Le camp

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Il est tard. Le soleil c'est coucher depuis une heure environ. Hans, tout comme les autres gars, sont épuiser de cette longue route à l'arrière de ce blindée. À part quelque chuchotement de certains, le silence s'est imposé de lui même. N'ayant rien à faire, Hans trouve le temps long.
Puis, le blindée s'arrête, ainsi que les chars l'escortant, Hartmann ouvre la porte situer à l'arrière du blindée.
- Messieurs, nous sommes arriver. dit-il. Sortez de ce camion et suivez le Lieutenant Freidrich.
Hans remarqua que le Freidrich était plus petit que Hartmann, et avait l'air plus jeune et moins costaud que Le Sergent-Major. De plus, il remarqua qu'il ne portait pas l'uniforme des SS. Il portait des bottes moins haute et plus usé, un pantalon et une veste grise foncé, presque noir, ainsi que son fusil dans le dos et tenait son casque dans la main. Hans sortit du blindée comme les autres et suivit le Lieutenant. Il les emmena vers une tante ou l'on distribuais des uniformes
- Prenait un uniforme et allez vous changer, cria il de l'autre côté de la tante, ensuite vous allez dans la tante d'en face, où vous allez manger.
Hans pris donc son uniforme et allait derrière la tante afin de se changer à l'abris des regard. Une fois habillé, il alla dans la tante ou on distribua de la nourriture. Il fit la file, pris sa ration et alla s'assoir pour manger.
Quelques minutes plus tard, trois inconnus viens près de lui.
- Cette place est libre? dit le plus grand d'entre eux
- Tu vois quelqu'un dessus? répondit Hans
- Je vais prendre ça pour un non, dit-il, mais si non t'es qui?
- Hans Schnabel, toi?
- Willam Feuerbach, et le plus petit c'est Arthur Eberhard et l'autre c'est Zacharie Rosenberg
William est le plus grand d'entre eux, mais Hans restait plus grand que lui. Il était plus costaud que Hans, et certainement plus fort. Il avait une chevelure brune volumineuse et un visage assez carrer.
Arthur était beaucoup plus petit que Hans, et beaucoup moins fort, visiblement. Ses yeux d'un brun pâle, le même brun que ces cheveux, envoyait un regard puissant, qui imposait le respect. Ce simple regards mit Hans mal à l'aise, même s'il savait pertinemment qu'il avait l'avantage sur le plan physique.
Zacharie était un peu plus petit que Wiliam, et avait de long cheveux blond qui arrivait jusqu'à sa nuque. L'uniforme lui allait bien, sans doute mieux qu'à Hans et qu'aux autres. Il avait l'air stresser, et des sueurs froides le voulait sur le visage, comme s'il sentait qu'un danger régnait, ce détail intrigua Hans.
- Pourquoi Zacharie à l'air stresser? demanda il
- On sait jamais. répondit Zacharie d'un ton glacial, ses yeux lui lançait de poignard
- Laisse, il est toujours comme ça. dit Arthur d'un ton amical, qui surpris Hans
- C'est que tu as jamais entendu se que l'on dit! répondit Zacharie a Arthur, C'est quand on s'y attend le moins que l'on se fait attaquer!
- Et même si on se fait attaquer, cria Arthur, au dernière nouvelle tu sais pas tirer!
Freidrich rentre dans la tante, son entrée mit fin à la discussion.
- Quand vous auriez fini de manger, cria il de toute ses forces, vous venez me voir, pour que je vous distingue votre tante ou vous dormirez, vous serez 4 par tante. Si vous voulez être avec certaines personnes en particulier, vous me le dite! Et dormez bien, demain vous en aurez besoin. On commence l'entraînement demain, 5h du matin!
Hans et ses nouveau compagnon se regardèrent. Ils savaient ce que chacun voulait dire. Ils allait partager leur tante.
- On partage une tante, les gars? demanda William, Hans sera avec nous.
- Je suis d'accord, répondit Arthur
- Je vois pas pourquoi je dirai non, dit Zacharie, d'un ton plus enjoué que tout à l'heure
- Après tout, pourquoi pas? répondit Hans, après quelque seconde de silence
Les quartes compagnons finissait leur repas, et se dirigea vers le Lieutenant. En arrivant devant lui, c'est Hans qui pris la parole.
- Monsieur, dit il, nous voudrions être ensemble dans une tante.
- Parfait, dit le Lieutenant d'un ton superieur, sans lui adresser un regard, prenez la tante du fond, à gauche.
- D'accord, merci monsieur.
Ils se dirigèrent vers la tante qu'on leur avait assigné. Elle était d'un vert forêt, avec une crois gammée sur le côté gauche. Elle était assez grande pour 4 personnes, mais à 5 on s'y sentira à l'étroit. Il y avait deux litsuperposé à gauche gout comme à droite. Sur chacun lit était posé un gros sac de vêtement de drap neuf. Hans avait choisi l'un des lits du bas. Il firent chacun leur drap et s'engouffrait dessous. Ils réfléchissaient à l'entraînement du lendemain, jusqu'à qu'ils s'endorment.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 03, 2017 ⏰

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