𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝑿𝑰

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Demelza se dirigea donc vers la salle commune de sa maison en compagnie de ses deux acolytes.

Soudain, une voix s'exclama :

- Demelza ! Comment vas-tu ?

- Angelina ! s'exclama l'intéressée en se retournant pour apercevoir la Gryffondor qui l'avait interpellée. Je vais très bien, et toi ?

- Comme un charme ! affirma Angelina. J'ai entendu que Cedric était volontaire ?

- Oui, répondit Demelza, qui voulait oublier ce détail. Bien que je sois contre...

- Pourquoi, voyons ? s'étonna la Gryffondor.

- Je trouve que c'est dangereux, expliqua la préfète.

- Ah bon... Pourtant, je participe aussi... avoua la rouge-et-or.

- Toi aussi ? s'exclama la bleu-et-bronze. Décidément...

- Ne t'inquiète pas, ma belle, que ce soit moi ou Cedric qui sera choisi, il n'arrivera rien, Croupton et Verpey ont tout organisé pour privilégier la sécurité des champions ! rassura Angelina.

- Merci, dit Demelza avant de partir pour son dortoir.

- Hé, Demelza, arrête de stresser, tout ira bien ! assura Roger. Amuse-toi !

- Oui, tu as raison... Je vais essayer !

Ils se séparèrent ensuite, chacun allant dans son dortoir respectif.

Demelza voulait s'endormir mais elle n'arrivait pas à sortir la soirée du lendemain de son esprit, celle où la Coupe de Feu désignerait les trois champions. Elle se tournait et se retournait dans son lit, sans parvenir à trouver le sommeil. Elle avait un mauvais pressentiment sur ce tournoi. Il ne fallait pas que Cedric soit sélectionné.

Ah, Cedric... Le souvenir de leur première rencontre lui revint en mémoire. Elle se revoyait courir dans ce couloir, aveuglée par les larmes, et être brusquement stoppée par le buste de Cedric. Elle se revoyait le contempler, il était si beau avec son regard inquiet. Elle se revoyait lui serrer la main en souriant. Elle se revoyait marcher en sa compagnie vers la Grande Salle. Elle se revoyait dans ses bras, le jour où ils avaient parlé des heures entières après le match contre Serpentard. Elle se revoyait l'observer en catimini pendant qu'ils marchaient. Elle se revoyait baisser les paupières alors qu'il posait ses lèvres sur les siennes.

Ses paupières étaient tellement lourdes, d'ailleurs... Elles se fermaient tout doucement...

- Demelza ! T'es réveillée ?

- Mmmh ?

La préfète ouvrit un œil et découvrit Patricia penchée sur son lit.

- Maintenant, oui... grommela-t-elle en enfouissant sa tête dans son oreiller.

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