L'INTERROGATION

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L'homme vêtu de noir s'assied en face de moi. Il faisait des gestes à ses coéquipiers, d'ailleurs incompréhensible. J'avais la tête entre mes genoux écorchés​. Je saignais d'ailleurs de la lèvre.

J'essayais de me mettre dans la peau d'une meurtrière (je sais ce n'est peut être pas le bon moment) j'imaginais comment j'aurais pu tuer ma famille.Je me demandais déjà pourquoi je l'ai aurais tué,il n'y avait pas de conflit familiaux appart avec mon père que je détestais mais à la limite je n'aurai tué que lui. Et puis je me serrait sûrement suicidé après déjà pour éviter la prison mais aussi pour mon propre plaisir. Je regrettais de ne plus pouvoir croiser le regard de mes frères jouant à des jeux violents,et ma mère cuisinant un poulet, quand à mon père rien que de le voir me dégoûte,il avait trahis mon enfance. En gros trois personnes me manquer.

-Alors.... Commença l'homme.Ou étiez vous de 1h à 2h du matin ??

-....... Je ne voulais pas répondre.

-Si vous ne répondez pas aujourd'hui,il vous faudra répondre demain ou si vous préférez ont vous met en prison maintenant !Dit-il en riant.

-Dans ma voiture.Dit-je en soupirant

-Et que faisiez vous dans la voiture ??D'un ton autoritaire.

-Je rentrais de soirée j'étais sûrement fatiguée et je me suis arrêtée sur le bas côté !Je me défendais.

-IMPOSSIBLE , votre maison été à 2 minutes de l'endroit où vous étiez arrêtée. Passons à ma supposition, vous êtes rentrés chez vous, vous avez tuée votre famille,vous vous êtes lavé idem pour vos vêtements,puis vous êtes reparti à l'endroit où vous étiez garé. Je me trompe ? Dit-il avec sourire au lèvre.

-Mais heu.....Non impossible sa m'aurais pris beaucoup trop de temps à les faire sécher ! Dit-je sur la défensive.

-Vous étiez bien mouillé à votre arrivée.

Je le détester.

-j'étais à une soirée, il y avait une piscine coïncidence ? Dit-je en rigolant,même si on fond de moi je n'en avais pas envie.

-Ont verra bien qui rira le dernier.Il dit sa en me regardant figé sur sa chaise en fer.

Puis il cria à ses coéquipiers qu'il avait finie avec comme il disait "la gamine".

-je vous déteste.souflege.

-Je vous signal que j'ai tout droit sur vous alors vous feriez mieux de fermée votre clapet.dit-il en criant.

Il marmonna quelques choses.

J'étais donc placé en garde à vue.

The eyes of the demonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant