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Mélina fut réveillée par le son d'un aspirateur en marche.

Tout de suite elle fait appel à Nia. Cette dernière la rassura qu'il ne sagissait que des femmes de ménages qu' Osvaldo avait engagé. 

_ Osvaldo a engagé des femmes de ménages? Demanda t-elle étonnée 

_ Oui madame elles travaillent pour une société de nettoyage à laquelle monsieur a fait appel, il y a même un jardinier qui passe trois fois par semaine.

_ Oh! dans ce cas je ferais mieux de quitter mon lit. se dit-elle

Mélina s'activa puis avant de sortir de sa chambre jeta un œil dehors et effectivement un homme habillé d'une tenue verte était entrain de s'occuper des mini arbres du jardin.

Elle ouvre la porte et salua les deux jeunes femmes se trouvant dans le couloir avant de descendre prendre son petit déjeuné.

Elle était entrain de ranger son verre dans le lave vaisselle, quand une petite fille âgée de cinq où quatre ans déboula dans la cuisine suivi par une des femmes de ménage.

_ Désolé madame pour son intrusion, Lui dit-elle

_ Mais il n'y a pas de problème. C'est votre fille?

_ Euh! non, c'est une enfant perdue 

_ Comment sa ? l'interrogea t-elle 

_ Et bien je l'ai trouvée en bas de chez moi entrain d'errer seule dans la rue 

_ Oh! fit-elle avec horreur 

_ Ses parents doivent être mort d'inquiétude pour elle.

_ Je ne crois pas, je comptais la déposer à l'orphelinat après mon travail.

_ A l'orphelinat ? mais c'est plutôt au poste de police qu'il faut s'y rendre!!

_ J'ai retrouvé ceci sur elle madame. Lui dit-elle en lui tendant une lettre

Mélina la déplia et y lis 

" Je vous prie de la garder, je n'arrive pas à le faire. 

          Elle s'appelle Alicia, elle est née le 03/01/2013"

Mélina effaça du revers de sa main une larme qui s'était permise de rouler sur sa joue gauche, tellement le message l'avait touché. Jamais de sa vie elle avait eu a faire à des paroles aussi froide sur un bout de papier.

Elle s'avança vers la petite fille, la regarda un moment, et eut du mal à croire qu'on pouvait abandonné une enfant aussi belle qu'Alicia.

_ Laissez_là ici, je m'occupe d'elle mademoiselle Sarah.

Sarah fut ravi et surtout soulagé de voir que la jeune femme lui fasse pas des problèmes concernant son travail.

Serte cette femme devant elle était habillée et avait l'air différente des autres sur lesquels elle était tombé lors de ses heures de travail, mais elle avait cru un court instant qu'elle se faisait juste un faux jugement.

Finalement cette jeune femme est bel et bien différente, très différente même, car les autres malgré son application à son travail, elles n'avaient jamais arrêté de lui chercher chicane.

_ Très bien madame, je reviendrais la chercher à la fin de mon travail.

_ Je crois que vous n'avez pas comprise.  Alicia restera ici avec moi, je refuse qu'elle aille à l'orphelinat.

_ Vous êtes sure, je veux dire elle n'a aucun papier sur elle et .....

_ Ne vous inquiétez pas, je ferais le nécessaire plus tard.  Pour le moment le plus important est de préparer un bon petit déjeuné pour notre petite Alicia.

La petite blonde souriait de toutes ses dents,avant de se laisser déposé sur une chaise haute.

Sarah ayant remarqué que les deux l'avaient complètement oublié, souri et s'effaça de la cuisine afin de reprendre son travail.


Osvaldo sortit de sa limousine et se dirigea à l'entrée de son entreprise. 

Il se souvient alors du jour où il a mis les pieds ici pour la première fois. 

A l'époque, il n'avait que vingt quatre ans et il n'était qu'à ses débuts. Acquérir cette entreprise était son premier exploit, et il en était fier car c'était ce même sentiment qu'il  avait vu dans les yeux de son père lorsqu'il lui avait offert sa Jaguar F-Type SVR. 

  Le modèle le plus puissant jamais construit.  "Un jouet extraordinaire à ne pas mettre entre toutes les mains" avait-il lu sur un magazine un jour car parait-il qu'il fallait  une personne la plus qualifié qui soit au volant afin de dompter ce fauve à quatre roue motrice  et une vitesse maximale de 322 km/h .

Oui des jours meilleurs était passé, se rappela t-il nostalgique de ces moments uniques qui n'appartiennent désormais qu'au passé.

_ Monsieur le président, Le salua mademoiselle Liang.

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Je m'arrête ici j'espère que sa vous plait et que vous avez envie de découvrir la suite restez accrocher

bisous 

vos commentaires svp merci




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