Comme pas deux

[QUATORZE]

𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Y'a rien à voir et ma rétine se tourne les pouces, donc j'ferme les yeux, et l'obscurité j'épouse"

↬ MAÏSA HEMLET

Je ne sais pas trop il est quelle heure mais je viens de me faire réveiller à cause d'un grognement venant de Tarik, qu'est-ce qu'il a encore cette grosse tête ?

J'ouvre doucement les yeux et je le vois allongé sur le bord du lit, seulement vêtue d'un boxer et ses cheveux attaché mais à moitié défait, je regarde son dos musclés, j'aime tellement ces muscles, je me sens en sécurité dedans.

Je souris et je me relève en tenant la couette sur moi, je la mets un peu plus autour de moi et je viens me coller à son dos, ma tête contre sa nuque et mes bras autour de son torse, je caresse avec mon pouce une partie de ses abdos.

Tarik - J't'ai réveillée ?

- Nan pas du tout, je te sentais plus à côté de moi. Je fais un bisou sur sa nuque. Tu fais quoi ?

Tarik - J'gratte, j'essaie d'me changer les idées. Je pose mon menton sur son épaule et je le regarde.

- C'est cette chanson qui te stresse autant ? Il tourne la tête vers moi avec un petit sourire sur ses lèvres.

Tarik - Wesh m'regarde ap comme ça Bambina. Je souris à son surnom.

- J'te regarde bien. Je regarde ses yeux sombres.

Deux secondes plus tard il est au dessus de mon corps, il a balancé au sol ce qu'il avait sur les genoux, je rigole un peu en sentant ses lèvres s'attaquer à mon cou, mon putain de poing sensible et il le sait parce qu'il en joue, ses lèvres pulpeuses dépose des baisers mouillés et chaud contre ma peau qui ne cesse de frisonné, sa langue chaude vient s'y mêler sûrement pour me faire un léger suçon comme il aime me faire, un soupire sort de mes lèvres en sentant ses dents attraper la peau fine de mon cou, je le sens descendre puis remonter jusqu'au creux de ma mâchoire, un soupire sort d'entre mes lèvres, je le sens sourire contre ma peau, il remonte jusqu'à mes lèvres qu'il embrasse un peu plus sauvagement que mon cou, putain ces baisers me rend folle, complètement folle de lui, je sens sa main venir dégager la couette que j'ai contre moi, son bassin rencontre le mien et je sens déjà que son boxer va vite finir au sol avec le reste de ses affaires, je commence à bouger contre lui, il grogne contre mes lèvres et je souris, je sais qu'il déteste ça, que je « prennes le dessus » parce qu'il adore contrôler les choses mais je peux vous dire qu'une fois que je suis sur lui ou abaisser devant lui, il ne dis plus rien et semble apprécier ce que je fais, il embrasse mon corps, me marquant de suçon ou morsure au niveau des seins, côtes, ventre et cuisses, c'est là que sa tête était depuis quelques minutes, je me tortille dans tout les sens, putain sa langue sur mon clitoris c'est toujours un truc incroyable, il sait comment me rendre folle, me faire parfois crier, trembler ou même me rendre dans un état second, je le sens s'agitait un peu dans le lit mais il continue de garder sa bouche sur moi, putain je vais vraiment finir par arrêter de respirer si il continue, il se redresse pour revenir un peu plus sur moi, sans attendre il entre son érection en moi et ne perd pas de temps pour faire des mouvements brute et sec en moi, mon dos se cambre à plusieurs reprises sous ses coups de reins encore plus brute à chaque fois, je l'entends gémir et grogner quand mes ongles rentrent dans la chair de ses épaules, quelques secondes plus tard quand je sens l'orgasme monter en moi, il me retourne et relève mes fesses avant de me prendre encore plus fort, sa main frappe à plusieurs reprises ma fesse avant d'attraper fermement mes hanches, mes gémissements se transforme presque en crie, putain j'arrive presque plus à respirer mais c'est tellement bon, chaque coup de rein me rend encore plus folle de lui, je le sens attraper attraper mes cheveux long et de les enrouler autour son poing, je crois que si il continue je vais pas tenir longtemps, je sens mon corps entier trembler, dans un dernier coup de bassin on fini tout les deux par venir, je retombe sur le matelas en tremblant comme une feuille avec de léger spams, je ne sais même plus où je suis, je sens Tarik tomber à mes côtés quelques secondes après, sa respire est lourde et son corps entièrement transpirant, même si j'étais complètement k.o de notre partie de jambe en l'air, en le voyant comme ça j'avais juste envie de recommencer et c'est ce que nous avons fait une bonne partie de la journée.