Episode 16 : Les partisans du grand pouvoir

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Le lendemain matin

Dans la nef

Ambrosius : Allez tout le monde debout ! De mon côté je vais aller chercher dans d'autres endroits si je peux trouver le bouton !

Gaspard : Ouais. Allez-y.

Ambrosius : Quel manque d'enthousiasme ! Ressaisissez-vous Gaspard !

Gaspard : Mmm...

Ambrosius : C'est bizarre ! Depuis qu'on s'était rencontrés au Japon et qu'on avait fait équipe à Ormuz vous n'aviez jamais fait preuve de si peu d'enthousiasme !

Gaspard : C'est bon ! Allez-y maintenant !

Ambrosius y va en se demandant ce qu'a Gaspard

Gaspard (pensées) : Je me demande des fois ce que je fais de ma vie ! Je suis devenu un gros boulet et je vis de ma culture de ma haine contre Mendoza qui n'est pas si méchant et qui dans le fond est même très sympathique tout ça à cause de mes bêtises sur l'Esperanza et compagnie ! Mais je ne peux plus faire marche arrière !

Esteban : Alors il va bien le Gaspard ?

Gaspard : COMMENT OSEZ-VOUS ? Euh non désolé oui il va bien.

Zia : Libérez-nous !

Gaspard : Oui. Euh je ne sais pas... J'en peux plus ! Je dois faire quoi ? Qu'est-ce que c'est ma vie ?

Tao : Allez libérez-nous !

Gaspard : Euh... Peut-être après !

Esteban (en chuchotant) : Il a changé Gaspard !

Zia (en chuchotant) : Oui je crois qu'il veut venir du bon côté mais il n'arrive pas à faire marche arrière !

Tao : Espérons qu'il finira par venir.

Dans le palais

Mendoza et Laguerra se lèvent et rejoignent le Duc

Le Duc : Alors on y va !

Ils sortent à peine du palais que surprise

Le Duc : Oh non ! Non ! Les partisans du grand pouvoir se révoltent !

Mendoza : Qu'est-ce que c'est ?

Le Duc : Ce que c'est ? Ce sont des rebelles qui refusent que je ne me soumette pas à la façon dont l'empereur Charles Quint manie le pouvoir ! Il y en a dans mon duché mais je veux que le peuple soit libre !

Laguerra : Donc il faut rentrer ?

Le Duc : S'il faut rentrer ? Bien sûr ! Ils sont dangereux et laissez mes soldats s'en occuper !

Mendoza et Laguerra eurent une lueur dans les yeux

Mendoza : D'accord on rentre.

Laguerra : Mais si dans un jour la révolte n'est pas contrôlée on viendra en renfort.

Le Duc : Bien. C'est gentil de votre part.

Du côté d'Ambrosius

Ambrosius : Bon il y a une révolte ! Je rentre à la nef et j'attends que ça se finisse !

Il rentre à la nef tandis que Mendoza et Laguerra rentrent au palais

Dans la nef

Gaspard : Alors ?

Ambrosius : Alors ? Eh bien je devrai recommencer demain ! Il y a une révolte à contrôler !

La révolte faisait rage et les soldats n'arrivaient pas à la maîtriser

Elle dura tout le jour et toute la nuit

Le lendemain matin

Mendoza, Laguerra et le Duc se retrouvent

Le Duc : C'est très grave ! Non seulement la révolte n'est pas maîtrisée mais en plus les révolutionnaires ont l'avantage ! Je perds de plus en plus de soldats et les révolutionnaires tiennent ! Donc merci pour le renfort !

Mendoza : Eh bien allons-y !

Laguerra : Eh oui !

Ils y allèrent et tout de suite et comme c'étaient des bretteurs hors pair ils arrivèrent à rétablir une égalité. Maintenant il fallait gagner.

La bataille faisait de plus en plus rage

Beaucoup de soldats étaient emprisonnés par les partisans de Charles Quint

Vers la fin de la journée il y avait environ 150 rebelles contre une trentaine de soldats en plus de Mendoza et Laguerra

Les troupes étaient de plus en plus épuisées

Quand c'était la nuit plus personne n'en pouvait mais il fallait continuer

Au milieu de la nuit Mendoza et Laguerra étaient face à 50 rebelles et il n'y avait plus de soldats

Grâce à leur envie de découdre ils mirent rapidement une trentaine de rebelles hors de combat

Puis 5 minutes plus tard il ne restait que 2 rebelles

Mendoza : 2 rebelles ça veut dire 2 duels !

Laguerra : Exactement !

Le premier rebelle : Je commence et me bats contre ce Mendoza !

Mendoza : A ta guise !

Le duel fut plié après 10 chocs d'épée

Le second rebelle : Eh bien donc je me vengerai vous battrai vous 2 à commencer par cette Laguerra !

Laguerra : Tu fera bientôt moins le malin  !

Le duel fut aussi plié après 10 chocs d'épée

La bataille terminée n'avait pas été sanglante t il n'y avait aucun mort

Mendoza et Laguerra entreprirent vite de libérer les soldats capturés et les ramenèrent au palais

Puis ils capturèrent et amenèrent en prison les rebelles qui étaient au nombre d'environ 300

Mendoza : Eh bien ! Beau travail !

Laguerra : Oui ! Et allons nous coucher je n'en peut plus !

Ils allèrent se coucher alors qu'Ambrosius lui dormait depuis longtemps

Le Duc (à un soldat) : Et bien nous pourrons remercier ces deux-là ! Ce sont des bretteurs hors pair ! On n'en trouve plus ! Nous leur dirons demain et les remercierons mais allons nous coucher !

Le soldat : Bonne nuit !

Le Duc : Bonne nuit !




A votre avis nos héros trouveront-ils enfin le bouton ? Dites-le moi en commentaires.

Bonus du jour :

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