L'amour Immortel. L'amour de la guerre. Tome 2.(Terminer et Corriger ).

Chapitre 7. Réconciliation Et Trahison. (Attention Ames Sensibles)

 Je me dégage de son emprise et le pousse avec rage. Je me tourne à nouveau vers l'ascenseur, mais il me retourne et décide de me porter sur son épaule comme un sac à patate. Je le frappe de toutes mes forces, mais il ne ressent aucunes douleurs. Nous nous dirigeons vers sa chambre.

Pourquoi m'emmène-t-il dans ses appartements ?!

Il me jette sur son lit et se place à califourchon. Je remarque que ses yeux sont pleins de rage et de colère.

- Pourquoi tu m'obsède à ce point !, me dit-il en grognant.

Hein ? Je ne comprends pas !

Il approche son visage du mien.

- Pourquoi je me sens beaucoup plus vivant quand je suis avec toi ?, me murmure-t-il à l'oreille.

Mon cœur bat à la chamade. Ses lèvres s'approchent des miennes. Je ferme les yeux mais les souvenirs difficiles avec Aphrodite resurgissent. Je m'éloigne subitement.

Je ne veux plus jamais avoir mal...

J'essaie de me relever mais il m'en empêche. C'est alors que je sens son érection contre ma cuisse. Il dépose des baisers dans mon cou ce qui me fait ressentir des papillons dans le ventre et mon plaisir coule entre mes jambes, mais je le repousse une nouvelle fois avec douceur.

- Que se passe-t-il ?, me demande-t-il curieux.

Je remarque que je n'ai plus mon sac.

- Pourquoi es-tu devenu gentil tout d'un coup ?, lui demandais-je en mimant sur les lèvres.

- Je ne comprends pas... Me dit-il en fronçant les sourcils

Je mime un stylo et une feuille en espérant qu'il comprenne que je lui demande s'il en a. Il semble m'avoir compris car il me donne ce dont j'ai besoin. Je lui écris alors ma question. Il prit la feuille et la lut.

- Tu es bête ou quoi ?!, Me dit-il après avoir lu ma question

Comment ça, "je suis bête"?

Je m'apprête à me lever mais il me retient par le bras.

- Reste là, je n'ai pas fini..., me dit-il calmement.

Je croise les bras contre ma poitrine. Arès sourit, blasé par mon comportement.

- Écoute, premièrement, je suis désolé pour tout à l'heure... je n'aurais jamais dû de parler comme ça... Deuxièmement, c'est la première fois que je m'excuse parce que normalement je déteste avouer mes fautes. Et dernière chose...

Il m'embrasse par surprise. Quand il eut finit, je me recule subitement.

- Je n'ai pas l'habitude de vouloir faire l'amour avec une femme, à part avec Aphrodite, finit-il de dire tout en me regardant droit dans les yeux.

Je rougis gênée.

- Mais ça ne te gêne pas que je sois muette ?

- Pourquoi veux-tu que ça me gêne ? Moi je trouve que ça fait partit de ton charme, me dit-il en souriant.

- Pourquoi tu n'es pas avec elle ?

Je vois son regard s'assombrir et il m'embrasse sur les lèvres une seconde fois mais je m'écarte à nouveau

- Il faut que tu m'apprennes le langage des signes..., me dit-il avec tendresse.

J'acquiesce de la tête. Il essai une nouvelle fois de m'embrasser mais je m'écarte ce qui le fait grogner, impatient.

- Nous allons commencer les leçons !

- T'es sérieuse ?!, me dit-il exaspéré.

Je ris silencieusement. Pendant plus de deux heures, je lui apprends à parler le langage des signes et je dois admettre que c'est un excellent élève. Nous faisons une petite pause.

- Tu es un bon élève !, lui signais-je heureuse.

- Je vous remercie maîtresse !, me dit-il en blaguant.

Je ris silencieusement. Il s'approche de moi et me mordille l'oreille. Je frissonne légèrement de plaisir.

-Et si je te montre un avant-goût..., me dit-il d'une voix pleine de luxure.

Il approche alors son visage du mien et m'embrasse langoureusement. Je place alors une main sur sa joue et je glisse l'autre sur sa nuque. Sa langue touche la mienne avec délicatesse ce qui me fait gémir sans pouvoir me contrôler. Il me couche sur le dos et se replace à califourchon. Il relève le jupon de ma robe, retire mon string et le jette au sol. Ces doigts descendent avec douceur le long de mon ventre. Tout en m'embrassant, ses doigts touchent mon bout de chair. Je sursaute de plaisir. Il décale légèrement ses lèvres des miennes.

- On dirait que tu es prête pour m'accueillir..., dit-il avec sensualité.

Je rougie mais il ne fait pas attention. Il embrasse cette fois mon cou, puis mon ventre. Son visage est maintenant entre mes jambes. Sa langue touche mon plaisir. Je sors un léger cri silencieux. Je place mes mains sur sa tête mais une personne toque à la porte.

- Mon amour, je peux entrer ?

Cette voix ! C'est celle d'Aphrodite !

Arès lève la tête avec précipitation.

- Putain ! On ne peut jamais être tranquille ici !, chuchote-t-il en rogne.

Il descend du lit, ramasse mon sous-vêtements et me le redonne.

- Va dans la salle de bain, je ne veux pas qu'elle te voit et qu'elle devienne hystérique, me chuchote-t-il.

J'acquiesce entre dans la salle de bain après avoir remis mon sous-vêtement. Une fois dans la salle de bain, je m'assoie sur la cuvette et patiente. C'est alors que j'entends la porte de la chambre s'ouvrir.

- Je suis désolée mon amour..., dit Aphrodite d'une voix triste.

- C'est bon, pas la peine de remettre les pieds dans le plat, tu veux ?!, lui répond Arès d'une grosse voix.

- Pourquoi es-tu si agressif avec moi ?, demande-t-elle tremblante.

- Je devrais peut être te rappeler ce que tu as fait à Lara ?, lui demande-t-il d'une voix pleine de colère.

- Pourquoi prends-tu sa défense ? Tu n'as jamais été comme ça avec les autres femmes !, dit-elle jalouse, tu es amoureux d'elle, n'est-ce pas ?!

Je retiens ma respiration. Je sens mon cœur bat à la chamade.

- Ne dit pas n'importe quoi, elle n'est rien pour moi !, cria-t-il en rogne.

Mes larmes commencent à monter mais j'essaie de les retenir.

- Alors prouve le moi, fait moi l'amour, lui cria-t-elle.

Je plaque ma main contre ma bouche. Il ne va pas le faire, n'est-ce pas ?

Arès plaque Aphrodite contre la porte de la salle de bain. Et des baisers se font entendre. Aphrodite gémis de plaisir. Je ne peux plus retenir mes larmes.