Gabriel 13

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On finit par descendre ou l'on retrouve tout le petit monde de taré.

- Mon fils, dit ma censée mère

- Ah elle a l'air d'être contente de te voir, me chuchote Zoé

- Génial on va faire Noël avec eux ?

Zoé rigole et s'éloigne, je la laisse faire.

- Bon je peux savoir pourquoi vous venais me faire chier ?

- Ton langage, me dit mon soit disent père.

- Je parle comme je veux si tu n'es pas contant la porte est derrière toi.

- Gabriel il serait temps que tu te reprennes, me dit ma mère

- On moi je trouve qui va tout à fait bien, dit Zoé en me donnant un café.

- Et vous êtes ?

-Sa pute, répond mon ex

Je m'avance, mais Zoé pose une main sur mon bras.

- Donc pour être une pute il fraudait que quand Gabriel ma BAISER il a moins d'une heure, il met donner du fric et je suis sûr que tu ne m'en as pas donné, me dit Zoé en tournent la tête vers moi.

Cette fille me rend fous, je vous le dis, mais là elle fait très fort.

- Non mais quelle éducation bonne on doit parler en famille, allé jouer à je ne sais quoi et laissé les adultes parler, dit mon ex

- Ah je vois, mais dites-moi connasse vu qu'on en est à se donner des petits noms tout mignons, tu crois qu'avec tout le botox que ta sûre la troche. Tu vas réussir a parlé. Bien réfléchir je ne te pose pas la question vue le niveau. Remarque c'est général dans cette pièce, ta bien fait de te barrée bébé !

Je rigole à voir leur tête je suis plié en deux.

- Non mais c'est avec ça que tu vis, me dit mon père

- Oui Zoé est ma femme, bon vu que vous n'avez pas compris. Je ne veux plus entendre parler de-vous de vos merdes de vos plans tordu. Vous ne faites plus partie de ma vie, ma famille et mon grand-père, mes frères et ma femme.

- Tu es un ingrat après tout ce qu'on a fait pour toi, me dit mon père.

- Ah et quoi ?

- On t'a donné une éducation un rang social, une femme d'un bon milieu et toi tu pars, sur je ne sais quelle folie, me crache mon père.

- Oh une éducation alors que je réfléchisse, ma nourrice m'a donné une éducation, un rang de merde bon a paradé, une femme laisse-moi rire. Je ne l'ai jamais baisé tellement elle me répugne, veux-tu vraiment que je continue, car la seule personne qui mais donne de l'amour a été grand-père. Ma femme me fait découvrir la tendresse, être aimé et pas juste des apparences la seule personne à qui je vais faire des enfants et Zoé !!

- Bon je vois que la réunion de famille a commencé sans moi, dis la voix de mon grand-père

- Papa que fais-tu ici ?

- Je suis chez moi, ma fille et vous que faites-vous ici ?

- Me faire chier comme toujours je lui dis !

- Bon que toutes les personnes non prévues partent d'où elles viennent et vous pouvez en être sûr qu'on aura une bonne discutions dès mon retour.

Tout le monde prend ses affaires et sort de la maison sauf mon jumeau.

- Tu sais je regrette la situation, mais tu as le courage que je n'ai pas, que ta vie soit belle mon frère ta femme t'aime ta de la chance moi je rêve que la mienne m'aime depuis toujours, je regrette ce que j'ai faits car je t'ai perdu, mais je l'aime tellement que je suis prés a tout pour elle.

- Je te pardonne, mais tu aurais dû me le dire, et tu sais si tu n'es pas heureux tu devais partir.

- J'ai ma fille, soit heureux pour nous deux mon frère.

Jonas sort et je reste sur le cul.

- Bon les enfants je ne sais pas vous, mais moi je boirais bien un petit quelque chose et je dois faire la connaissance de cette jeune femme, Gabriel tu nous serres, on va sur la terrasse.

Mon grand-père prend Zoé par le bras et se dirige vers la terrasse.

- Alors dite moi tout sur vous.

Je vais préparer les boisons 2 whiskys et une bière pour Zoé et de quoi manger. Ils sont en grande conversation quand je les rejoins.

- Oui j'ai beaucoup voyagé, mais ça fait du bien de savoir où on n'est quand on se réveille !

- Tiens je lui dis en lui donnant un baquet de kinder Bueno.

- Si tu me prends par les sentiments.

- Gourmande, me demande mon grand-père

- Tu ne peux même pas imaginer

On a discuté une bonne partie du reste de l'après-midi, mon grand-père va se reposer. Zoé vient sur mes genoux.

- Alors comme ça t'a je suis ta femme et tu veux me faire des enfants ?

- Euh, je ne te l'avais pas dit ?


La raison n'a pas d'ageWhere stories live. Discover now