Comme une mélodie funèbre
Tes pleurs macabres résonnent
Brisant le silence plaisantTes joues ravagées par le temps
Et les blessures rougissent quand
le soleil glacé vient éclairer tes yeuxÉraillée, ta voix se dévoile produisant des sons saccadés, qui font écho
Tes doigts s'entremêlant dans tes mèches décolorés par la vie
L'odeur des souvenirs embaumant la pièceEt tu restes là, à vieillir l'espace d'une seconde
Regardant le jour décliner emportant
Avec lui la brise légère qui te faisait danserPriant pour que la nuit soit clémente
Et que les songes nocturnes qui te hantent s'évanouissent•Bloody-shade•
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Die and smile
KöltészetRecueil de poésies, textes plutôt, écrites par ma main. Cela ne respire pas la joie mais c'est sincère