Partie 1 sans titre ( ouais, sans titre )

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( Avant de débuter, je souhaiterais m'excuser pour toutes les fautes d'orthographes qui se présenteraient ( peut être ), au cours de votre lecture ☺️ ! )

Nous commençons tous par écrire pour une raison. Inutile de préciser la mienne*.

Vous savez ce qui nous heurte le plus dans ce monde ? Votre ex ? Mais non, laissez le mourir en paix. La mort ? Mouais, quoi que parfois on aurait bien envie de disparaitre. Non, c'est notre propre personne. Tenez, lorsque nous sommes trompé/es, hormis le fait de vouloir décapiter notre partenaire, il y a cette partie de sois se morfondant sur nos choix. Comme si haïr son être était inévitable.

J'ai crée cette page pour crée une secte !

Mais non, je déconne. Quoi que, y as-tu crus ?

Je vais essayer de faire ressortir ce coté totalement sérieux et à la fois totalement inexistant, afin de faire partager mon intention ^^ :

Je ne saurais trop réprimander mes neurones en ce moment, je ne saurais encore moins jeter la pierre sur cette foutue adolescence étant donner que comme la nomme nos proches "la crise d'adolescence" je n'y crois pas trop. Cette foutue superstition (oui, décidément j'ai un énorme problème avec l'adjectif  "foutue" ce soir), je disais donc, oui, cette "foutue superstition" n'est qu'un titre servant à qualifier ces moments qui nous sont étrangers.

La vérité c'est que je m'effraie. Il m'arrive de me réveiller le matin en demandant : " qui suis-je ?" Comme si la jeune fille aux cheveux d'un marron foncé, celle qui m'était reflété, n'était pas moi. Il m'arrive d'en halluciner. Parce que comme toi, j'ai peur.

Et, ce qui me fait frémir ce n'est pas ce changement corporel ou mental, c'est le fait de devoir commencer à bâtir mon avenir.

*( J'étais obligé de raconter ma vie héhé, comme quoi) :

Lorsque j'ai commencé mes premiers écrits, ils étaient tous dédiés à ma professeure de français. Celle pour qui ma personne dégageait un avenir prometteur... J'ai fini par y croire, me voyant déjà comme écrivaine en herbe ( quelle idée..) ! Puis, j'ai réalisé que vous n'êtes qu'une poupée parmi tant d'autres poupées tant que vous n'aurez pas cette personne. Celle qui vous fera vous sentir unique, celle qui vous poussera au bout de vos écrits, celle pour qui satisfaction vous est comme tout l'or du monde. Oui, celle la...

Deux années c'était écoulés et, en effet, ce n'était plus ma professeure. Mes notes ont alors commencés à digresser sans que je n'en comprenne l'explication. J'avais dès lors un nouveau professeur de français qui jugeait mon écriture complexe et incompréhensible. Tout espoir d'être un jour celle qui ferait la satisfactions de cette ancienne professeure de français s'était alors envolé. Petit à petit... J'ai commencé à également apercevoir de la déception dans son regard lorsqu'il me venait à la croiser dans les couloirs. Il vous arrivera sûrement dans votre vie la malchance de croiser un professeur jugeant votre originalité sulfureuse. Un conseil : ne vous laisser pas abattre par ses propos.

Lorsque vous avez à vos cotés cette personne qui croit en vous plus que qui conque, vous avez l'impression d'avoir en possession la lune ainsi que tout le système solaire. Et, lorsque vous la décevez... l'univers s'écroule et, la lune, qui vous paraissez si proche, vous devient soudain lointaine sans que vous puissiez en comprendre la raison.

En bref, si cette personne fait partie de votre vie, ne la laisser jamais tomber. Vous avez sans doute entendu cette réplique un milliard de fois mais il me paraissait essentiel de la resouligner :p !

Quand à ceux/celles qui la rechercheraient toujours, n'oubliez pas que cette personne n'est peut-être pas le/la prince/princesse charmant/e , mais elle peut se retrouver juste sous votre nez. SORTEZ VOS LOUPES !

Ce qu'au fond je tente de dire par ce texte c'est simplement qu'aujourd'hui, nous vivons dans un monde sans aucunes empathies. Je ne suis pas née avec une cuillère dans la bouche comme on le dit, c'est pour cette raison que je veux continuer de poursuivre mes études, pourtant ces temps-ci l'incompréhension me submerge. Je n'ai pas les notes qu'il faut... Et pourtant, ces personnes autour de moi, me voient déjà avec un métier brillant...De là se crée cette peur de la déception d'autrui.

J'ai également pu voir, étant en Suisse que les professeures voulant vous voir réussir se font rares, voire sont quasiment inexistants. Vous ne pouvez compter que sur vous même. Lorsque les gens autour de nous perçoit la Suisse, il la voit comme un pays riche et sain. Pourtant, comme dans chaque pays, elle est devisé par ses diverses classes économiques et sociales. Les professeurs vous dissuadent de poursuivre vos études, ils vous proposent alors de multiples formations sans queues ni têtes. Il est clair que si chaque élève rayonnait d'envie à poursuivre ses études, les places à l'université ou en écoles supérieurs se feraient minimes. Ces jeunes ne veulent plus poursuivre d'études car nous faisons tout pour qu'elles en soit écoeurés, d'où cette acharnement sur les formations. Quelle bêtise !

La flemmardise commence à marquer mon quotidien. Je regarde ces enfants qu'autrefois nous qualifieront de "nobles"en me disant qu'eux n'auront jamais a se soucié de leurs avenirs. Tandis que de l'autre côté du rivage se retrouve une femme au poignet cassé luttant pour financé les études de sa fille... Ma mère. Je ne me plains point de ma vie. Je suis simplement répugnée par cette société dans laquelle nous vivons. Répugnée que l'on voit la Suisse tel que l'on voudrait que vous la voyez.

Si je devais de donner seul conseil dans toute ma petite vie, je vous dirais ces simples mots : 

Instruisez-vous, lisez, comprenez mais n'adoptez jamais l'avis d'autrui avant de vous faire votre propre opinion sur la situation...


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