Lhank (titre provisoire)

Chapitre Premier

Sous le soleil vert, une bizarrerie due à sa chaleur. Lhank continuait son ascension, ses bottes de cuir s'enfonçant de plus en plus dans la neige, à ces hauteur la neige tombait depuis près de trois mois. Il se retourna découvrant ainsi l'immensité de la ville, les calèche et les chariots affluaient, la fête de la fin d'Hiver se préparait elle durera une semaine et lui donnera tout autant de temps pour rester tranquille en haut des montagnes.

Delà-haut on voyait clairement le marché à l'Ouest, où il y avait encore beaucoup de monde malgré l'heure tardive, on pouvait aussi voir les nombreuses tours de guet situées sur les remparts, les quartiers riches et pauvre bien séparés, et le fort qui trônait fièrement au centre de la cité.

Son maître, monsieur Finn l'avait congédié comme tout les ans, un orc serait mal vu par les visiteurs pendant une fête d'humain, même si certaine personne de la ville seraient heureuse de faire une exception, il partait donc comme tout les ans dans les montagnes loin de Loogdum le fort où il vivait depuis presque quinze longue année.

Il avait été récupéré par monsieur Finn qui avait proposé à Lhank quinze ans de service avec un toit et à manger en remerciement de son sauvetage. Lhank n'avait alors que six ans et voulait plus que tout vivre, il avait donc accepté mais toutes ces années furent longues, tout les mois il avait quelques jours à lui pour se détendre qu'il acceptait de bonne grâce. Il allait dans les bois près du lac - tout deux à l'ouest – ou encore dans les montagnes au Nord-Est, même si il préservait ses voyages en montagne pour l'hiver - Il avait ainsi un semblant de liberté.

Pendant ces années il avait bien changé sa peau avait bruni, ses yeux était devenu aussi sombre que la nuit, il dépassait d'au moins une bonne tête la plupart des humains, ses muscles puissant s'était formés pendant ces dures journées de labeur et ses cheveux il les gardait court pour ne pas les avoir dans les yeux lors d'un combat avec son maître d'armes, que monsieur Finn lui avait conseillé.

Il aimait bien son maître d'armes qui lui avait appris à se déplacer silencieusement, à bien tenir une épée, à utiliser différent style d'armes. Lhank lui avait dit qu'il voulait s'entraîner pour devenir soldat dans le fort et ainsi pouvoir sauver monsieur Finn comme il l'avait fait pour lui.

Lhank se retourna et continua a suivre les traces de Kolk dans la neige, un loup blanc qu'il avait sauver il y a deux ans alors qu'il se noyait près des rives du lac Aska depuis ils passaient les quelques jours de répit de l'orc ensemble, ils chassaient à deux et veillaient l'un sur l'autre, Lhank l'avait surnommée Kolk, le loup avait adopté ce nom au fil du temps, il sentait le vent frais sur ses avants-bras nus – que sa tunique en peau de bête ne recouvrait pas - il recommença à monté, il s'était toujours demandé pourquoi monsieur Finn faisait autant de chose pour lui mais il n'avait jamais osé lui demander cela. 

Au détour d'un gros rocher il vit un mouvement sur sa gauche pensant d'abord que c'était Kolk puis se retourna pour découvrir un énorme sanglier qui le regardait en grognant, ses poils épais et ses longues défenses noires étaient typique, c'était l'espèce la plus violente de sanglier ! Lhank sortit alors son épée courte, prêt a passer à l'action. Le sanglier le toisa un moment puis chargea, l'orc se déporta à droite se pressant contre le rocher, la bête planta ses sabots dans la neige, ralentit enfin et se retourna,Lhank en profita pour contourner le rocher il s'avait que battre un sanglier de cette taille même avec une épée n'était pas une mince affaire, il avait payé pour le savoir et il arborait une énorme cicatrice sur sa cuisse gauche.

Arrivant derrière l'animal un hurlement se fit entendre, Lhank le reconnut c'était celui de Kolk, il profita de ce moment d'incertitude chez le sanglier pour lui planter son épée dans l'échine. La bête eu quelque spasmes puis ne bougea plus. Kolk arriva quelques minutes après, il avait dû sentir le danger, avec sa fourrure blanche il passait presque inaperçu dans la neige, ses babines rouges montrait qu'il venait de manger.