Chapitre 7

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°PDV Embry°

Après que l'assistante sociale s'en ait aller, j'ai appelé mes amis, pour leur crier aux oreilles, que je gardai Romane avec moi, jusqu'à jamais. Ils ont tous rigolé de mon enthousiasme. Puis, quand j'ai raccroché, j'ai rejoins Romane dans ma chambre, pour la surveiller, même si à 4 heures, j'allai devoir faire ma ronde, accompagné de Sam, et de Leah, donc j'ai demandé à Quil, de venir garder mon imprégnée.  

Après ma ronde, j'étais épuisé, j'avais besoin de dormir. Mais je ne pouvais pas, pas pour le moment, pas avec Romane, entrant dans une dépression sans nom. Elle était en train de se réveiller, et bizarrement, je sus qu'elle allait avoir une migraine à cause de ses pleurs, dès qu'elle serait bien réveiller, donc j'allai cherché un verre d'eau, et un cachet d'aspirine.

Quand je revins, Romane papillonnait des cils, pour s'habituer à la clarté de la chambre, donc j'en profita pour m'asseoir sur le lit, à côté d'elle. Je pris appui sur la tête de lit, mon corps était allongé sur le lit, entièrement. Mon imprégnée regarda la salle, d'un air paniqué, puis elle se tourna vers moi, avant d'éclater, de nouveau, en sanglot. Je la pris, instinctivement, dans mes bras, en posant mon menton,sur le sommet de son crâne, tout en caressant son dos, et ses cheveux.

Après 2 heures à la caresser, elle se calma enfin, et je lui tendis l'aspirine, ainsi que le verre d'eau, qu'elle but d'une traite.



_ Pourquoi suis-je, là ? Demanda-t-elle, avec une petite voix, qui me fendit le coeur

_ Il faut que je te dises quelque chose, mais ne t'énerve pas, d'accord ?


Elle hocha la tête, et essuya son visage, avec la manche de son gilet bleu nuit.


_ Je t'ai adopté !  Dis-je, d'une traite

_ Mmmh... Pardon ? Cria-t-elle

_ Calme-toi, ne m'en veux pas, l'assistante sociale allait t'emmener en France, pour te trouver une famille d'accueil, personne ne voulait que tu reparte, alors nous avons décidés que j'allai t'adopter, mais rien ne change, tu vas juste vivre chez moi, en attendant ta majorité, et je serai responsable de toi, tout va bien donc !

_ D'accord ! Souffla-t-elle, en se replongeant dans l'oreiller, que j'enlevai de son si beau visage

_ Tu aurais préférée repartir en France ? Demandai-je, en ne pouvant pas cacher ma tristesse, dans ma voix

_ Non, je te l'ai déjà dis, je voulais déménager ici, pour oublier mes parents, donc je suis plutôt heureuse de rester ici, avec toi, mais... je... mon frère... il est... il n'est plus là ! Cria-t-elle, en éclatant en sanglot, dans mes bras, une nouvelle fois


Pour qu'elle soit mieux dans une position, je l'a mise entre mes jambes, son dos collé à mon torse, et mes mains sur son ventre, le caressant en faisant des petits cercles. Elle s'enfonça pus sur moi, pour se coller encore plus contre moi, à mon plus grand bonheur, malgré la tristesse qui émaner de mon imprégnée.

Après 10 minutes, je décida de passer chez Sam et Émilie, pour lui remonter un tant soi peu, le moral. Mais elle ne voulait pas bouger, quand j'esquissai le moindre mouvement, elle pleurait encore plus, en me suppliant de ne pas l'abandonner.

Donc, en n'écoutant pas ses plaintes, malgré que ça me brisais le coeur de l'entendre dire que j'allai l'abandonner, et qu'elle se retrouverait toute seule, je la porta. Ses fines jambes s'accrochèrent à ma taille, pendant que ses mains trouvèrent le chemin, de mon cou, pour caresser mes cheveux. Je passa un bras en dessous de ses cuisses, pour la soutenir, tandis que l'autre alla se réfugier dans ses cheveux, doux et soyeux.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 22, 2020 ⏰

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L'imprégnation ?... laisse-moi rire ! {en pause}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant