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Partie 5

Il m'embrasse le front et me regarda monter, une fois dans ma chambre, je ferme la porte à double tour, je me rince le visage, une fois qu'il est sec je quitte la chambre. Rachid tenait par le col son oncle, et lui il souriait, genre il a pas de remord. Je passe derrière Rachid sans bruit et regarda méchamment le frère de K. Il avait très bien vu que j'étais derrière, j'avais juste envie de le castrer.

Frère de K.: je t'aurai, ça te surprendra et ton mari n'y pourra rien, j'en ai pas encore fini avec toi.

J'avais juste envie de le pousser par les escaliers et le regardais tomber, il est pas bien dans sa tête.

Frère de K.: si je le devais, je te violerai même.

Il me regardait dans les yeux, j'eus froid au dos, Rachid a dû sentir ma présence derrière lui, il le lâcha et me tire loin de lui, je lui piétine bien fort les doigts.

Rachid: Nailah...

Je pris un air innocent.

Moi: je l'avais pas vu.

Nous descendons et jedda nous attendait devant les escaliers.

Elle: que faisiez vous, tous les deux ? A l'étage ?

Rachid: Nailah ne se sentait pas bien, je l'avais juste accompagné.

Il part directement dehors et me laisse seule avec elle, je souris timidement.

Jedda: tu n'es pas censé aller acheter ta robe de marié ?

Moi: oui j'y vais avec les filles.

Jedda: elles n'attendent que toi.

Danah: viens, ma tante ne veut pas qu'on tarde alors elle a suggéré qu'on parte maintenant.

Elle me prend la main et une fois dehors nous montons dans une voiture, à l'intérieur, il y avait déjà Amina, Aliyah, le chauffeur et maintenant Danah et moi.

Aliyah: on va te choisir la plus belle robe, tu seras une vrai princesse.

Moi: si tu le dis.

[ ... ]

Je prends mes sandales et descend, je m'assois près de ma mère cette fois, il ne restait que la famille c'est à dire Khalti, Khali, Rachid, Jedda, Aliyah, Amina, ma mère et le mari de Jedda.

Khalti: bon appétit, c'est du tajine.

Dans ma tête c'était tout sauf ça, quand je commence à en manger, je m'arrête plus, c'est comme une drogue. Ma mère me regarde du genre « mange beaucoup et quand on monte je te ferai ta fête » j'avale difficilement ma salive. Je pourrais bien résister, la discussion pendant le repas était trop intéressante mais moi j'étais concentrée à savourer chaque bouchée, juste pour me limiter après. Je finis mon plat bien avant les autres, je sentais le regard de ma mère sur moi, mais elle disait rien.

Khalti: je te resserre ?

Moi: oui...

Je sentis une pince sur ma cuisse.