Blood //Larry, Ziam, Diall

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La musique était extrêmement forte et celle-ci commençait à doucement monter à la tête du jeune homme alors qu'il enfilait un nouveau verre de vodka qui brûla son gosier.

Son regard glissa sur les personnes présente à la fête essayant de se trouver un nouveau gibier pour ce soir. Ses yeux s'arrêtèrent sur une magnifique brune aux seins proéminent et dont sa courte robe noir moulait ses jambes et ses fesses. Ses yeux bruns étaient entourer de crayon noir qui avait légèrement couler à cause de la chaleur et de la sueur qui se promenait doucement sur sa peau trop bronzé dût à l'effort physique que lui demandait la danse. Ses cheveux était relâcher sur ses épaules à nus et ceux-ci était plat sauf à la base de son coup où ils frisaient légèrement. Cette proie était parfaite pour le jeune homme. Il se leva du siège rembourrer où il était poser quelques instants plus tôt et, d'une démarche féline et séductrice, il se dirigea lentement vers la jeune femme, sa nouvelle proie. Arriver près de celle-ci, il déposa ses mains sur les hanches bien définit de la jeune avant de lui susurré à l'oreille d'une voix légèrement rauque, mais tout de même chaude et mielleuse:

«Que fait une jeune femme aussi belle que vous sans cavalier? Si aucun homme n'a remarquer une telle déesse que vous, ils sont sans aucun doute aveugle. Puis-je me permettre, sans me montrer indiscret, de vous demander si vous pouvez me tenir compagnie?»

La jeune femme, flatté par l'intérêt non-cacher du magnifique jeune homme devant ses yeux ne fit qu'hocher doucement la tête en lui offrant ses plus beaux yeux de biches suivit d'un sensuel battement de cil.

Le jeune homme prit part à son jeu de séduction en grandissant l'emprise de ses mains fermes sur les généreuses hanches de la jeune femme, puis d'un mouvement remplit de désir, il rapprocha son corps de celui de la brunette.

Après quelques minutes de danse, le jeune homme frotta son début d'érection contre le corps de la jeune. Celle-ci sembla comprendre ses désirs, car elle se saisit de sa main et commença à l'entraîner vers l'étage du dessus où se trouvait les chambres. Le jeune homme ne la laissa pas faire et lui retient la main avant de lui signaler d'aller vers l'extérieur.

La jeune femme trouvant cela amusant, le suivis sans brocher. Dès que les jeunes tourtereaux sa trouvèrent à l'abri des regards indiscrets, le jeune homme pris la brunette par les épaules et la plaqua contre un des murs environnants. Puis, sans plus de cérémonie, la bouche du jeune homme prit possession de celle de la jeune femme. Leurs langues dansaient ensemble un ballet des plus sensuelles transmettant leur désir charnel envers leurs partenaires actuels. Quand leurs souffle leurs manqua, les deux amants séparèrent leurs lèvres légèrement boursoufflé par l'exercice accomplis, puis le jeune posa un doux baiser sur la mâchoire de sa douce avant de descendre ceux-ci le long de son coup. Il pouvait sentir le doux sang sucré coulé dans ses veines et il entendait son cœur battre. Ne pouvant plus se retenir, il posa un baiser sur la jugulaire de la jeune femme avant d'y enfoncer profondément ses crocs. Ses yeux devenus rouges luisaient doucement dans la nuit alors qu'il vidait le corps de la brunette du plus divin des nectars, de l'ambroisie à l'état pure. Il posa une des ses mains sur la bouche de la jeune femme empêchant celle-ci de pousser le moindre cris. Il était tellement concentrer sur son plaisir qu'il ne ressentait même pas les soubresauts du corps de la brunette, il était tellement concentrer sur sa tâche morbide qu'il n'entendit même pas le cœur de la jeune femme arrêter de battre. Quand la dernière goutte de sang passa au travers de ses lèvres, le jeune homme relâcha le cadavre qui viens se choir au sol, puis sans plus de cérémonie, le jeune homme partit sur la rue noir éclater par-ci par-la de lampadaire, sa soif maintenant apaiser.

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Louis rajusta la bretelle de son sac à dos sur son épaule gauche alors qu'il marchait ou plutôt piétinais l'herbe de son nouveau campus. Il avait encore une fois été renvoyer d'une université. Cette fois-ci, c'était parce qu'il avait déclencher malencontreusement un léger incendie dans le local de science en mélangeant des produits inflammable... et du feu. Certain le prenait pour un pyromane, mais il s'en fichait de ce que les autres pensaient de lui. D'accord, il avait déclencher au moins dix incendies dans dix universités différentes, mais ce n'était pas compliquer, il n'aimait juste pas ses universités alors il se débrouillait pour les quitter. Il n'était pas pyromane! Point barre.