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Afin de vous prouver par une adroite démonstration ma non-méchanceté envers votre noble personne, je vais vous prouver que lors de moultes et mollets occasions, ma méchanceté si elle était fondée et réelle aurait pu s'exprimer de différentes manières ma foi forts peu agréables pour vous.
Tout d'abord, commençons par le commencement. Le première fois, où je reçu une missives de vous sous la forme moderne de sms, j'aurais pu offusqué vous ignorer tout simplement au lieu de quoi dans ma grande bonté et gentillesse, je vous ai répondu et cela sans connaître votre identité.
Un peu plus tard encore, lors de mon premier jours de repos, j'aurai pu si mon âme était aussi noire qu'un python, supprimer votre numéro, ou plus simplement arrêter de vous répondre. Cependant, je ne le fis point. Et je continua dans mon immense et misericordieuse bonté, plusieurs jours durant et ce jusqu'au aujourd'hui.
Puis lorsque vous m'avez fait votre impromptue proposition consistant à se rencontrer, j'aurai pu refuser avec ou sans prétexte mais au lieu de ça j'ai accepté, allons jusqu'à mentir à mes géniteurs. Et, vous n'êtes pas sans savoir, ô combien ce crime m'en a coûté. Mais, mon incommensurable gentillesse c'était exprimé que voulez-vous.
Le jour de ce dit rendez-vous étant, j'aurais encore pu fuir mais non je suis restée avec vous et dans cette salle sombre et bruyante nommée cinéma, lorsque votre main s'est approchée, il aurait été possible, si mon coeur était noire comme l'encre, de l'ignorer mais non, mon cerveau n'a pu faire face à mon cœur. Et, je ne vous ai point repoussé au contraire. Lorsque nous fûmes, en dehors de ce bâtiment relativement indigne de nier classe, j'aurai encore pu repousser votre main et plus tard vos lèvres. Mais mon coeur ne pouvait y résister.
Pour finir, par un argument qui n'est pas des moindres, mon coeur à envers vous des élans que je pourrais qualifier d'outrageux mais que je préfère décrire comme doux et grandissant de jours en jours.
Par conséquent, par cette habile declaration, pensez-vous toujours que je suis un être des plus vils, des plus basses mœurs, des plus méchants, ... ?

Si cela est encore, je ne puis rien faire de plus mon cher...

JulesWhere stories live. Discover now