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Deux jours.
Deux jours que je n'ose plus sortir.
Deux jours que je ne dors plus a cause de cauchemars.
Deux jours que je ne peux quitter Mercedes d'une semelle.
Après l’incident, mon père a accourus jusqu’à chez Nadia, la mère de ma meilleure amie, pour venir me chercher mais je n’ai pas voulue quitté Mercedes. Je voulais rester a tout prix près d’elle.  Je ne voulais pas la laisser seule et ca me rassurais de rester au près d’elle.
Mon père n’avait d’abord pas accepté, étant près a me tirer de force jusqu’à la maison mais il a parlé avec Nadia et ils se sont mit d’accord. Je resterais chez elles jusqu’à la rentré. J’avais été d’accord et j’avais remercié mon paternel. Il était inquiet pour moi, et c’était normal.
Même si il n'y avait eu aucun mort et que mon amie était arrivée avec cet inconnu a temps, j'en gardais des séquelle invisibles.
Cet inconnu. C’est grâce a cet agent de police que je connais sont identité. Julien Parker. Elle m’avait demander si je le connaissais et j'ai affirmée que non. De ce que Mercedes m'a expliquée, alors qu'elle courait en criant à l'aide et il est arriver. Elle n'a pas fait attention à lui avant que tout sois terminé. Si j'ai bien compris, elle le connaîtrait du collège. Je crois. Peu importe, je lui en serais éternellement reconnaissante. Il m’a sauvé la vie parce que même si je n’allais pas mourir, qui sait ce qu’il m’aurait fait et je n'aurais très certainement pas su vivre avec ça.
- Les filles, accompagnez moi au magasin. Il faut que vous sortiez un peu et j’ai des courses a faire.
Mercedes et moi ne sortons plus. Je continu d'affirmer que c'est à cause des esquimaux qui se voit sur mon cou mais ce n'est pas la seule raison. Je ne supporte pas le regard des gens sur moi, je me sens sans cesse observer. Je psychot à cause de cet accident et c’est juste atroce.
- Maman, souffle mon amie.
- Mercedes, il fait jour et je serais là donc tu n'as pas d'excuse. Lève toi et prépare toi. Meily aussi !
Mercedes me fit un regard d'excuse avant de se lever et se diriger vers la salle de bain. Je me suis alors levée pour la rejoindre. Elle s’est rapidement brosser les dents et elle a fait ses cheveux.
Nous regardons nos reflets dans le miroir. Je suis affreuse. Je ne me suis jamais vraiment trouvée jolie mais là, je me suis vraiment laissée aller. Mes long cheveux brun sont en mêler et sale. Sous mes yeux bleu, de longue et profonde cernes prouvent mon manque de sommeil. Je décide alors d'aller prendre une rapide douche pour faire ma toilette un minimum. Je me presse pour ne pas faire attendre Mercedes, qui m’a laissée seule, alors je ne prend pas le temps de me détendre sous l’eau chaude. Je ressorts de la salle de bain, une serviette autour de mon corps et je la rejoint pour qu’elle me démêle les cheveux. Je vais m’asseoir sur la chaise de son bureau et silencieusement elle vient me coiffer délicatement.
- Ca va aller ? Me demande-t-elle soudainement.
- Oui. Je ne suis pas toute seule donc ca ira.
- Bien-sûr que tu n'es pas toute seule Mei.
Elle fini rapidement alors je me lève et je vais m'habiller. Alors que je fini d'enfiler mon sweat gris, elle entre dans la salle de main et tend le bras vers moi.
- Tiens.
Je fixe le foulard qui pend entre ses doigts. J’ai très vite compris qu’elle voulu m’aider a cacher ces marques douloureuse qui n’avait pas quitter la peau de mon cou.
Je la remercie avant de le prendre et de l’enfiler.


J'enfuis mes mains dans mon large sweat à capuche gris et je suis la mère de ma meilleure amie jusqu'au grand bâtiment. Accrocher à Mercedes, je ne peu m'empêcher de regarder autour de moi, pas du tout à l'aise.
Poussant le caddie, Nadia, la mère de Mercedes, fait le tour des rayons non sans nous lancer des regard de temps à autre. Je vois que le fais qu'on la suive silencieusement commence à l'agacer.
Elle se tourne soudainement vers nous, les sourcils froncer.

- Bon les filles, allez vous chercher un truc qui vous ferais plaisir. N'importe quoi temps que vous bouger.

Sur ce, elle part en nous laissant en plan dans le rayons beauté.

Je sens Mercedes qui me prend la main. Même si elle ne s'est pas fait agressée, elle a très peur. Ça reste traumatisant.
Nous avançons dans les rayons a la recherche de sa mère mais en vain. Elle nous a complètement lâcher. Je ne sais pas comment je dois le prendre.

- Ecoute, reste là, je vais la chercher, me Mercedes avant de filer à toute vitesse.

Vous me direz " ce n'est qu'un magasin " oui. Un magasin ou tout le monde va. Ou on peut y retrouver n'importe quel individu. Le genre d'endroit où je ne peu pas du tout me sentire à l'aise. Je me descide alors de les cherchers aussi.
J'ai l'impression que tout le monde me regardent alors je baisse la tête devant chaques personnes.

Distraite, je me cogne a quelque chose ou plutôt, à quelqu'un. Je relève alors la tête en m'excusent. Je suis rester comme bouche bé devant lui, que j'ai reconnu directement.

- Oh désolé, je ne regardais pas où j'allais, s'excuse-t-il.

Il se tient devant moi.
Il est accompagné de deux autres garçons qui doivent avoir son âge.

En voyant que je ne répond rien, il continu.

- Ça va mieux ? Je veux dire, ton cou.

Je touche le foulard par réflexe.

- Heu... Bof, dis-je timidement.

Il me sourit gentiment alors que je cherche in echapatoir.

- Mec, tu nous présente pas ?

Mes yeux se pose sur un des deux jeune qui l'accompagne. Il a une allure qui ne m'inspire pas confiance. Je me retiens de ne pas le devisager.

- Oh oui. Les gars je vous présente Meily. Meily je te présente Bart et Jack, dit-il tout souriant.

C'est seulement la deuxième fois que nous nous voyons ( et la première n'était pas glorieuse) qu'il me présente comme si nous nous connaissions depuis toujours.

- Enchantée, dis-je

- Vous vous êtes rencontré ou ? Demande Jack.

En voyant que Julien ne répond pas je le fais.

- Il m'a aidé alors que j'étais en difficultée.

Les deux garçons écarquillent les yeux en me regardant de haut en bas. Au moment ou je m'apprête à leur demander ce qu'il leur arrivent. Je sens quelqu'un m'attraper le bras.
Je sursaute en me tournant vers la personne, qui n'est autre que Mercedes.

- Je t'ai dis de ne pas bouger. 

- Désolée, c'est moi qui lui parlait, intervient Julien.

- Oh Julien. Salut, lui sourit-elle

- Salut. Bon ben, on va y allez nous. Rétablie toi bien Meily.

Il me sourit avant de partir

- Hé ben dis donc. Je ne m'attendais à ce qu'on le croise.

- Moi non plus, dis-je en le regardant s'éloigner

Après ça, Nadia nous a rejoint et nous sommes partie avec elle pour payer ses course.

Mercedes et moi n'avons pas tardée avant d'aller nous coucher une fois rentrer et manger car demain est notre dernier jours de liberté. Oui demain nous sommes dimanche et après dimanche, c'est lundi. Qui dit lundi, dit les cours.

Je ferme les yeux en priant pour ne pas refaire le même cauchemard.


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kiss me..Where stories live. Discover now