Chapitre 14. 7ème jours de captivité.

2.4K 199 9
                                    


Pdv de Lya:

2 jours, soit 48 heures, soit 2880 minutes, soit 172800 secondes.

Voilà le temps que j'ai passé enfermer dans cette chambre.

Avec les souvenirs de ce qui s'y est passé.

Je vous rassure je n'ai pas compter tout ce temps. Je me suis contenter de calculs rapides.

Ça m'a pris environ 10 minutes. Mais 10 minutes qui mon permis de me distraire de mes pensées.

Penser. Je n'avais que ça à faire.

Enfin...

Le premier jour, je suis resté couché dans mon lit. A cause de mes blessures au pieds. Je ne pouvais pas me mettre debout.

Le malade est revenu à 7h, m'apporter mon petit déjeuner.

Il m'a narguer bien-sûr. Il s'est moquer aussi.

Il m'a avouer avoir raconter à sa supérieur que j'était malade. Et que pour ne pas contaminer les autres et ainsi retarder leur expériences, je devais rester ici.

Sa conasse de chef, comme il l'a nome, a tout gober. Parce qu'elle lui fait confiance.

Il a pris un malin plaisir à m'expliquer qu'il arrêtait les caméras pour me rendre visite.

Qu'il pourrais me faire n'importe quoi, personne ne viendrais pour moi.

Il est aussi revenu à 12h et à 19h. Et à chaque fois il vérifiait les plaies qu'il m'a lui même infliger.

Ses mains sur mon corp, j'en pleure encore.

Des frissons de dégoût m'on traverser à chaque fois qu'il me touchait.

Et je ne pouvais rien faire. La peur m'en a empêcher.

Il m'a apporter de nouveaux draps, pour ne pas éveiller les soupçons m'a t'il dit.

Et des nouveau vêtements. Puis il m'a obligé à me changer devant lui. Pour suivre ma guérison, soit disant.

Ce souvenir me fait frémir et me retourne l'estomac.

Son regard sur moi, j'en fait des cauchemars. Oooh il n'était pas lubrique, non il était malsain.

Il y avait le mal dans ses yeux. On aurait dit qu'il voulais me faire souffrir. Encore plus, que ce qu'il a déjà fait.

La mort. Voilà à quoi ressemble sont regard.

Heureusement le deuxième jours mes coupures étaient refermées. Il ne m'a plus approché. Se contentant de m'amener mes repas.

Mais il a continué à me provoquer.

Me surnommant, le petit rat de laboratoire.

Me disant que quand je serai morte, il prendrai plaisir à me disséquer.

J'en ai fait des cauchemars. J'en fait encore. Et je crois que j'en ferai toujours.

Pendant mon isolement.

J'ai beaucoup réfléchie. Je me suis poser beaucoup de questions. J'ai énormément penser.

A ma famille, mes amis: Ils me manques.
Pense-t-ils à moi? Me cherchent-ils? Que font-ils?

A moi: Pourquoi Moi? Vais-je sortir d'ici? Rencontrerai-je l'amour? et aurai-je des enfants un jours? Vais-je mourir?

A ma louve: elle me manque aussi. Meme si je lui parle. Rien est pareil. Pourrais-je à nouveau être elle?

CAPTIVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant