Azraël

Neige et sang

On peut tous remonter à un moment de notre vie où tout a changé. Où tous nos plans ont été chamboulé. 

Mon moment était une nuit d'hiver. Je ne faisais rien de bien important, j'étais dans mon lit entrain d'écouter le vent. Heureux de ne pas être dehors mais bien au chaud sous ma couette, pensant à la journée d'hier. La journée la plus... Mes pensées avaient été arrêtés par un cri aigu. Je le reconnus en moins d'une seconde, celui de ma mère à ne pas en douter. Je l'avais entendu plusieurs fois souvent dirigé contre une araignée ou une souris mais quelque choses avait changée dans ce cri, il était plus aigu. 

Je me levais de mon lit attrapant un pull et un survêtement. Un deuxième cri plus grave et un bruit sourd comme si un lourd objet avait été jeter au sol. Je commençais à m'inquiéter, ce cri je ne l'avais jamais entendu. 

Je me précipitais à la porte de ma chambre. L'ouvrit. Et me retrouva nez à nez avec un homme de plus de deux mètres. Cette homme était bâti comme un géant, vêtu d'une longue cape noir et d'une capuche lui cachant le visage. Il semblait que son corps entier était recouvert. Mon regard descendit vers ses mains et je distinguais dans la pénombre une faux, depuis laquelle coulait du sang. 

Mon corps agit avant même que mon esprit est eu le temps d'essayer de comprendre la situation. Mon corps se jeta sous ses jambes, me permettant de passer derrière ce géant. Je courus me servant des cris pour me guider. Les cris me guider dehors, où une magnifique neige tombait et où une vision qui n'aurai de cesse de me hanter se dévoila. 

Le corps sans vie de ma mère baignant dans son sang, celui-ci mélangé à la neige au sol. Et mon père aux prises avec un autre homme tout en armure noir, une gigantesque claymore à la main. Mon père lui aussi en sang. Cependant il parait les coups de cette homme avec un Katana. Et plutôt habilement en plus, esquivant les coups trop puissant, déviant les coups trop audacieux et attaquant sans peurs et sans considération pour la douleur. Une douleur certaine vu l'état de son corps. En effet son t shirt était en lambeau, il semblait s'être pris des centaines de coups d'épée. J'en venais même à me demander comment il pouvait encore se tenir debout. Malgré son courage l'issue du combat ne faisait aucun doute.

Il fallait admettre qu'il s'agissait là d'un portrait magnifique, le sang de mes parents qui tombait au sol et se mélanger à la neige, se mélange de rouge et de blanc. De pureté et de douleur.Une main se posa sur mon épaule et me sortit directement de ma contemplation. Je me rendis comptes d'un coups des pensés qui me traversé l'esprit. Et un bref instant je fus dégoûtés par celle-ci. 

Je me retournais terrifié pour voir le visage de mon bienveillant parrain. Une large entaille sur son épaule se faisait voir lui aussi tenait un Katana à la main.

- Edward prend la bague et sort Théo d'ici! Maintenant !  ce furent les derniers mots que j'entendis de mon père.  L'homme à la cape arriva aux même moment dans le salon. Edward échangea quelques coups avec l'homme, esquivant et parant pour se rapprocher du corps de ma mère. Il se jeta au sol récupérant quelque choses sur ma mère. Puis il me poussa dehors me criant de courir avec lui. C'était comme si j'étais dans un état transe, un simple spectateur des événements. 

Mon père poussa l'homme en armure et attaqua l'homme à la cape, il savait qu'il ne s'en sortirait pas, je réaliserais plus tard qu'il se sacrifié pour nous. Pour me laisser le temps de fuir la maison.