Maman: je veux que tu séduises ton mari.

Je fis une tête choquée et elle me fit un sourire qui voulait tout dire.

Maman: fait le.

Je pouvais même plus parler.

Maman: sa mère m'a dit qu'on lui avait aussi imposé ce mariage, qu'on l'avait même menacé mais ça je ne sais pas de quoi, qu'il aimait une fille je pense son nom c'est Soraya, sa mère pense qu'il l'aime toujours mais pas comme avant.

Moi: bah laissez le avec elle et moi je continue ma best life.

Maman: cette fille, elle n'est pas bien pour lui, on lui qu'elle est très mauvaise, elle en a fait des choses avant.

Moi: maman les gens changent au fur du temps, tu me le dis tout le temps, pourquoi elle n'aurait pas le béni fixe du doute ?

Maman: si il le faisait elle serait ta coepouse et je ne veux pas ça pour toi.

J'ai gardé le silence parce que déjà je ne voulais pas de ce mariage mais en plus de ça, partager mon mari avec une fille, qui pourrait avoir des idées noires non merci.

Maman: bref tu dois le faire, sinon je te ramène au bled, puisque tu vis maintenant à Abu Dhabi. Je suis tellement contente.

Moi: je ne le suis pas moi, tu vas être toute seule dans la maison.

Maman: mais non, ton oncle m'a invité à venir vivre avec lui, ce qui fait donc qu'il n'y a plus de retour en arrière.

Je souris tristement au moins j'aurai pas à m'en faire à ce sujet là. On toque à la porte, je me recouche en vitesse sur le lit.

Maman: arrête moi ce petit jeu tout de suite, si tu ne veux pas rester coucher pour toujours.

Je me redresse et fait genre là neuf étourdie et tout, ma mère me lance un regard meurtrier et part ouvrir la porte. Ma belle mère se jette à mon chevet, elle avait l'air inquiète, j'ai presque eu du remord.

B.mère: benthi ? Est ce que ça va ? J'ai eu très peur, tu as mal quelque part ?

Ma': Selma laisse moi cette menteuse là, nous avons mieux à faire. Elle voulait juste échapper à la cérémonie cette hram la.

Elle me lance un regard choqué, en mode elle ne croyait pas ça de moi, elle lâche mes mains qu'elle tenait. Je souris et elle fait mine qu'elle est fâchée. Je la prend dans mes bras et la sers fort contre moi.

Moi: je suis désolé.

Je la lâche et elle sourit doucement avant de se lever et de partir avec ma mère. Elles laissent la porte ouverte, je fiasque et pars là fermé.

?!: attend...

La personne mit son pied mais toi tu as de l'audace deh, mane je t'ai dis que je comptais t'ouvrir la porte. Je laisse la porte et partis m'assoir sur mon lit, la porte s'ouvrît et Rachid rentre.

Moi: ah c'est toi.

Je fis une moue et garde le silence, vous dire qu'il ne m'intimidait pas ce serait un gros mensonge mais, puisque je suis une grosse double face.

N • A • I • L • A • HDonde viven las historias. Descúbrelo ahora