2. Votre rencontre

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Tony Stark

Tu étais en train de réfléchir et de prendre en notes les améliorations possibles sur les propulseurs de l'armure, lorsqu'un raclement de gorge te stoppa dans ta réflexion. Tu te retourna lentement, agacée. Tu déteste que l'on te coupe en plein travail.

Mais lorsque tu croisa le regard de Mr.Stark, tu n'a pas pu t'empêcher de te sentir impressionnée. Même si tu travaille ici depuis presque un mois, tu n'a pas eu la «chance» de le rencontrer, mais en tout cas tu avais entendu qu'il agissait comme un connard imbus de lui-même.

Tu te levas donc pour aller le saluer, c'est ton patron après tout. Tu te présentas tout en lui serrant la main, «Je m'appelle Y/N, et je travaille ici depuis bientôt un mois, je m'occupe de votre armure. Enchantée de vous rencontrer enfin.»

Tu lâchas sa main et le regarda, gênée par le silence qui venait de s'installer. Et lorsqu'il pris la parole, après t'avoir longuement détaillé de haut en bas, tu ne savais plus ou te mettre, «Comment une aussi belle jeune femme s'est retrouvée ici ? Dans un laboratoire, entourée de scientifiques aussi ordinaires ? »

Tu lui répondis gênée que tu aimais la science plus que tout, et que faire sa passion tout les jours, en plus d'avoir un salaire confortable, est appréciable.

Il te répondit qu'il avait beaucoup entendu parler de toi, et que tu est vraiment douée, donc il souhaite t'embaucher, au lieu de continuer le stage, cela te permettra d'avoir un salaire plus élevé, mais aussi des jours de congés, il fit une remarque sur tes énormes cernes, puis il finissait par te donner une semaine de vacances, bien méritée.

Tu ne pu t'empêcher de criée de joie. Tu était vraiment crevée.

Il retourna à son bureau après t'avoir lancé un clin d'oeil qui te fis rougir instantanément.

Steve Rogers

Tu faisais l'inventaire de ta boutique, lorsqu'un client passa la porte, ce qui est, rare, ces temps ci. Tu retournas, tête baissée derrière la caisse et lorsque tu relevas la tête, tu croisas le regard d'un belle homme, très musclé, blond. Tu avais l'impression de l'avoir déjà croisé quelque part.

Tu t'avança : « Bienvenu, en quoi puis-je m'être utile ? »

Il te répondis : « Et bien, je recherche une machine à écrire, en bon état, s'il vous plaît Madame. »

Tu acquiesça, et partis fouiller parmi tout les bibelots rangés ici et là. Pendant ce temps, curieuse, tu lui demanda : « Qu'allez vous faire avec une machine à écrire ? Je veux dire, sans paraître indiscrète, plus personne à cette époque ne se sert de machine à écrire...»

Il émit un petit rire gêné, puis il te dis qu'il voulais en fait écrire ses propres mémoires, et qu'il comprenait si tu trouvais cela orgueilleux.

Tu lui répondis : « Je me demande juste quelle est votre profession, car si vous voulez écrire des mémoires, cela doit être très intéressant... Vous êtes médecin ?»

Il rétorqua : « On va dire que mon travail est plutôt... mouvementé... Vous ne me reconnaissez vraiment pas ?»

Tu répliquas : « Je devrais ?»

Il ne répondit pas, il avait l'air d'être en pleine réflexion. Alors que tu avais enfin trouvé la machine à écrire, il parti fouiller les collections de carte vintage que le magasins revendait, il en choisi une puis revint te voir.

Il déposa la carte face à toi. Tu arrivais malgré l'état délabré de la carte à discerner un nom :
«Captain America».

Tu leva les yeux un peu plus haut et vu que le visage du fameux « Captain America » était le même que celui de l'homme en face de toi. Tu ne pu t'empêcher de rire nerveusement, puis tu te défendais :

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