Mon Destin L'appartient

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-Alors Ao...

Elle n'avait pas pu terminer sa phrase qu'une bouche venait de clore ses lèvres.

En une fraction de seconde, Aomine l'avait attirer jusqu'à sa chaise pour l'embrasser.

Tellement surprise elle n'avait pas pu réagir et le laissait faire.

Après quelques secondes, ils cesse leur baiser.

-...

-Désole mais j'en avais envie.

Un bruit se fit entendre dans la pièce.

Elle venait de le gifler.

-Je le mérite sans doute. Dit il. Mais Akashi, mérite t-il d'être le père de ton enfant ?!

Des pas se fit entendre, Akashi venait de rentrer.

-Bien évidemment que je le mérite et si tu t'avises encore une fois à refaire cela Daiki Aomine je te jure que je te tuerai!

-Est ce un avertissement ? Demande le mate.

-Juste une réalité. Elle est ma femme !

-C'est bon arrêtez vous deux ! Ilari venait enfin de retrouver ses esprits. Aomine il a raison je suis sa femme et ...

Elle se retenait d'éclater en sanglots parce qu'elle se détestait d'avoir aimé cela c'était la première fois qu'on l'avait embrassé de la sorte, il y avait de la douceur,de la tendresse et un léger goût salé sucré.

A vrai dire depuis qu'elle avait entendu la voix d'Aomine au creux de son Oreille elle n'avait vu oublié la sensation qu'il lui avait apporté.

-Et si on rentrait Aomine ? La voix de Momoi avait un brin de tristesse et ces yeux étaient en administration sur ces chaussures.

Sans un mot,Les deux invités s'en allèrent.

Akashi dévisagea Ilari de la tête aux pieds avant de s'en aller.

-Ce soir tu dormiras au salon si tu tiens à ce que cette enfant arrive à terme.

Elle était choqué d'entendre cela de la bouche de son amant. Celui qui avait changé et était devenue protecteur envers elle.

-Tu n'es pas sérieux là Akashi ?! Elle venait de lever la voix contre lui.

-Cela faisait longtemps que je ne t'avais entendu lever le ton contre moi si ce n'était pour protester ton devoir conjugal.

Effectivement Ilari n'avait jamais voulu s'offrir à Akashi. Leur rapport se faisait dans la violence.

-C'est à cause de ce qui s'est passé tout à l'heure ? Si c'est le cas je n'ai pas trouvé la force de le ...

Il venait de la foudroyer d'un regard noir, elle avait réussi à oublié cet ombre d'Akashi et avait même presque appris à l'aimer.

-C'est comme tu voudras,ce soir je dormirai sur le canapé.

-Bien je préfère ça. Tiens.

Il venait de jetter un petit sac plastique au sol et s'en était allé.

La gouvernante qui avait tout vu pris le sac plastique et l'apporta à Ilari.

-Tenez Madame.

-Merci.

Elle prend le sac et en sort une paire de petit chaussures bleues pour bébé il y avait un petit papier plié dessus.

"Pour toi qui est l'union de notre amour."

Cela était écrit sur le papier qu'elle avait déplié.

-Akashi... Je suis désolée.

S'est en larme qu'elle se dirigea vers le salon le sac et le mot en main.