partie 1 juillet 1760

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1 juillet 1760:

M'éloignant de la forêt ardu qui disparaissait à chaque pas derrière moi,camouflées par la poussière aussi légère que la plume, la lune éclairait ses yeux où dansait milles étoiles.

Toujours au beau visage écarté des autres êtres, ce qui me séduisait était sont âme, pure comme l'eau et belle comme l'oiseau mais surtout sa façon de me regarder, je plongeai dans son regard sans revenir a la surface, je me noyai sans me débattre.

avec des rêves sans fin.

Le ciel noir était aligner au lac comme si ils ne fessait qu'un. Un paysage mémorable qui fusionai d'inombrables couleurs venu de nul part.

Nous nous assîmes et nous contemplâmes, ses cheveux d'une couleur éclatante, retombées sur ses yeux coloré.

Son beau visage me souriait, comme à chaque regard lancé.

La journée laisser derrière nous, nous permettait de nous enfoncer dans l'obscurité qui rongeait chaque parsèle de son corps parfait, il était parfait.

Toujours enlacée dans ses bras je peinait a resté éveillée devant ce somptueux paysage.

Mais la fatigue pris le dessus et je m'endormis dans des rêves sans profondeurs.

L'aube venait éclaircir la chevelure de mon épris, qui aurai fait n'importe quel sacrifice pour être dans mes bras.

Il y a certes, une période avant qu'il ne change ma vie sombre en lumière, où je ne voyais plus le soleil.

Le ciel était sans étoiles et la lune se cachait derrière celui-ci.

Toujours couverture d'une étume grisâtre.

Ce n'est pas aujourd'hui que je vous parlerai de notre favorable rencontre ou même de ce qui m'a amené a écrire dans ce journal tout mots qui passe par la tête d'une personne heureuse mais enxieuse..

Julius n'est plus la, cette histoire n'aura plus de suite afin que je vous écris ce qui c'est passé

juliusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant