[2] « Même si tu nies tu souris car tu l'aimes »

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- Qu'es ce qui te préoccupe Nahim.. Je pose ma tête sur son torse.

- Nahim : Jamais je pourrais renier mon fils Adji' Amir à pété un plomb.

- Il va l'a réussir cette mission.. personne ne va renier personne.

- Nahim : Qu'est ce qui nous garanti qu'elle va vouloir ? Elle doit rien comprendre, qui voudra suivre un gars qui est là pour être ton soit disant sauveur.

- [...]

- Nahim : En acceptant de reprendre les affaires de mon père je pensais pas que ça aller être autant difficile et voilà que mes fils doivent en payer les conséquences.

- Ashim s'en est bien sortit lui.. regarde le il travaille pour vous et jusqu'à ici Al Hamdulilah il lui ai rien arrivé. Ashan va y arriver ne te rend pas malade, je connais mon fils il est intelligent.

- Nahim : Je l'espère Adjinaya.. je l'espère.

De longues années séparent ma vie d'avant à celles d'aujourd'hui. J'ai eu 5 enfants, 5 joyaux qu'on protège comme la prunelle de nos yeux du monde dans lequel on a décidé de vivre. Les années passent et les garçon grandissent enfin surtout Ashan et Ashim qui sont les aînés de la fratrie, ils grandissent et doivent accepter de faire partie des affaires. C'est dure pour moi qui est leurs mères mais en acceptant de me marier a Nahim je savais que ça aller être difficile une fois que nos enfants grandiront..

AHSAN 

Elle pousse mon bras et monte dans le vanne. Je m'assois à ses côtés et souris en la regardant. 

- Ashan enchantée Je lui tend ma main. 

- Rahma : C'est quel genre d'audace sa encore ?! 

Comment j'ai fait pour la dissuader de me suivre ?

- Rahma : Qui me dit que c'est sincère ce que tu m'as dit ? 

- Tu veux que ton frère guérisse ou pas ? 

- Rahma : [...]

- Voilà. Je paierais sa chimiothérapie, je n'ai qu'une parole. 

- Rahma : [...]

- T'en fait pas pour ça.. 

Quelques minutes plus tard on arrive à destination, je ferme ma veste et regarde ma montre qui afficher 16h34. Je prend un bol d'aire et regarde le ciel, j'ai frôlé la catastrophe à quelques minutes près j'aurais finit dans une des ces merdes. On monte dans le jet et elle regarde autour d'elle puis me regarde l'air neutre. 

- On sera au Liban dans deux trois heures, repose toi. 

- Rahma : Elle me regarde pendant quelques secondes et tourne le regard J'ai pas sommeil.

- Je te ferrais rien t'en as ma parole..

- Rahma : C'est pas par rapport à toi, j'ai pas sommeil.

- Comme tu veux. Je regarde les hommes à mon père Réveillez-moi quand on arrive.

Je ferme les yeux et souffle en pensant au jours qui vont suivre avec elle.. 

Elle m'intrigue, elle à l'air d'être si fragile. 

Je vais l'aider à se reconstruire comme je dois le faire jusqu'au bout, payer le traitement à son frère et après je sortirais de sa vie. Rien qu'à son regard je vois que le monde dans lequel je vis l'a dégoûte. 

- Rami : T'es aller trop fort avec elle Il chuchote

- Laisse.. Je la regarde se couvrir avec sa veste. 

- Rami : Son frère il est hospitalisée en France ? 

- Non au Liban près de sa grand-mère.. Elle est libanaise Espagnole. 

| QUELQUES HEURES PLUS TARD |

- Yemmah : Entrez il fait froid.. 

Je lui embrasse le front et décide de monter dans ma chambre. Tout ce que je voulais la maintenant c'était dormir et entendre personne. 

Ma porte s'ouvre sur ma mère, je lui souris et lui dit de rentrer. 

- Yemmah : Elle à l'air si fragile.. 

- Elle l'est. 

- Yemmah : Je savais que t'aller y arriver (sourire)

J'me déconnecte de ce monde, j'revis, le sourire des miens me suffit. 

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