'une veste noire qui donnent à ses épaules l'air d'être encore plus carrées. Ses cheveux retombent sur ses yeux gris, transcendant et la façon dont il mordille sa lèvre inférieure me fait complètement fondre. Dire que je ne connais pas son prénom...

Romain s'avance vers lui, et me fait le signe de le suivre. Je le regarde, étonné, puis il me tire par la main pour que je vienne avec lui.

Lorsque nous arrivons à la hauteur de l'inconnu, il nous présente:

- Jade, voici Hugo, mon meilleur ami et coloc! Hugo, Jade, avec qui j'étais à l'audition.

Hugo... C'est doux. Ça lui va bien. "Hugo"; Plus "inconnue du métro". Une sensation bizarre me parcoure. Je connais son prénom. Ça rend la chose tellement réel. Mais en même temps, qu'est que cela rend réel? J'ai vu cet homme trois fois dans ma vie. Pourtant, mon corps s'enflamme dès qu'il est prêt de moi. Qu'est-ce que c'est que ça?

Il me tend la main, et je la serre timidement, et ma main brûle. Une brûlure douce, enivrante. Je me dégage rapidement, un sentiment de culpabilité me remplissant.

- Alors, comment ça s'est passé? demande-t-il à son meilleur ami.

Romain, un sourire jusqu'aux oreilles, répond:

- On a été pris, tous les deux!

Hugo et Romain s'enlacent, et il le félicite, véritablement heureux pour la réussite de son ami. Il a une voix si belle. Grave et douce, correspondant si bien à son physique.

- Bravo, me dit-il, une main toujours autour des épaules du blond.

Je le remercie timidement, sentant que quelque chose n'allait pas avec moi pour lui. Comme si quelque chose le dérangeait. Je baisse la tête, pas en confiance.

- Du coup, t'en dis quoi Jade? lance Romain.

- Pardon?

- Tu viens célébrer ça avec nous?

Je le regarde, puis Hugo, puis autour de moi, cherchant un échappatoire. Je ne peux pas faire ça. Même si je sais que Raphaël ne se dérangerait pas à ma place, je ne peux pas lui faire ça.

Mes yeux finissent par tomber sur l'Audi noir, et mon pouls s'emballent. Il est là. Et il m'a vue, en train de discuter avec d'autres hommes.

- Je suis désolée, il faut que j'y aille, je dis précipitamment.

Je déguerpis toute aussi vite, sous le regard perplexe de mes interlocuteurs, et traverse la rue pour monter dans la voiture de mon copain, prête à subir le déluge.

____

Nouveau chapitre!

Qu'est ce que vous en avez penser?

et de:

Jade?

Raphaël?

Hugo?

Romain?

Dites moi!

Et vous, vous allez bien?

Bisous bisous, à la prochaine!

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