« Une femme aimée, une jeune femme, une jeune fille est morte . Nous étions inséparables. Seule la mort pouvait nous séparer. Et la mort l'a fait. Elle s'appelait Malka, comme toutes les femmes qui partent sans jamais revenir. Malka, criblée de balles, morte en voulant protéger une petite fille . Morte en héroïne. Malka que j'ai aimé plus que tout, plus que moi. Depuis je suis la tristesse, la grisaille entière. Alors j'écris pour ne pas mourir. Quand je n'écrirais plus c'est que je serais sur le point de mourir. En attendant, je suis ce mort qui respire. »
ČTEŠ
MALKA
RomanceVendredi 13 novembre 2015, des terroristes mitraillent des terrasses de cafés du 10e et du 11e arrondissement de Paris. Des enfants, des pères, des frères, des mères, des soeurs et des femmes perdent la vie. Parmi les victime, il y a Malka. Elle ne...