[QUATRE]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Le jour où j'parlerai d'amour, peut-être que j'me dirai que ça en valait la peine"

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"Le jour où j'parlerai d'amour, peut-être que j'me dirai que ça en valait la peine"


MAËLLE POVLICHA



Après une longue douche, je m'enroule dans une serviette, pareil pour mes cheveux. La porte s'ouvre brusquement sur Nabil, je sursaute.

- Nan mais ça va pas la tête ! Il rigole et me bouscule un peu, sans gêne le mec.

Il fouille dans le placard, juste devant nous, cette salle de bain est tellement petite que je suis presque coller à son dos, je peux sentir son parfum, il sent vraiment bon.

- Tu cherches quoi ?

Nabil - Des pansements pour Samy et Karim. Je regarde avec lui et je lui donne la pochette de secours dans le placard du bas. Merci.

- Prochaine fois, frappe avant.

Nabil - Prochaine fois, ferme la porte. Il sort de la salle de bain et je pouffe de rire.

Je me sèche le corps et les cheveux avant d'enfiler un bas de sous-vêtements propre, je mets un long tee-shirt gris avec un short de nuit, je sors une fois fini.

Je rejoint le salon sous le regard de tout le monde, il y a beaucoup moins de monde que tout à l'heure, je mets mes claquettes Nike et je vais sur le balcon pour fumer une cigarette.

Maïsa - On sort ce soir ?

Samy - Où ?

Maïsa - En boîte ? Les garçons explose de rire et je les regardes du balcon.

Tarik - C'est remplie de gamine ça, j'vais ap là-bas juste pour les showcases c'est tout. Nabil s'installe sur le balcon pour fumer aussi.

Je réfléchis un peu à une petite vengeance, je peux pas laisser passer ce qu'il s'est passé tout à l'heure, que ce soit pour lui ou les deux zigoto dans le salon, je vais peut-être laisser quelques jours passer avant de les surprendre avec ma vengeance, ça va me laisser du temps pour préparer un bon petit plan diabolique.

Maïsa - On reste entre nous, toujours tu pense à gérer des culs toi.

Moha - Quand il va gérer ton cul, t'vas bégayer. On éclate de rire, Maïsa me lance un regard noir.

Maïsa - Commence même pas toi.

Moha - Calme toi la raie, j'rigole, jalouse va. Elle lève les yeux au ciel, je me lève finissant ma cigarette, je fixe le verre de Nabil et je jette ma cigarette dedans.

Comme pas deux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant