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Faut pas réveiller ma folie.
•••
J'étais entrain de faire mes comptes quand Andréa apparaît devant moi. Elle donne un coup de pied sur la petite table ce qui fait qu'elle tombe avec tout ce qu'il y avait dessus.
- C'est quoi ton problème ? Déjà que tu m'as empêché de frapper l'autre enflure, vient pas me faire chier.
Andréa - Grand-père te cherche imbécile.
J'me lève agacé et attrape ses cheveux.
- Tu vas arrêter d'me faire chier Andréa..
J'allais lui foutre un coup dans le ventre mais elle me devance en m'en mettant un entre les jambes. Je la lâche et j'me jette par terre. J'vais la tuer..
Elle a voulu partir mais j'attrape son pied donc elle est tombée, la tête contre le sol. J'la tire vers moi même si elle se débattait en me mettant de multiples coup de pied.
? - ÇA SUFFIT !
J'me retourne et vois notre grand-père. Je lâche le pied d'Andréa et j'la pousse légèrement.
Avô - Andréa, combien de fois je t'ai dit de ne pas entrer dans ce fichu entrepôt ?
Andréa - Mais tu m'as dit d'aller chercher Thiago et..
Avô - Sua Boca ! Et toi Thiago.. tu te sens homme quand tu frappes ta sœur ?
- Elle le méritait.
Avô - La femme c'est la prunelle de tes yeux. Tu dois la chérir, l'aimer, et tout donner pour elle. Tu ne la mets jamais en position de faiblesse. Tu ne la rabaisse jamais. Et tu ne la frappe pas.
Je roule des yeux face à son discours. Toujours la même chose avec lui, il passe son temps à défendre Andréa.
Avô - Compris ?!
- Mh.
Avô - J'ai dit, « compris » ?
- roule des yeux Oui.
Avô - Levez-vous, et excusez-vous.
J'le regarde un moment avant d'me lever. Je tends ma main à Andréa et elle se redresse.
- Désolé.
Andréa - Moi aussi j'suis désolée pour tes.. voilà quoi.
