Je suis Jairon Alreister, faux jedi, vrai combattant.

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Je m'appelle Jairon Alreister. Je suis né sur Coruscant en 41 avant la bataille de Yavin. À cette époque, je vivais donc dans la capitale de la république Galactique. J'ai donc grandi dans les quartiers aisés d'une planète prospère.
Mais, je devais aussi souvent voir les gens des quartiers moins favorisés, qui eux, croulaient sous la criminalité et la pauvreté. Étant jeune, je voulais les aider, mais je ne savais pas comment faire. Mes parents me disaient que je pouvais changer les choses soit par la politique, sois par la force.
Et Coruscant était aussi, à l'époque, le foyer des Jedi. Qui mieux qu'eux pouvaient agir autant par la force d'action que par la politique ?

À 10 ans, j'ai donc décidé de devenir un jedi, afin de pouvoir aider ma ville.
J'apprenais donc à me battre au sabre laser, qui me permettait de développer ma force physique et mentale, mais j'apprenais aussi la sagesse et le calme, qui permet de changer les choses sans se battre.

Hélas, j'étais bien meilleur élève dans les cours de sabre laser, j'avais envie de me battre pour changer les choses. Mais mes professeurs m'ont fait comprendre que cette incapacité à utiliser ma tête aussi bien que mon corps était une faiblesse qui pourrait me faire tuer, ou pire...

Je me suis donc dis que, pour développer ma capacité à la réflexion, je devais subir un entraînement plus poussé encore. Sous les conseils de maître Obi-wan, j'ai donc fait voeux de Barash, qui consiste à s'exiler loin des actions de l'ordre, dans le but de ne faire qu'un avec la force. Pour moi, cette pénitence serait donc un entraînement à l'inaction.

Dès que j'eus 15 ans, je partis donc à la cité d'Am'balaar sur la lune fluviale d'Al'doleem. On m'avait conseillé d'y aller car j'y rencontrerai Kirak Infil'a.

Ce grand maître jedi avait fait voeux de Barash bien des années avant moi et était connu pour ne prendre part ni à la diplomatie, ni à la recherche, ni à la formation, juste au combat au sabre laser. Son contacte me permettrais donc de développer mes techniques de combat mieux qu'avec n'importe qui d'autre.

Mais quand je me rendis dans son temple pour lui demander de m'entrainer, il refusa, au prétexte qu'il n'étais pas un professeur. Mais j'etais déterminé à apprendre à ses côtés, et près à tout pour le convaincre. Il m'envoya donc son droide d'entraînement et me donna un sabre laser vert. Le droïde me mis à terre avec une facilité déconcertante. Mais je revins à la charge, encore et encore. Pendant des jours; pendant que maître Kirak méditait, ou travaillait sa technique au sabre; j'affrontais ce droïde. Mais à chaque défaite, je m'efforçais d'apprendre de mes erreurs. À chaque fois que la douleur de la précédente défaite s'estompait, je revenais à la charge. Au point que maître Kirak me donnais par moment des conseils sur comment assurer mon équilibre, comment tenir mon sabre, comment frapper avec force et precision.

Ces conseils, alliés à ma détermination, me permirent de vaincre ce droïde. Maître Kirak accepta donc de devenir mon maître, mais à une seule condition. À aucun moment, il ne me donnera de leçon, ce sera à moi de le suivre. Je devrais apprendre en l'observant, en l'écoutant. Pendant 5 ans, j'appris la maîtrise du sabre en l'observant, en le suivant dans tout les entraînements, en méditant à ses côtés pour ressentir et me fondre dans le flux de la force.
Cette entraînement me permis aussi de travailler ma patience.

Mais cette inaction me fesait aussi extrêmement peur, car mon voeux de Barash m'empêchait donc de pouvoir aller aider les gens sur Corsuscant.

Un jour, je voulu donc partir, mais Kirak voulu me dissuader, en tant que maître, de briser mon voeux de Barash et de ne pas terminer mon entraînement. Mais je voulais en faire plus, alors je le défiai dans un combat donc l'enjeu serait mon destin.

Pendant ce combat, je combattit comme un beau diable, mais avec la maîtrise et la patience que m'avais appris ces 5 années. Ce qui ne fût pas assez pour battre mon maître. Une fois au sol avec ma défaite acceptée, mon maitre me dit ces mots qui resteront à jamais graver dans ma mémoire :

"Sur Coruscant, il y a le destin que tu chosira d'écrire, et ici, il y a ton destin en tant que Jedi. Je te rend le choix de prendre celui que tu veux".

Et c'est quelques jours plus tard que je laissai à Am'balaar mon sabre laser, mon titre de jedi et mon maître pour retourner sur ma planète natale. Mon maître ne versa aucune une larme, bien qu'il n'eût, à aucun moment, quitter mon vaisseau des yeux quand je suis partis. Mais je n'ai pas caché les miennes en quittant le seul jedi que je considérait comme un ami.

De retour sur Coruscant, je ne pouvais  retourner au conseil des jedi, car j'étais devenu un renégat. Je m'aventurais dans les quartiers mal famés pour battre à main nue des criminels de tout genre, nottement des contrebandiers. Plus j'en battais pour aider les gens, plus je leur volais aussi vêtements et armes pour subsister. Je leur ressemblais d'ailleur de plus en plus. Jusqu'au point de fuire la police de la ville. Heureusement, ni les criminels ni la police ne purent jamais m'arrêter, car non seulement, je maîtrisais les meilleurs techniques de combat Jedi, mais j'avais aussi développé une grande habilité avec les blasters.

Mais cette nouvelle vie de justiciers pris fin quand je ressentis un grand boulversement dans la force, comme si des centaines de voix cessaient de crier, des voix familières, des voix de jedi. Le chancelier Palpatine parlait de trahison des jedi et de la formation d'un empire. Mais la seul chose qui m'intéressait était d'en savoir plus sur le sort des jedi. Je fît donc le trajet jusqu'à Al'doleem afin d'y trouver des informations au près de mon ancien maître.

Mais tout ce qui restait sur cette lune était la cité d'Am'balaar encore fraîchement détruite par la catastrophe qui l'avait englouti sous les eau. Une fois le pied à terre, je m'efforçais de trouver les survivants, mais il n'y avait personne. Mais je vis aussi que le temple était hors de porté des eaux et je m'empressai d'y courir pour retrouver mon maître.

Je le trouvai, allongé, et à moitié mort et peinant à parler, comme si sa gorge avait été boyée. Je m'empressai donc de le prendre dans mes bras pour l'aider.

-Maitre, que s'est il passé ?

-Un... un sith. En armure..., dit-il d'une voix faible, il est venue me voler mon sabre... et il a détruit la ville pour me vaincre..

-un homme n'as pas pût faire ça tout seul. Dis je d'une voix aussi horrifiée qu'incrédule

-Pas un homme... un monstre de haine... à moitié machine...

Je sentis une pique dans ma poitrine,  peut être provoquée par l'horreur d'imaginé celui quo aurait détruit une vilne et vaincu mon maître seul

-J'aurais dût rester pour vous aider... je suis un misérable.

-Jairon, dit mon maître en tenant ma main dans la sienne, tu as choisi de ne pas devenir un jedi... et tu es encore là ... pour faire ce que j'ai été incapable de faire... sauver les gens..

Il toussa de plus en plus et ses forces le quittait

-Maitre... ne parlez plus, économisez vos forces

-Jairon, mon élève... vas dans le temple et récupère ce qui t'es dût.... merci d'avoir été mon élève...

Ce furent les derniers mots de Kirak Infil'a avant de rejoindre la force.
Je laissai son corp reposer là pendant que j'entrai dans le temple sombre où seulement une lumière brillait.
Le crystal Kyber de mon ancien sabre laser, poser là, sur une table.
Je le pris dans ma main et, avec mes maigres connaissances en construction de sabre, je me fît un nouveau sabre laser.

Peu esthétique, couvert de ruban adhésif mais capable du tuer mes ennemis. Il le prouva quand des stormtroopers vinrent dans le temple pour récupérer les cristaux. Et en alliant ma maîtrise du sabre et mes tirs rapides et précis du blater, je pût tous les éliminer jusqu'au derniers. Mais mon sabre l'enleva la vie à aucun de ces soldats, car aucun ne méritait d'être tué par mon sabre. Un tir dans la tête et le meurtre ne sont peut-être pas les méthodes des jedi, pas plus que la vengeance, mais je ne suis pas un jedi.

Malgré le fait que je porte une partie de ma robe jedi par dessus mon blouson de cuir et malgré mon entraînement, mon maître ne m'as pas confié la tâche d'un jedi, mais celle d'un justicier.

Depuis ce jour, à bord de ce vaisseau Stormtrooper volé, je voyage de planète en planète, de ville en ville, éliminant tout ceux qui font souffrir, aidant ceux qui ont mal, dans l'espoir de voir, d'un jour, mourir celui qui a tuer mon maître et tout son ordre Sith.

Je suis Jairon Alreister, faux jedi, vrai combattant.

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⏰ Last updated: Dec 29, 2019 ⏰

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Jairon Alreister, justicier jedi, conterbandierWhere stories live. Discover now