[VINGT-TROIS]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"J'sais pas si le bonheur va m'endurcir dur dans la merde, j'sais pas si son cœur va me suffire je rajoute la mer"

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"J'sais pas si le bonheur va m'endurcir dur dans la merde, j'sais pas si son cœur va me suffire je rajoute la mer"

MAËLLE POVLICHA

Je reprend le boulot aujourd'hui après un long week-end de trois jours, j'avoue que je n'ai pas envie d'aller travailler, je n'ai pas envie de croiser Maïsa car son bureau est en face du mien et on se voit très bien à travers les vitres, je suis la secrétaire de son étage donc sa secrétaire à elle, je ne suis pas prête à lui parler mais pour le boulot je vais être obligé.

J'enfile mes talons avant de pousser mes cheveux long en arrière pour pouvoir me parfumée, je me regarde une dernière fois dans le miroir.

Je quitte la chambre de Nabil et je marche jusqu'au salon, il se lève au même moment du canapé après avoir mis ses baskets, il doit me déposer au boulot avant d'aller au studio

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Je quitte la chambre de Nabil et je marche jusqu'au salon, il se lève au même moment du canapé après avoir mis ses baskets, il doit me déposer au boulot avant d'aller au studio.

Son regard se pose sur chacune partie de mon corps, je regarde l'heure sur ma montre.

- On y va ? Il hoche la tête et je prend mon manteau, j'enfile ma longue écharpe grise et mon bonnet noir.

Je prend mon sac et je sors en première de l'appartement, Nabil me rejoint une fois la porte fermé, on descend les escaliers.

- T'es sûre que ça te gêne pas de me déposer ?

Nabil - Nan tranquille, j'dois aller faire un truc dans l'coin avant d'aller au stud. Je hoche la tête et on monte dans sa voiture.

Le trajet se fait plutôt en silence, loin d'être un silence lourd ou gênant, j'ai chantonné sur toutes les musiques qui sont passés, Nabil s'est foutu de moi plusieurs fois.

Il s'arrête devant la tour remplie de bureau.

- Merci Alexandre. Je sors de la voiture sous ses grognements face à mon surnom.

Comme pas deux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant