Ami Imaginaire Ou Presque!(Eyeless Jack) [terminé]

chapitre 1

-Hey ! Salut toi.
Me dit une personne".

Depuis toute petite je fréquente une "personne" que personne ne connais apart moi.
Une "personne" inexistante disent mes parents et autres psychologues.
Une personne que seule moi je vois mais qui me paraît quand même très réel malgré que, eux..! Les adultes..! Qui me disent d'arreter de parler seule ne me croient pas. Comment voulez vous que je ne réponde pas alors que "la personne " Me parle, me fait rire, me pose des questions et qui par la suite m'aide pour mes devoirs..

-Comment veux tu grandir si tu ne te débarasse pas de cette "personne"..!

- mais! Papa.. Il vient tout les soirs me voir ce n'est pas de ma faute...

Entre trois et quatre ans mes parents m'entendait rigoler toute seule dans ma chambre.
À 5 ans plusieurs prêtres et voyantes sont venus pour moi et pour la maison. Mais aucun signe d'esprit, rien du tout même.
Et à sept ans ils m'ont fait voir un psychologue spécialisé dans les enfants.
Et puis C les drame...! Mes parents se disputaient beaucoup et ils ont finis par divorcé à mes dix ans...
Ma mère a déménagé près de la région parisienne et mon père est resté dans la maison avec son autre femme.

Je vis avec ma mère et mon beau père depuis cinq, six ans maintenant et il est temps pour moi de revenir sur mes pas. Je dois aller au lycée qui est a côté de chez mon père et qui est aussi mon ancienne maison..
J'ai choisis ce lycée parce-que je voulais voir si tout mes quelques amis au quel je tenais son encor là et aussi car il y'a les filière que je veux.

Premier jour de rentré.. Mes amis ne sont pas là, j'ai apris qu'ils ont déménagé mais je vois encor qu'il y'a des gens que je fréquentais vite fait.
Je suis donc resté avec eux mais ils n'ont pas d'importance pour moi et c'est réciproque je pense.
Une semaine passe, tout ce passe plutôt bien a part que je m'ennuie a mourrir, a la fin de la deuxième, je sent que l'on m'observe de loin dans les ruelles et la troisième je suis sûr a cent pourcent que je suis observé.
Vendredi soir de cette semaine je rentre seule comme d'habitude, et il fait froid, on sent l'hiver arrivé d'un grand pas..

Le son de mes écouteurs est a fond et je ne me rend pas conte que..
Que quelqu'un me fonce dessus en courant en faite..!!
La personne me vois pourtant, je suis devant elle ou je devrais dire lui...?!
Mon cerveau ne réfléchis plus, donc je ne me pousse pas et il me rentre dedans ce qui nous fait atterrir par terre.
Il est carrément entiers sur moi et ne bouge pas tout de suite. Alors je m'impaciente pour qu'il arrêt de m'ecraser.

-OH! VOUS M'ECRASEZ LÀ!!

De mes mots il de redresse immédiatement.

-Euh.. Je suis désolé mais si vous criez enco...

Il s'arrete net en me fixant derrière ses lunette totalement noir, son Bonet, noir et son foulard, noir aussi, il est vêtu de noir par tout.
Et il me rapelle une odeur familiaire d'ailleurs.

-si je cris encor y'a quoi?!! Je vous ferez dire que vous venez de me renversé comme un rugbyman.

-Adelya..
Chuchote t-il dans son foulard autour de sa bouche .

-quoi ?

-excusez moi de vous avoir renversé laissez moi vous relever.

Il me tend sa main, je la prend et un courant electrique nous traverse nos mains, je lâche donc en me relevant.

-Aiii..!
Criais-je.

-oh! Pardon, je suis vraiment navré, excusez moi, je ne voulais pas vous foncé dedans d'ailleurs je ne vous avez pas vue..

-c'est bon, c'est bon.. Y'a pas de quoi en faire tout un plat, moi aussi j'aurais dû réagir quand je vous ai vue. Pardonnez moi aussi.

-ce n'est rien... Bon! Je vous laisse. Aurevoir!

-ouais ...Aurevoir...

Puis je continue mon petit chemin jusqu'à la maison.
Je raconte ça à mon père et il rit au éclat.
Alors que je ne vois pas ce qu'il y'a de drôle.

Le lundi matin alors que je quitte plus tôt. Je vois quelqu'un qui me fixe à l'entrée d'une ruelle.
Je passe devant et vois le même mec qui ma renversé au fond de celle-ci, du coin de l'oeil.
Je passe la ruelle, m'arret et recule en arrière... Et là, plus personne au fond.
Je rentre donc chez moi normalement.