Pistil

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Un arrosoir d'encre et des engrais de vers.
Recueil de fleurs.
Grenier de pleurs.

Elles sont partout ces horreurs.
Elles nous observent,
Prêtes à dévorer les âmes pures.
Heureusement que nous ne le sommes plus.

Le monde des ombres nous ouvre ses portes.
Les pétales de la mort se disperse dans l'air.
Le défoulement d'un cœur en peine.

Puisse ce jardin corrompu,
Trouver un admirateur,
À sa pointure.

𝐽𝑎𝑟𝑑𝑖𝑛 𝑐𝑜𝑟𝑟𝑜𝑚𝑝𝑢 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant